Très dépendante des importations pour son alimentation énergétique, notamment en provenance de l’Algérie voisine, la Tunisie cherche l’autonomie en misant sur les énergies renouvelables, en particulier sur le solaire photovoltaïque.
Comme dans plusieurs autres pays africains, le gouvernement burkinabé a fait du numérique un des piliers du développement socioéconomique national. L’exécutif veut connecter les administrations publiques pour améliorer les services fournis aux citoyens.
Le mois dernier, le Nigeria a atteint une production de 1,8 million b/j et a annoncé une hausse prévue de la production de 30 % d’ici décembre 2024, pour atteindre 2 millions b/j. Une prévision qui repose sur des mesures de sécurité renforcées et des incitations aux investisseurs.
En Afrique de l’Ouest, le Sénégal fait partie des leaders en matière de numérique. Cependant, le pays fait encore face à des défis majeurs en matière de cybersécurité.
Au Ghana, le riz est la deuxième céréale consommée après le maïs. Le pays qui dépend à plus de 45 % des importations pour ses besoins, doit augmenter davantage ses achats sur le marché international pour faire face à la baisse de production attendue en 2024/2025.
Au Mozambique, la crise politique née de la victoire contestée de Daniel Chapo à la présidentielle perturbe l’approvisionnement en gaz de l’Afrique du Sud, fragilisant son secteur industriel et énergétique fortement dépendant des importations via le pipeline ROMPCO.
Le Mali est devenu mi-décembre le premier producteur de lithium en Afrique de l’Ouest, grâce à la mise en service de la mine Goulamina par le chinois Ganfeng Lithium. Il s’agit de produire 500 000 tonnes de spodumène de lithium par an, un produit qui devra encore subir plusieurs transformations avant de rejoindre l’industrie des batteries.


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