Agir sur les trajectoires du pavillonnaire |
Le pavillonnaire francilien, qui héberge plus d’un quart des ménages de la région, est un type d’habitat prisé, mais critiqué pour son manque de mixité sociale, sa dépendance à l’automobile et son impact environnemental. La loi Climat et résilience, visant le « zéro artificialisation nette », renforce les tensions entre la réduction de l’urbanisation des espaces naturels et la nécessité de construire de nouveaux logements. Les collectivités doivent trouver un équilibre pour loger les habitants sans étendre les zones urbanisées, tout en préservant les qualités du pavillonnaire. L’Institut Paris Region propose cinq trajectoires de transformation pour adapter ces espaces au contexte urbain et environnemental actuel. |
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| Les centrales solaires au sol, nouveaux objets des paysages franciliens
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Dans un contexte d'accélération du développement des énergies renouvelables, les centrales solaires au sol connaissent une expansion significative, contribuant ainsi à la massification de la production d'électricité renouvelable. En complément du déploiement de panneaux photovoltaïques sur les toitures des bâtiments et les ombrières de parkings, de nouvelles centrales, de plus grande capacité, émergent progressivement. À l'automne 2024, on en dénombre une dizaine en Île-de-France, totalisant près de 130 MWc (mégawatts-crête), l'équivalent de la consommation électrique résidentielle de 73 000 personnes. Avec une vingtaine de centrales supplémentaires en projet, recensées par l'Institut, la puissance cumulée devrait atteindre environ 378 MWc, soit un triplement de la capacité actuelle. |
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| Être syndic en Île-de-France Pratique des cabinets et implication dans les politiques publiques |
Ce rapport présente les résultats de la seconde phase d’une recherche sur les syndics de copropriété, menée en partenariat avec le PUCA. En se concentrant sur l'Île-de-France, l’étude explore les conditions de travail des syndics, les valeurs qu’ils associent à leur métier et leur engagement dans les politiques publiques locales, notamment en matière de rénovation énergétique et de gestion des copropriétés en difficulté. Une analyse statistique et une enquête de terrain ont permis de mieux comprendre comment l’ancrage territorial influence la pratique des syndics. De plus, les caractéristiques des cabinets en fonction de leur situation géographique ont été prises en compte pour affiner les critères d'observation. |
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| Les cimetières : quel potentiel pour renforcer l'offre en espaces verts ? |
Chaque commune francilienne possède son cimetière. Face au changement climatique et à la perte de biodiversité, cet équipement dispose notamment de nombreux atouts pour relever les défis environnementaux actuels. Les grandes superficies non construites que représentent les cimetières offrent des possibilités précieuses pour remédier à la difficulté de créer de nouveaux parcs et jardins publics. Cette étude invite à poser un nouveau regard sur les cimetières en Île-de-France. Elle vise à faire tomber les nombreuses réticences qui existent encore dans la société française pour imaginer un cimetière où peuvent vivre ensemble, et de manière durable, la faune, la flore et l’humain. |
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| Les fausses bonnes idées : les aménagements pour la petite faune |
Nichoirs à oiseaux, gîtes à chauves-souris ou encore hôtels à insectes sont autant d'aménagements artificiels de plus en plus plébiscités pour la préservation de la faune sauvage. Ces dispositifs, souvent installés dans des contextes urbains, sont parfois utilisés pour compenser l'altération des espaces de nature environnants. Néanmoins, leur installation peut occulter les réels enjeux de la conservation des populations d'espèces sauvages comme la protection et la restauration d'habitats fonctionnels pour les espèces. Ce webinaire, organisé par l'ARB îdF (département Biodiversité de l'Institut), a permis d'échanger sur ces aménagements et les raisons à l'origine de leur implantation ainsi que sur les bonnes pratiques garantissant leur succès. |
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| Coût du service public des déchets : 97 euros par Francilien en 2022
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Le référentiel régional 2022 sur le coût de la gestion des déchets montre un coût moyen de 97 euros par habitant pour les déchets ménagers et assimilés (DMA) en Île-de-France. La collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles représentent la part la plus importante des dépenses, tandis que la prévention reste peu financée avec seulement 1,2 euro par habitant en moyenne. Les recettes proviennent surtout de la revente de matériaux et de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères (TEOM), qui couvrent en moyenne 104 % des coûts du service. Dans un contexte de hausse continue des coûts, liée principalement à l'inflation et aux augmentations de taxes, la Région Île-de-France ambitionne d'optimiser les coûts de traitement dans le cadre de son plan de prévention et de gestion des déchets adopté en 2019. |
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