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Rapport d'activité 2016 et 1er semestre 2017 de la très officielle Miviludes ou « Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires » (pour le télécharger Cliquez ICI).

Qu'on y prenne garde car ceux qui sont contre la vaccination obligatoire, ne sont que de dangereux sectaires qu'il faut surveiller et contrôler ![1] 


Chères amies et chers amis,

Je termine la lecture des pages 113 à 138 de ce rapport d'activité de la Miviludes dans lequel on découvre d'emblée qu'elle s'octroie un rôle très important.

Celui de se « féliciter ».

Se féliciter de quoi, me direz-vous ? De la lutte contre les effets secondaires, parfois mortels, de la vaccination infantile de masse ? De l'absence d'informations publiques objectives sur les dangers de la vaccination de bébés de 2 mois ?

Non, cette Mission se félicite « de la décision annoncée par le Premier ministre et la ministre de la Santé de porter à 11 les vaccinations obligatoires pour les enfants nés à partir du 1er janvier 2018[2]. »

Après des magistrats de la Cour des comptes, voici de nouveaux experts ès vaccinations[3]porte-voix du Premier ministre, de la ministre de la Santé et de l'industrie pharmaceutique vendeuse de vaccins, dont on va pouvoir apprécier le niveau de compétence dans les lignes qui suivent.

Avant même cette lecture, je me suis rappelé avoir intérieurement souri à celle d'un mail m'annonçant, il y a quelques mois, que son auteur me dénonçait à ladite Mission interministérielle (dont j'ignorais alors l'existence), pour : « activité sectaire qui remet en cause la vaccination obligatoire et met en danger la vie de jeunes enfants ». Je m'étais alors dit, « allez-y, dénoncez-moi également à l'Office central de lutte contre le crime organisé pendant que vous y êtes, lutter contre la vaccination obligatoire et dangereuse doit bien faire partie du « crime organisé » dans le cerveau de quelques demeurés ».

J'avais intérieurement souri, mais, à la lecture de ce rapport, j'ai eu tort. J'aurais dû m'inquiéter.

Cette vingtaine de pages est présentée comme une « étude » d'une certaine Lucie Guimier[4], « docteure »[5] en « géopolitique » officiant à l'Institut français de géopolitique[6]. Elle est intitulée : « La résistance aux vaccinations : d'un défi de santé publique à un enjeu de société ».

Naturellement, on se demande en quoi la géopolitique concerne les produits chimiques dangereux qui vont être inoculés en France dans le corps de bébés de 2 mois sous couvert de vaccination ? Mais, bon, pourquoi pas.

Toutefois, dès la page 115, on a compris qu'il ne nous serait épargné aucun lieu commun et aucun mensonge que les idiots utiles de l'industrie pharmaceutique, pro vaccins obligatoires[7], veulent nous faire passer pour des vérités.

Géographe, Lucie Guimier termine son introduction sur un : « Dans un premier temps, je propose de mettre en évidence les conséquences du refus vaccinal pour en comprendre les enjeux. »

On se demande alors si elle a des compétences particulières en immunologie ou en pharmacologie qui lui permettraient d'avoir, sur ces questions compliquées, un avis autorisé, c'est-à-dire autre que celui de tout un chacun ?

Manifestement, ce n'est pas le cas. Il n'est fait nulle part état à son sujet d'études supérieures qu'elle aurait suivies sur ces questions ou d'ouvrages qu'elle aurait publiés après de longues et fastidieuses recherches documentées. On assiste donc à un détournement de compétences scientifiques où une géographe va nous asséner des « vérités d'expert » qui échappent à son domaine d'expertise.

