C’est un dégât collatéral, passé inaperçu, du gel de l’aide internationale américaine : les ONG et médias russes en exil, opposés au régime de Vladimir Poutine, sont aujourd’hui en panne de financement, très dépendants du soutien américain. Ils se tournent vers l’Europe, en lui demandant de prendre le relais. |