| Espérance de vie en Île-de-France, logement pour les jeunes Franciliens, la vie en low-tech en 2040, nos replays, à la découverte de la vallée de l'Orge. |
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| | | | | | | | | | | L'espérance de vie en Île-de-France : des progrès importants, mais inégalement répartis | | | | L'Île-de-France est la région française où l’on vit le plus longtemps. L’espérance de vie à la naissance est de 81,4 ans pour les hommes (2019), la plus élevée de toutes les régions. Celle des femmes atteint 86,1 ans, elle arrive en deuxième position après la Corse. Malgré une espérance de vie élevée et des indicateurs de santé globalement favorables, de fortes disparités sociales et territoriales sont observées dans la région. | | | | |
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| | | | | | Territoires préférentiels pour le logement des jeunes Franciliens | | | | L’accès à un logement autonome constitue, pour une partie des jeunes Franciliens, une condition fondamentale pour la poursuite de leurs études, leur insertion professionnelle et leur épanouissement personnel. L'Institut Paris Region propose un diagnostic inédit de l’offre rapportée à la demande potentielle afin de viser les secteurs préférentiels pour les nouvelles constructions de logements destinés à ces publics. | | | | |
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| | | | | | La vie low-tech en 2040 | | | | La low-tech n’est pas un refus de la technologie. Un monde low-tech n’exclut pas la high-tech, mais la questionne et y recourt quand elle est nécessaire, par exemple pour la santé, la gestion des réseaux. Cette démarche recherche une utilisation raisonnée de la technologie, suffisante et équilibrée. Alors, à quoi pourrait ressembler ce nouveau rapport entre les humains et leurs techniques ? Cet article est le fruit des travaux d’un groupe de travail prospectif piloté par L’Institut Paris Region et l’Adeupa (agence d'urbanisme de Brest) en lien avec le Low-tech lab et l'Arep (bureau d'études) sur les modes de vie low-tech en 2040. | | | | |
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| | | | | | À quoi servent les datalabs ? | | | | La disponibilité d’une masse de données individuelles, à des échelles spatiales fines, ouvre de nouveaux terrains et sujets d’études aux acteurs de la ville. Leur analyse, via de nouvelles méthodologies quantitatives, contribue à enrichir les politiques publiques et nourrir la décision, notamment en matière de mobilité. Pourtant, l’organisation et l’usage de cette masse de données posent nombre de questions : cadre juridique, économique, éthique, démocratique... Comment les acteurs publics peuvent-ils avoir accès à ces données aux mains d’opérateurs privés ou publics ? Comment trier, traiter, agréger, représenter et donner du sens à ce torrent d’informations ? Autant de questions abordées par les intervenants lors du petit déjeuner décideurs-chercheurs du 23 mars dernier. | | | | |
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| | | | | | À la recherche du coronavirus dans les eaux usées pour une meilleure anticipation | | | | Le réseau ÎSEE (hébergé à L'Institut au sein du département Santé ORS Île-de-France), en partenariat avec l’agence de l’eau Seine-Normandie, a organisé le 16 mars dernier un échange autour de la surveillance du coronavirus dans les eaux usées, un outil innovant d’appui à la politique de lutte contre la pandémie. Cette rencontre a réuni Anne-Sophie Allonier-Fernandes (chargée de mission eau, santé et recherche à l’agence de l’eau Seine-Normandie), Laurent Moulin (responsable du département R&D d’Eau de Paris), Agnès Lefranc (cheffe du service parisien de santé environnementale) et Christophe Dalloz (chef du service technique de l’eau et de l’assainissement à la ville de Paris). | | | | |
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| | | | | | La vallée de l'Orge aval : un corridor de biodiversité en zone urbaine | | | | Le tronçon aval de l'Orge relie Arpajon à Athis-Mons sur une vingtaine de kilomètres, en traversant des espaces urbanisés du nord de l'Essonne, avant de finir sa course dans la Seine, aux franges de la Métropole du Grand Paris. Composante de la Trame Verte et Bleue régionale, l'aménagement de cette partie de la vallée de l'Orge apporte des réponses significatives aux grands défis environnementaux de la région. Ce corridor écologique contribue à l'atténuation du changement climatique, au renforcement de la nature et de la biodiversité dans des espaces urbanisés, tout en améliorant le cadre de vie et l'attractivité du territoire. | | | | |
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