D'ailleurs, nous pourrons également profiter de ses lumières en sociologie et en psychosociologie car, nous dit-elle : « Dans un second temps, je présenterai des éléments explicatifs permettant d'identifier les conditions sociales dans lesquelles les discours anti-vaccinaux se créent et se propagent (On appréciera le choix du verbe  « propager ». Commentaire de Pierre Lefevre). »

On remarquera qu'il n'est fait nullement référence aux nombreuses études publiées par des chercheurs indépendants de l'industrie pharmaceutique, comme celles de la revue Cochrane au sujet des vaccins pour prévenir la grippe chez les adultes en bonne santé[8], ou celle intitulée « Administration d'un vaccin combiné pour protéger les enfants contre la rougeole, les oreillons et la rubéole[9] » qui conclut : « La conception et la notification des résultats sur la tolérance dans les études réalisées sur le vaccin ROR, avant et après sa mise sur le marché, sont clairement inadaptées. Les preuves concernant des événements indésirables suite à l'immunisation avec le vaccin ROR ne peuvent pas être séparées de son rôle pour la prévention des maladies ciblées. »

         Mais ne soyons pas trop sévères, page 117, Lucie Guimier nous rappelle que :

 « Suivant le consentement libre et éclairé du patient « aucun acte médical, ni aucun traitement ne peuvent être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être réservé à tout moment », une volonté que le médecin est tenu de respecter après avoir informé le patient des conséquences de ses décisions. Le Conseil de l'Ordre des médecins mentionne cependant que « le médecin est dans l'obligation éthique de vaincre les réticences des patients et une telle négligence dans cette circonstance serait dès lors considérée comme une faute de nature à engager sa responsabilité s'il était prouvé que le patient n'en a pas été informé avec conviction » (Gaudelus, 2008). Le médecin peut ainsi être sanctionné par le Conseil de l'Ordre s'il est prouvé qu'il n'a pas rempli son devoir de conseil (Devoir de persuader son patient d'accepter la vaccination. Précision de Pierre Lefevre). Le refus vaccinal est donc clairement un droit, au nom de la liberté de conscience et l'inviolabilité du corps humain, qui rentre en contradiction avec un devoir et parfois une obligation. Si l'obligation n'est pas respectée, l'inscription à l'école peut être refusée mais les sanctions sont rares[10] et le principe de l'obligation fait surtout appel au sens civique des individus (C'est pas bien cela, de ne pas vouloir se soumettre à l'obligation vaccinale. Commentaire de Pierre Lefevre). »

Il s'ensuit 10 pages[11] qui tendent à démontrer, graphiques et cartes coloriées à l'appui, la corrélation qu'il y aurait entre « l'épidémie » de rougeole qui aurait sévi en France entre 2008 et 2012 et la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X ou encore avec les écoles adeptes de la pédagogie Steiner-Waldorf (on comprend enfin le message : ces affreux adeptes de l'anthroposophie ou ces catholiques intégristes sont les dangereux sectaires responsables de l'épidémie de rougeole , et sans doute des autres, en France).

Pour Lucie Guimier, il y aurait eu en France « entre 2008 et 2012 plus de 22 000 cas de rougeole dont 15 000 cas pour la seule année 2011 » et qui auraient été la cause de 14 décès.[12]

À l'appui de ses affirmations chiffrées, Lucie Guimier nous renvoie à la note suivante[13] : « La source concernant les décès est le Centre d'épidémiologie sur les causes médicales de décès (CépiDc) de l'Inserm. Les autres données épidémiologiques proviennent de : Antona et al., (2012) ; données comprises entre janvier 2008 et mai 2012 (soit pendant quatre années. Précision de Pierre Lefevre). »

Or, ces dates et ces chiffres sont faux et ils posent des problèmes !

Si la consultation du site du CépiDc[14], utilisé comme référence par la géographe, ne permet pas d'avoir accès à la moindre donnée chiffrée sur la rougeole[15] alors que celle de « Antona et al » est muette sur Google, sur le site de l'Institut de la veille sanitaire,[16] nous avons accès à ces informations au sujet de la rougeole :

