Au lendemain du 11 novembre, Cybergun a annoncé avoir reçu le feu vert du ministère de l’Intérieur pour fabriquer, vendre et stocker des armes à feu, des vraies, plus seulement des répliques factices pour l’entraînement militaire et le loisir, comme il le faisait jusqu’à présent. L’action, certes réduite au statut de "penny stock", n’en a pas moins bondi de plus de 70 %.