Trois jours après l’attaque mortelle au couteau de Villeurbanne, la piste d’un individu déséquilibré semble être privilégiée par les enquêteurs. Faisant fi des justifications religieuses de l’assaillant, la thèse commode de l’aliénation mentale dissimule le lien d’ordre idéologique entre l’attaque et l’islam. |