« Du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2017 (Soit sur 10 années et non pas 4 comme l'affirme Lucie Guimier. Précision de Pierre Lefevre), plus de 24 500 cas de rougeole ont été déclarés en France (dont près de 15 000 cas pour la seule année 2011). Après avoir fortement diminué en 2012, le nombre de cas déclarés est resté stable en 2013 et 2014 (respectivement 859, 259 et 267 cas). En 2015, le nombre de cas augmentait de nouveau (364 cas), en lien avec un important foyer épidémique en Alsace (230 cas). En 2016, une circulation moindre du virus de la rougeole a été notée avec seulement 79 cas déclarés, mais elle s'est intensifiée en 2017 avec un total de 519 cas déclarés, en lien surtout avec des foyers épidémiques en Lorraine, Nouvelle-Aquitaine et Occitanie (pour en savoir plus : bilan épidémiologique rougeole 2017). Au cours de ces dix années, plus de 1 500 de ces cas ont présenté une pneumopathie grave, 38 une complication neurologique (35 encéphalites, 1 myélite, 2 Guillain-Barré) et 11 sont décédés. Mais 9 décès supplémentaires ont pu être identifiés lors de l'analyse des certificats de décès parvenus à l'Inserm CépiDC entre 2008 et 2014, portant à 20 le nombre total de décès de rougeole survenus sur la période 2008-2017 (Il ne s'agit donc pas de 14 décès sur 4 ans, mais de 20 sur 10 ans, selon les chiffres des autorités officielles, ce qui statistiquement change beaucoup de choses. Précision de Pierre Lefevre). »

La répétition de ces dates et chiffres, à la fois dans le titre du chapitre, dans le corps du texte et dans les notes, rend difficile l'idée qu'il s'agit de coquilles et les mauvais esprits, dont je ne fais pas partie, y verront une volonté de falsification des faits. Toutefois, sans aller jusque-là, on peut, pour le moins, trouver étrange qu'une « docteure » en géopolitique rende un travail officiel destiné au Premier ministre avec de telles erreurs et de telles approximations. C'est dire le sérieux de cette Mission interministérielle, dont certains membres semblent plus forts dans le « léchage de bottes » des autorités étatiques que dans le respect des règles et de la rigueur scientifiques.

Une « étude » farfelue et inquiétante

Non seulement cette géographe comprime, volontairement ou involontairement, des données sur 4 ans alors qu'elles concernent une période de 10 ans, mais le reste est du même acabit : affirmations non étayées par des faits contrôlables, citations de propos anonymes invérifiables ou, encore, points de vue personnels moralisateurs.

Lisons, parmi d'autres, ce simple passage qui peut être le fruit de l'imagination de son auteur : « J'ai rencontré au cours de mes recherches un père de famille ardéchois qui m'a expliqué avoir retiré son enfant d'une de ces écoles (Pédagogie Steiner-Waldorf. Précision de Pierre Lefevre), jugeant que le projet pédagogique n'était pas celui qu'il espérait. Ayant perdu confiance envers l'Éducation nationale après avoir « souffert dans le système classique », il n'a pas hésité à débourser 2 400 euros de frais de scolarité annuels pour assurer une bonne éducation à son enfant. Il m'a par ailleurs expliqué avec désarroi que la mère de l'enfant avait dû accepter de travailler quelques heures par semaine au sein de l'établissement pour combler les frais de cantine s'élevant à une centaine d'euros par mois. »

De la page 129 à 132, on a droit à une attaque quasiment délirante du professeur Henri Joyeux par cette géographe, dont on se demande si elle ne va pas finir par réclamer son internement d'office. Elle tente d'ailleurs d'assimiler l'éminent professeur et cancérologue à « un dissident parmi les siens ».

En effet, dans ce passage, on peut lire sans qu'il y ait le moindre retour à la ligne : « un dissident parmi les siens : ancien cadre de laboratoires pharmaceutiques, prescription de thérapies alternatives lui ayant valu d'être rayé du Conseil de l'Ordre des médecins, ou toute autre attitude dissidente. Dans ses textes, Henri Joyeux s'adresse davantage aux femmes (20 fois) qu'aux hommes (12 fois). Le choix de cibler son message vers un public féminin n'est pas neutre. Il est en effet admis qu'en matière de santé, les décisions prises pour les enfants incombent majoritairement aux mères. »

Après s'être également attaqué à l'Institut pour la protection de la santé naturelle (IPSN), notre géographe, fâchée avec les chiffres, les dates et les faits vérifiables, nous assène une conclusion qui fait froid dans le dos :

