Face aux coupures de courant qui freinent la compétitivité industrielle, les partenariats se multiplient pour développer des solutions d’énergie renouvelable distribuée. La garantie accordée par la MIGA à CrossBoundary Energy en Afrique s’inscrit dans cette tendance.
L’Égypte développe activement les énergies renouvelables pour diversifier son mix électrique. Le pays reste néanmoins fortement dépendant des combustibles fossiles, surtout lors des pics de demande estivale.
Le Zimbabwe compte parmi les principaux producteurs de sucre en Afrique australe, aux côtés de l’Afrique du Sud, du Lesotho, du Malawi et de la Zambie. Face aux défis structurels du secteur, le gouvernement engage de nouvelles réformes visant à moderniser la filière et à soutenir sa croissance.
Classé parmi les principaux producteurs de pétrole brut en Afrique, l’Angola affiche son ambition de faire du gaz naturel un levier de sa transition énergétique et un pilier de ses exportations. Plusieurs initiatives confortent cette orientation.
En Afrique, les pertes post-récolte constituent un défi permanent. En Algérie, où le secteur agricole contribue à hauteur de 13 % au PIB, le gouvernement encourage les investissements pour le développement des infrastructures de stockage.
Loncor Gold est une société minière canadienne active en Afrique, où elle pilote le développement du gisement Adumbi en RDC. Selon une étude d’impact économique publiée en 2021, le projet est capable de produire 303 000 onces d’or en 10,3 ans.
Cette mesure vise à encadrer un secteur en forte croissance mais encore peu structuré. Elle fait suite à une mesure similaire d’agrément ciblant les sociétés d’assurance islamique (takaful).
La start-up marocaine veut consolider sa place sur le marché national de la livraison de repas et du paiement mobile. Ce nouveau financement intervient quatre mois après une précédente levée de fonds et dans un contexte de retour d’acteurs internationaux comme Uber Eats.
Malgré la réduction de ses investissements au Nigeria avec notamment son retrait des activités pétrolières terrestres dans le delta du Niger, Shell poursuit en Afrique une stratégie centrée sur l’exploitation offshore et le gaz naturel liquéfié (GNL).
En Afrique, la production fruitière reste principalement orientée vers la consommation locale, contribuant à l’apport en micronutriments et à la diversification alimentaire des populations. Toutefois, on note une croissance significative des exportations depuis quelques années.
Namib Minerals détient trois actifs aurifères au Zimbabwe, les mines How, Mazowe et Redwing. Alors que le premier site est actuellement en exploitation, la production est restée interrompue sur les deux autres projets depuis 2019.
Le Tchad veut accélérer son développement économique et social. Un document de stratégie horizon 2030 et nécessitant un budget de 30 milliards USD a été élaboré dans ce cadre, dont une partie est consacrée au numérique.
Comme dans de nombreux pays africains, la transformation numérique occupe une place centrale dans la stratégie de développement socio-économique du gouvernement sud-africain. Pour atteindre ses objectifs, l’exécutif multiplie les investissements.
Perçue comme une solution à la corruption et à l’opacité administrative, la blockchain séduit de plus en plus d’États africains. Mais son déploiement reste entravé par des défis juridiques, techniques et humains qui ralentissent son intégration dans les politiques publiques.
Parce que l’accès aux soins ne devrait jamais être un privilège, Ecobank Sénégal s’allie à Sammanté pour offrir à 300 enfants un accompagnement médical gratuit, à travers une approche solidaire et digitalisée de la santé.
Selon les estimations officielles, le sous-sol africain renferme environ 20% des réserves mondiales d’uranium. Alors que l’intérêt pour le combustible nucléaire s’accroît de plus en plus en raison de la transition énergétique, le continent est au cœur des convoitises.
En mai 2025, Rio Tinto a confirmé le prochain départ de son actuel directeur général Jakob Stausholm. Arrivé en 2020, le patron danois laisse un groupe dont les coûts ont explosé en quatre ans, mais avec des projets dont le développement s’est accéléré, à l’image du gisement Simandou en Guinée.
Ce nouveau financement s’inscrit dans un partenariat entamé en 1987 entre Hikma et la SFI. Il vise à soutenir les capacités de production locale du groupe pharmaceutique dans une région marquée par une forte demande en traitements contre les maladies chroniques.
Rarement attribuée, la note AAA de Bloomfield consacre la montée en puissance de la CRRH-UEMOA. Entre refinancement, titrisation et garantie, l’institution veut peser dans la lutte contre le déficit chronique de logements dans l’espace UEMOA.
Alors qu’il ne représente encore que moins de 1 % du PIB national, le secteur minier camerounais gagne en attractivité ces dernières années. Outre l’or et le minerai de fer, c’est le segment du rutile qui illustre cette tendance, avec l’arrivée de nouveaux investisseurs.
Le choix de la nation arc-en-ciel repose sur l’importance stratégique du port du Cap, et l’existence d’un tissu d’opérateurs logistiques et énergétiques dans la région. Le bureau du Cap devrait permettre à Braemar de capter une nouvelle clientèle locale, tout en développant les offres déjà proposées sur d’autres marchés.
Alors que leur influence s’était historiquement concentrée sur les secteurs portuaire, aérien et touristique, les Émirats arabes unis investissent désormais des segments critiques de la transition numérique africaine.
En Afrique de l’Ouest, la campagne 2025 d’anacarde fait face à d’importantes difficultés. Entre le ralentissement des achats asiatiques et les menaces des droits de douane américains, la commercialisation intérieure tourne au ralenti dans certains pays comme la Côte d’Ivoire.