A la Une ce weekend
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| “Apeuré”, “dépassé”, le bénévole de la cathédrale de Nantes a tout avoué | Une semaine après l’incendie dans la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Nantes, le bénévole du diocèse est passé aux aveux et a été placé en détention provisoire dans la nuit de samedi à dimanche pour “destructions et dégradations par incendie”. “Il regrette amèrement les faits et évoquer cela a été pour lui une libération. Mon client est aujourd’hui rongé par le remords et dépassé par l’ampleur qu’ont pris les événements”, a indiqué son avocat. | |
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| 1 Français sur 3 refuserait de se faire vacciner contre le Covid, voici pourquoi | Selon un sondage YouGov pour Le HuffPost, 32% des Français interrogés du 23 au 24 juillet affirment qu’ils n’accepteraient pas de se faire vacciner si un vaccin contre le Covid était disponible. Étonnant? Pas forcément quand on sait que la France fait figure de championne du monde en matière de méfiance à l’égard des vaccins. “Je pensais que la dangerosité de la maladie et sa capacité à se répandre pourraient faire pencher la balance”, nous a confié le sociologue Jeremy Ward. Aujourd'hui, “le principal motif de cette réticence est l’idée que ce vaccin sera réalisé trop vite et risque par conséquent d’être peu sûr”. | |
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| Les tests PCR sont désormais remboursés, même sans ordonnance ni symptôme | La “guerre” contre le coronavirus n’est “pas encore gagnée”. Le ministre de la Santé Olivier Véran a insisté dans un entretien au Parisien ce dimanche sur la nécessité de respecter les gestes barrière mais aussi de se faire dépister “en cas de doute”, annonçant par la même occasion une nouvelle réglementation plus souple pour les tests PCR. Un nouvel arrêté signé samedi précise que les tests de dépistage au Covid-19 seront “entièrement remboursés, sans avoir besoin d’une ordonnance et sans avoir à se justifier de la démarche ou présenter des symptôme.” Face à l'embouteillage parfois constaté dans les laboratoires, pompiers, aides-soignants et étudiants en médecine sont désormais habilités à réaliser les tests pour le covid-19. | |
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| La Pologne indigne en rejetant la Convention d'Istanbul contre les violences sexistes | Le gouvernement polonais a confirmé samedi 25 juillet sa volonté de sortir de la “Convention d’Istanbul”, premier outil européen à fixer des normes juridiquement contraignantes en vue de prévenir la violence sexiste. Motif inoqué par le gouvernement ultra-conservateur polonais: la convention serait “une création féministe qui vise à justifier l’idéologie gay”. De quoi provoquer une vague de consternation en Europe. “Quitter la convention d’Istanbul serait fortement regrettable et serait un important recul dans la protection des femmes contre la violence en Europe”, s’est inquiétée, dans une déclaration écrite Marija Pejčinović Burić, la secrétaire générale du Conseil de l’Europe. | |
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| Pourquoi la “cancel culture” n’est pas si nouvelle que ça | Films, statues, marques, personnalités publiques: ces dernières semaines, la “cancel culture” a beaucoup fait parler d’elle avec la suppression ou le remplacement de nombreuses œuvres imposées par des mouvements en faveur de la justice raciale et sociale. Cette pratique se traduit par le fait de “condamner d’office” une personne et son œuvre après un acte répréhensible, en l’y associant totalement sans lui laisser la possibilité de s’exprimer ou de se justifier. Mais pour Virginie Mathe, maîtresse de conférence en histoire ancienne, “là où la cancel culture est nouvelle, c’est que ce pouvoir n’appartient plus à l’élite. Auparavant, c’est elle qui remplaçait et supprimait des œuvres, des personnes, c’était très commun. Et comme aujourd’hui cela consistait à effacer les noms, à enlever les statues, à interdire des cérémonies”. | |
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