« L'invocation du complot étatique ou des laboratoires pharmaceutiques est également fréquente dans les milieux réfractaires à la vaccination, qui mêlent dans leur discours des éléments véridiques à des arguments non fondés scientifiquement. Au terme de cette réflexion, la vaccination apparaît ainsi être en lien avec des idéologies dont des mouvements de nature sectaire peuvent se servir pour gagner des parts de marché. Face à l'idée aujourd'hui répandue que toutes les données disponibles se valent, de l'information scientifique aux « faits alternatifs », la question se pose de savoir comment renforcer la vigilance, notamment pour défendre le symbole que représente la politique vaccinale dans la construction du projet national de santé publique. Internet doit bien sûr être investi par les autorités de santé publique et les scientifiques pour faire la transparence sur les interrogations qui entourent les vaccins. Enfin, il est nécessaire que les principales institutions de l'État soient vigilantes à la propagation de théories et pratiques vaccino-sceptiques en leur sein, comme par exemple à l'école publique, lieu de socialisation et de promotion du vivre-ensemble par excellence. »

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Ce rapport de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires, qui classe parmi les agents propagateurs des dérives sectaires ceux qui, comme moi, se battent contre cette vaccination obligatoire insensée et scientifiquement totalement injustifiée, mérite quelques observations et rappels.

Selon les chiffres officiels, l'épidémie de rougeole a provoqué 20 morts en 10 ans. Pendant la même période, les infections nosocomiales et les médicaments vendus par les pharmacies sur ordonnances des médecins ont provoqué[17] un total qui se situe entre 215 000 et 250 000 morts :

  1. Les médicaments ont été à l'origine de 180 000[18] à 200 000 morts[19].
  2. Les infections nosocomiales : entre 35 000 et 50 000 morts[20].

À l'instar de cette « étude » publiée dans le rapport de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires, nous pourrions avec des graphiques et des schémas coloriés, dresser la carte de France des 215 000 ou 250 000 morts de ces 10 dernières années et mettre en corrélation, dans une étude, la situation géographique des pharmacies dans lesquelles ils ont acheté les médicaments mortels et celle des médecins qui leur ont prescrit les ordonnances.

Et nous pourrions suggérer d'inclure dans le prochain rapport de la Miviludes cette étude qui serait intitulée : « La dérive sectaire des pharmaciens et de médecins a causé entre 215 000 et 250 000 morts ces dix dernières années en France » et de suggérer au gouvernement de prendre des mesures efficaces pour mettre fin à cette dérive et à l'hécatombe.

Bonne continuation à toutes et à tous et bien amicalement.

Résistons !

Pierre Lefevre

Nouvelle adresse email : lefevrepierre@gcpww.org


Pour télécharger le rapport d'activité 2016 et 1er semestre 2017 de la MIVILUDES, Cliquez ICI

[1] La phrase « ceux qui sont contre la vaccination obligatoire ne sont que de dangereux sectaires qu'il faut surveiller et contrôler ! » est de de Pierre Lefevre, elle ne se trouve pas dans le rapport. C'est la conclusion qu'il tire de la lecture de ces pages.

[2] Page 113.

[3] Qui ne connaissent sans doute de la vaccination que son calendrier vaccinal.

[4] Lucie Guimier est l'auteur de la thèse « Approche géopolitique de la résistance aux vaccinations en France : le cas de l'épidémie de rougeole de 2008-2011 », thèse soutenue le 7 novembre 2016 à l'université Paris VIII.

[5] La lettre « e » à docteur est dans le texte. Elle serait en fait docteur en géographie, selon l'interview qu'elle accorde au site https://socgeo.com/2017/11/20/lucie-guimier-accepter-ou-refuser-un-vaccin-est-une-maniere-de-concevoir-et-de-faire-sa-place-dans-la-societe/ et où l'on peut également apprécier la platitude des lieux communs qu'elle utilise pour justifier la vaccination obligatoire.

[6] Université de Paris VIII.

[7] Qui ont, et cette « étude » le confirme, une fâcheuse tendance à prendre leurs contemporains pour plus idiots qu'eux.

[8] http://www.cochrane.org/fr/CD001269/les-vaccins-pour-prevenir-la-grippe-chez-les-adultes-en-bonne-sante.

[9] http://www.cochrane.org/fr/CD004407/administration-dun-vaccin-combine-pour-proteger-les-enfants-contre-la-rougeole-les-oreillons-et-la

[10] On aimerait des chiffres précis et non une vague affirmation qui ne veut rien dire.

