Malgré un potentiel élevé en énergies renouvelables et en gaz naturel, la Mauritanie fait toujours face à des contraintes pour assurer un accès fiable et durable à l’électricité, comme le rappellent les coupures actuelles à Nouakchott.
Les autorités gabonaises misent sur le partenariat public-privé pour accélérer la transformation numérique. Depuis le début de l’année, l’exécutif s’est engagé dans des discussions avec plusieurs acteurs privés, parmi lesquels Tech 41, Visa, Huawei, Moov Africa Gabon Telecom et Afrastructure SAS.
Au Kenya, l’huile de palme représente plus de 90 % de la consommation totale d’huiles et de graisses. Avec une production quasi inexistante, le pays dépend du marché mondial pour satisfaire ses besoins.
L’industrie minière africaine cherche des solutions fiables pour sécuriser ses besoins en électricité tout en limitant ses émissions. Les centrales hybrides solaires et stockage se présentent comme alternatives crédibles pour remplacer progressivement le fossile.
Face à la pression démographique et aux besoins croissants en compétences numériques, le Maroc accélère le développement de son écosystème start-up pour renforcer la formation des jeunes et soutenir l’emploi qualifié dans des secteurs en mutation.
La mise en place de sociétés de gestion de fonds sectoriels et thématiques constitue l’un des principaux modes d’intervention du Fonds créé en 2020, dans le cadre d’un plan de relance de l’économie marocaine.
La banque multilatérale basée à Londres soutient l’accès au crédit des femmes et des PME égyptiennes à travers Banque Misr. Cette opération marque une étape importante dans la coopération entre la BERD et le secteur financier égyptien.
Camino Ruiz, l’entreprise kényane bénéficiaire, est spécialisée dans la transformation et la distribution de poissons. Ce financement vise à renforcer la production de poissons tout en favorisant la création d’emplois au niveau local.
L’accès à une électricité fiable reste un défi pour des centaines de millions d’Africains. Entre initiatives publiques et partenariats privés, des leviers se dessinent pour accélérer l’électrification et combler le vide laissé par Power Africa.
Devenue en 2023 la première compagnie minière productrice de cobalt au monde, CMOC exploite en RDC les mines Tenke-Fungurume et Kisanfu. Malgré l’embargo imposé par Kinshasa sur les exportations de ce métal depuis mars, la société poursuit la production sur les deux sites.
Le Congo a réduit de 17,79 points de pourcentage la part de sa dette extérieure dans le portefeuille global de dette publique en 4 ans. Cela s’explique par un recours accru à l’endettement intérieur, notamment celui des titres publics émis au sein de la Cemac. Malgré ce changement de cap, la dette globale du pays continue de progresser, affectant la soutenabilité budgétaire.
Avec l’accélération de la transformation numérique, les paiements digitaux gagnent en popularité sur le continent africain. Cette dynamique représente une opportunité majeure pour les fintechs.
Alors que le cinéma africain gagne en visibilité et en potentiel économique, l’accès des femmes aux fonctions créatives reste limité. Une nouvelle initiative de formation entend renforcer leur présence dans la profession et soutenir une dynamique inclusive dans le secteur.
L’Australie et le Canada font partie des principaux pays d’origine des producteurs d’or actifs en Afrique de l’Ouest. Alors que de plus en plus de compagnies minières canadiennes choisissent l’Australie pour leur cotation secondaire en bourse, les producteurs d’or ne sont pas en reste.
Segilola est la seule mine industrielle d’or en exploitation au Nigeria. Thor Explorations, son opérateur, y anticipe cette année une production annuelle comprise entre 85 000 et 95 000 onces d’or, contre un total de 85 057 onces coulées en 2024.
La transformation numérique suit son cours en Afrique. Dans l’archipel des Comores, les autorités s’attaquent aux services relatifs aux finances de l’État.
Le financement servira à soutenir des projets dans plusieurs domaines, dont les infrastructures, l'énergie, l'information et la communication et l'industrie manufacturière.
L’Afrique connaît une transformation numérique, portée par l’essor des infrastructures internationales. Pourtant, derrière la promesse d’un accès facilité à Internet, plusieurs enjeux économiques, sociaux et réglementaires demeurent et interrogent la portée de cette révolution.