L'essentiel de l'info ce matin
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| Macron ordonne l’instauration d’un couvre-feu dans les grandes villes | C’était dans les tuyaux, c’est désormais confirmé. Lors de son interview ce mercredi 14 octobre, Emmanuel Macron a annoncé l’instauration d’un couvre-feu pour limiter l’augmentation des cas de covid-19. “Ce qu’on appelle le couvre-feu est une mesure pertinente”, a déclaré le chef de l’État, précisant qu’il va s’appliquer à la région Île-de-France et dans plusieurs grandes villes, comme Marseille, Lyon, Lille, Grenoble ou Saint-Étienne. Ce couvre-feu s’appliquera pendant six semaines, entre 21 heures et 6 heures du matin, à partir de vendredi soir à minuit. | |
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| Macron demande d'appliquer la "règle des 6" lors des réunions privées | Le même principe qu’au restaurant mais appliqué plus largement à nos vies privées... Lors de ses annonces ce mercredi 14 octobre, Emmanuel Macron a demandé aux Français “au maximum de ne pas être plus de six à table” dans les réunions privées, afin de freiner la deuxième vague de l’épidémie de coronavirus. “Nous en avons jusqu’à l’été 2021 au moins avec ce virus”, a insisté le président, appelant donc chacun à faire preuve de responsabilité. | |
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| La “nouvelle” stratégie de tests de Macron est-elle si nouvelle que ça? | Gérer l’urgence, mais aussi préparer l’après. Dans son interview, Emmanuel Macron a annoncé une nouvelle salves de mesures, mais a également évoqué succinctement l’après. Pour “ne pas faire tout le temps des blocages et des redémarrages” a-t-il dit, il faut aussi “une montée en puissance tout le mois de novembre et en décembre”. Afin de “changer les choses”, le président a évoqué une nouvelle stratégie de tests: “tester, alerter, protéger”. Des termes qui ressemblent furieusement à la stratégie actuelle, mise en place au déconfinement: tester, isoler, protéger. | |
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| Pourquoi les renforts de soignants si attendus n’arrivent toujours pas | Ce n’est plus un secret: la France manque de soignants. La première vague de Covid-19 a révélé un système hospitalier à bout de souffle que le Ségur de la santé devait soigner. Une des lignes de cet accord prévoit le recrutement de 15.000 personnels supplémentaires pour soulager ceux mobilisés depuis des mois. De quoi préparer les hôpitaux à la deuxième vague qui s’abat sur la France? Pas tout à fait. Car malgré cette volonté d’embauche - qui tranche avec la logique d’austérité imposée depuis des années à l’hôpital public - les renforts ne sont pas encore visibles dans les couloirs des établissements de santé. | |
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| Face aux menaces de “no deal”, la France ne veut pas se laisser impressionner | Nous y sommes. Ce jeudi 15 octobre, les chefs d’États européens se réunissent à Bruxelles pour un Conseil européen qui affichera tout en haut de son ordre du jour le “très sensible” sujet du Brexit. Une réunion que le chef du gouvernement britannique, Boris Johnson, a unilatéralement fixé comme date butoir pour trouver un accord. Si l’Union européenne et Londres ont théoriquement jusqu’au 31 décembre 2020 pour s’entendre, la désignation de cette “deadline” est perçue comme une tentative de mettre la pression sur les 27, en laissant planer la menace d’un “no deal”. Ce qui, vu de Paris, n’impressionne guère. | |
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| La censure par Facebook et Twitter d'un article sur Biden indigne les républicains | Donald Trump s’est joint aux critiques contre Facebook et Twitter, qui ont limité mercredi 14 octobre le partage en ligne d’un article controversé du New York Post sur Joe Biden, candidat démocrate à la Maison Blanche, à seulement trois semaines de la présidentielle. Le journal conservateur a publié un article qui relance les accusations lancées contre le démocrate par le camp de Donald Trump, selon qui il aurait aidé le groupe gazier ukrainien Burisma à échapper à des enquêtes pour corruption, alors que son fils Hunter Biden siégeait au conseil de surveillance de la société. | |
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