[11] De la page 118 à la page 129.

[12] Page 118, partie intitulée « Le refus vaccinal, une décision qui a des répercussions sur la santé publique – Les leçons de la progression spatiale de l'épidémie de rougeole de 2008-2012 ».

[13] Note n° 4 de la page 118.

[14] http://www.cepidc.inserm.fr/

[15] Sauf incompréhension de la navigation sur ce site de ma part.

[16] http://invs.santepubliquefrance.fr/Dossiers-thematiques/Maladies-infectieuses/Maladies-a-prevention-vaccinale/Rougeole/Points-d-actualites/Epidemie-de-rougeole-en-France.-Actualisation-des-donnees-de-surveillance-au-20-fevrier-2018

[17] Par extrapolation des chiffres donnés par les professeurs Bernard Bégaud, Bernard Debré et Philippe Even.

[18] Selon les estimations du professeur Bernard Bégaud : http://www.lemonde.fr/sante/article/2013/05/27/les-medicaments-causent-au-moins-18-000-morts-en-france_3418273_1651302.html#OXEId7bXJhOxY1Zv.99 – L'article du journal Le Monde précise que : « Par comparaison, en 2012, 3 645 personnes ont été tuées sur les routes, selon les chiffres de la sécurité routière. »

[19] Selon les professeurs Bernard Debré et Philippe Even : https://www.lisez.com/ebook/guide-des-4000-medicaments-utiles-inutiles-ou-dangereux/9782749130019

[20] Bertrand Gachot et Patrick Ledrappier, Tout savoir sur les infections nosocomiales, que risquez-vous à l'hôpital ? Lausanne, éditions Favre, 2006 et http://www.infonosocomiale.fr/stats.php.


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132 bld du Montparnasse

75014 Paris

 

 


COMMUNIQUÉ DE PRESSE

 

Vaccination obligatoire :

Les 1 000 premières plaintes pénales ont été transmises le mercredi 21 février 2018 au procureur de la République de Paris par Me Serge Lewisch, du barreau de Paris

 

 

Le gouvernement français actuel a fait voter le 4 décembre 2017 une loi imposant à nos enfants l'inoculation obligatoire de très nombreux vaccins, dès l'âge de 8 semaines et avant 18 mois.

 

Cette loi devrait avoir pour conséquence immédiate la production sans délai de vaccins non dangereux pour la santé des nourrissons par les laboratoires et leur mise à disposition dans les pharmacies.

 

Ce n'est pas le cas aujourd'hui.

 

On nous affirme qu'il y aurait 11 vaccins obligatoires.

 

En réalité, comme il est démontré dans la plainte pénale jointe en copie, il s'agit de 11 maladies mais de 73 vaccins injectés dans le corps des enfants entre 8 semaines et 18 mois dont la plupart contiennent des métaux lourds neurotoxiques, comme de l'aluminium et du mercure ainsi que d'autres substances, comme le formol, aux effets toxiques, voire mortels (21 vaccins injectés à trois reprises auxquels il faut ajouter 10 autres vaccins) !

 

Rappelons qu'en septembre 2014 le très officiel « Comité technique de la vaccination » recommandait l'abandon pur et simple de la vaccination obligatoire pour cause d'anachronisme médical.

 

Les vaccins seraient désormais sûrs et sans danger

 

Ce n'est pas ce que pense la justice philippine qui a engagé des poursuites et qui compte depuis décembre 2017 les enfants décédés après la vaccination massive contre le virus de la dengue avec des vaccins français du groupe Sanofi-Pasteur !

 

L'histoire récente nous démontre qu'il ne faut absolument pas faire confiance aux discours « officiels » rassurants en matière de santé. Rappelons-nous des affaires de l'amiante ou du Mediator®.

Des « scientifiques » en place, des « journalistes santé » des responsables politiques et les représentants du lobby de l'amiante ou du lobby pharmaceutique affirmaient la main sur le cœur :

« L'amiante ? Cela n'a jamais déclenché le moindre cancer. » (On attend encore plus de 100 000 morts dans les prochaines années.)

