A la Une ce vendredi
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| "Séparatismes", l'offensive de Macron contre l'islamisme qui ne dit pas son nom | Pour la quatrième fois depuis 2015, Emmanuel Macron se rend aux Mureaux ce vendredi 2 octobre. Et cette fois, ce n’est pas pour promouvoir l’accès à la culture mais pour lutter contre les “séparatismes” qu’il se déplace dans les Yvelines. Par “séparatismes”, il faut surtout comprendre “islamisme radical”. Un dossier particulièrement sensible sur lequel le chef de l’État a souvent été accusé d’avoir la main qui tremble, tant les annonces attendues ont été reportées. Pour faire face à la menace de “sociétés parallèles” qui se couperaient de la République, Emmanuel Macron mise sur une “stratégie globale”, alliant répression et promotion des principes républicains. Le tout assorti d'un slogan: “la République en actes”. | |
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| Des rafales de vent allant jusque186 km/h, la tempête Alex a touché l'ouest français | Une rafale enregistrée à 186 km/h à Belle-Ile-en mer, une autre à 157 km/h à Groix: après une première partie de nuit en vigilance rouge où le département a été vigoureusement bousculé par la tempête Alex, le Morbihan est passé en orange ce vendredi 2 octobre à 3H00 du matin, tandis que les vents violents continuaient malgré tout à sévir sur la région ouest, où les trois autres départements bretons restaient classés orange par Météo France | |
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| Discours cash et omniprésence à l'étranger: mais à quoi joue Macron? | Formation d’un gouvernement réformateur au Liban, médiation de la crise politique en Biélorussie, appel au cessez-le-feu au Haut-Karabakh... En seulement quelques jours, Emmanuel Macron s’est positionné de manière franche, voire musclée, au cœur des discussions dans plusieurs dossiers brûlants à l’international. Au-delà du fond, c’est surtout son style qui est remarqué. Car le chef de l’État parle sans ambages, se fâche parfois. "Il pense qu’un homme politique doit secouer le cocotier, quitte à ce que des diplomates calment le jeu ensuite". | |
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| Véran dément tout "traitement différencié" entre Paris et Marseille | La capitale bénéficie-t-elle d'un traitement de faveur par rapport à la Cité phocéenne? Alors que Paris et la petite couronne ont obtenu un sursis jusqu'à lundi avant de passer en "alerte maximale" Covid, la métropole marseillaise reste soumise à d'importantes restrictions sanitaires. "Il n'y a pas de traitement différencié", assure pourtant le ministre de la Santé, Olivier Véran, précisant que si Paris avait dépassé les trois seuils d'alerte le 24 septembre, “elle aurait basculé en zone d’alerte maximale comme Marseille”. En cas de dégradation de la situation épidémique dans la région capitale, les autorités décideront dimanche de la faire basculer en alerte rouge écarlate. | |
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| La situation épidémique se dégrade-t-elle dans votre département? | Pour bien comprendre comment les autorités sanitaires analysent l'évolution de l'épidémie, il faut regarder les différents indicateurs et surtout ne pas juger trop vite en s’appuyant sur un seul d'entre eux. Du taux d’incidence aux places réanimations en passant par le nombre de tests positifs, tous ont de possibles biais. Afin d’y voir plus clair, Le HuffPost vous propose donc de faire le point sur l’épidémie de coronavirus en France grâce à diverses cartes et graphiques commentés. | |
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| Pas de "groupe de la mort" pour les clubs français en Ligue des Champions | Après le “Final 8” inédit de Lisbonne fin août, mis en place à cause de la pandémie de Covid-19, la Ligue des champions a rechaussé les crampons avec le tirage au sort des poules à Nyon en Suisse. Les trois clubs français engagés, le PSG, Marseille et Rennes, ont appris le nom des trois adversaires qu’ils auront à affronter en poule. Et on peut dire qu'ils ont échappé au pire, même si certains matches devraient avoir une haute valeur émotionnelle. | |
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