« Le Mediator® ? Jamais fait de mal à personne. » (Les « experts » officiels prévoient 1 800 morts.)

 

Les laboratoires pharmaceutiques et leurs « experts », qui ne peuvent nier l'évidence des effets secondaires des vaccins puisque certains figurent même sur leur notice, allèguent un prétendu rapport « bénéfice-risque » qui leur serait tout de même favorable.

Mais il faudrait savoir exactement ce que recouvrent ces mots en matière de santé lorsque, après des vaccinations infantiles de masse, des enfants meurent.

 

Pour ne prendre qu'un seul exemple, en France, après plus de vingt ans de procédure (!), l'État (l'Oniam, donc nos impôts, et non les laboratoires qui vendent ces vaccins et engrangent des bénéfices mirobolants) a été condamné le 22 décembre 2017 par la cour administrative de Nantes à verser plus de 190 000 euros à une secrétaire médicale ayant développé une maladie neurologique à la suite de sa vaccination contre l'hépatite B.

 

Lors de procédures antérieures, le Conseil d'État avait estimé le 11 mai 2016 que « le lien de causalité entre la vaccination contre l'hépatite B subie par Mme L. dans le cadre de l'obligation vaccinale liée à son activité professionnelle et la myofasciite à macrophages dont elle souffre doit être regardé comme établi et de nature à ouvrir droit à réparation à son profit au titre de la solidarité nationale ».

 

Ajoutons que l'on voit mal comment le vaccin contre l'hépatite B, qui fait partie des vaccins obligatoires, pourrait présenter le moindre bénéfice pour les nourrissons puisque l'hépatite B se transmet par voie sexuelle ou partage de seringue non stérilisée (ce qui était un des principaux vecteurs de contamination dans les hôpitaux jusque dans les années 1985, et ce qui l'est encore aujourd'hui avec la contamination intraveineuse liée aux injections de drogues par les toxicomanes qui restent, à ce jour, et en réalité, les seuls « groupes à risque »).

Par ailleurs, son efficacité officielle ne dépasse pas au maximum quinze ans et souvent moins en fonction des particularismes physiologiques individuels.

 

Ce n'est pas le principe de la vaccination que remet en cause notre plainte pénale, mais :

les substances utilisées pour fabriquer ces « vaccins », en particulier les adjuvants à base d'aluminium, ou des substances chimiques comme le formol, qui sont potentiellement mortelles ou en tout cas susceptibles de provoquer de graves maladies neurologiques ;

la « pertinence » physiologique de vacciner des nourrissons dès 8 semaines ;

le remplacement du principe de précaution par celui du « bénéfice-risque » au service des laboratoires : augmentation maximum de leurs bénéfices et risque nul puisque, en cas d'effets secondaires, y compris dramatiques, c'est l'État (Oniam), c'est-à-dire le contribuable, qui indemnise les victimes (si elles sont encore vivantes après des années de procédure !) ;

- la vaccination de masse et l'absence la plus élémentaire d'évaluation des risques pour chaque nourrisson pris individuellement. Par exemple, certains nourrissons sont en effet allergiques à toute vaccination alors qu'il n'est pas prévu d'examen systématique des allergies éventuelles.

 

Et, enfin, ce qui est en cause, ce sont nos droits d'êtres humains libres d'être responsables de nos corps face à la dictature des laboratoires pharmaceutiques qui se met en place et qui viole l'un de nos droits fondamentaux d'être humain : « Le libre consentement éclairé ».

Rappelons que « le libre consentement éclairé » est un principe médical éthique universel érigé en norme juridique en 1947 dans la foulée du deuxième procès de Nuremberg qui jugea les médecins nazis pour leurs crimes expérimentaux sur des êtres humains.

Au Canada et dans la plupart des États des États-Unis, afin de respecter ce droit humain fondamental, chaque citoyen peut s'opposer à la vaccination obligatoire au nom de sa liberté de conscience ou de sa religion !

 

Il est donc très probable qu'une catastrophe sanitaire se prépare, avec des effets secondaires gravissimes, voire des décès, chez des enfants en bas âge, en relation avec cette vaccination obligatoire groupée de vaccins dangereux qu'aucun risque épidémique et aucune donnée scientifique n'ont justifiée à ce jour.

 

Nous avons décidé de résister.

 

Nous vous joignons la copie de cette plainte.

 

Bien à vous et très amicalement.

 

Sophie Guillot, porte-parole du collectif « Ensemble pour une vaccination libre » – contact@epvl.eu

Pierre Lefevre, porte-parole du collectif « Libre consentement éclairé » – lefevrepierre@gcpww.org

 


Plainte pénale contre les 73 vaccins obligatoires :

Rejoignez les 1000 premiers plaignants !


Résistons !

 


  

Ils violent nos droits fondamentaux d'être humain !

 

Le « libre consentement éclairé », principe médical éthique universel reconnu en 1947 dans la foulée du deuxième procès de Nuremberg, qui jugea les médecins nazis pour leurs crimes expérimentaux sur des êtres humains, semble n'avoir aucune importance à leurs yeux.

 

Ce principe est jeté aux orties par la ministre de la Santé, Agnès Buzyn et les partisans des « vaccins-à-tout-prix-et-quoi-qu'ils-contiennent ».

 

Rappelons qu'au Canada et que dans la plupart des Etats des USA, chaque citoyen peut s'opposer à la vaccination obligatoire au nom de sa liberté de conscience ou de sa religion !

 

Les vaccins seraient sûrs et sans danger…

 

Allez dire cela aux Philippins qui comptent depuis décembre 2017 les enfants morts après la vaccination massive contre le virus de la dengue avec les vaccins français du groupe Sanofi-Pasteur !

 

Rappelons-nous des discours « officiels » lors des affaires de l'amiante ou du Médiator®.

Les « scientifiques » en place, les « journalistes santé » les responsables politiques et les représentants du lobby de l'amiante ou du lobby pharmaceutique, nous chantaient à l'unissons, la main sur le cœur et la voix suave : « L'amiante ? Cela n'a jamais déclenché le moindre cancer (on attend encore plus de 100 000 morts dans les prochaines années) », « le Médiator® ? Jamais fait de mal à personne (les « experts » officiels prévoient 1800 morts) ».


Et à ce jour, personne n'a pu nous expliquer pourquoi on rend obligatoire aujourd'hui l'extension de la vaccination, alors qu'en septembre 2014, les autorités médicales en recommandaient l'abandon pur et simple ?

 

Nous vous proposons de nous rejoindre en signant à votre tour cette plainte pénale complétée des événements les plus récents (nous ne cesserons d'envoyer les nouvelles au procureur de la République).

 

Soyons, 5 000, soyons 10 000, soyons encore plus nombreux à nous opposer fermement à ce crime contre « l'immunité » pour reprendre l'expression d'Isabelle Adjani !

 

Pour résister avec nous, il vous suffit de :

  1. De télécharger, de lire la plainte pénale avec attention Cliquez ici pour la plainte pénale ;
  2. D'imprimer et de signer la dernière page de la plainte pénale ;
  3. De télécharger et d'imprimer et de le remplir (renseignements sur l'état civil, etc.) : Cliquez ici pour le formulaire ;
  4. De faire une copie de votre pièce d'identité ;
  5. De numériser ces trois documents ;
  6. De nous les renvoyer par email à l'adresse suivante :  " vaccination-plainte-penale1801@gcpww.org " ou par courrier à l'adresse suivante : Maître Serge Lewisch, 132, boulevard du Montparnasse - FR 75014 Paris.


  Bien à vous et très amicalement.

 

Sophie Guillot, porte-parole du collectif « Ensemble pour une Vaccination Libre » contact@epvl.eu

Pierre Lefevre, porte-parole du collectif « Libre consentement éclairé » lefevrepierre@gcpww.org



Nous rappelons que notre petite équipe et totalement bénévole et que Maitre Serge Lewisch (sergelewischavocat@gmail.com) nous représente pro bono (gratuitement) jusqu'au dépôt des plaintes au Procureur.


Si d'autres procédures sont nécessaires par la suite, comme celle de faire nommer un juge d'instruction, chacun sera sollicité par avance pour son accord et jamais il ne vous sera demandé la moindre somme d'argent sans que vous en ayez donné formellement l'autorisation avant.

 

Résistons !

 

Rappel :


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