Chers amies et chers amis,
Nos serveurs ont de nouveau subi une attaque et nous avons perdu une partie de nos données et nous souhaiterions reconstituer notre fichier informatique des adresses emails des signataires de la plainte pénale.
Ainsi, si vous avez signé cette plainte, ET SEULEMENT SI VOUS L'AVEZ SIGNEE, cet email vous concerne.
Pouvez-vous nous envoyer un email à cette adresse intitulé simplement "Signataire", ce qui nous permettra de faire plus facilement les rapprochements avec nos fichiers papier :
« plaignantsvaccination@gcpww.org »
En vous remerciant pour cela.
Par ailleurs, vous êtes nombreux à nous demander des nouvelles, ce qui est bien normal et nous sommes désolés de ne pas avoir toujours le temps de faire des réponses individuelles.
Voici quelques informations afin de faire le point.
Plainte pénale
A ce jour :
- Comme vous le savez, nous avons transmis au procureur de la République de Paris (Parquet financier, Pôle santé), les 1000 premières plaintes le 21 février dernier ;
- Cette première transmission des plaintes a ouvert le délai de 3 mois pendant lesquels le procureur de la République peut décider tout à fait arbitrairement :
- D'un classement sans suite pur et simple (art. 40-1 du Code de procédure pénale), ce qui signifie qu'il considère que notre plainte pénale n'est pas fondée en droit ou en faits (il peut estimer, par exemple, ce qui nous semble d'ailleurs le plus probable, qu'aucun d'entre nous n'a à ce jour ce qu'on appelle « intérêt à agir ») ;
- D'engager des poursuite (art. 40-1 du Code de procédure pénale), mais, compte tenu des liens de subordination qui existent entre le procureur de la République et le gouvernement, cette option ne sera vraisemblablement pas mise en uvre et, ce, malgré la réalité des infractions, crimes et délits dénoncés dans notre plainte ;
- Nous recevons toujours de nombreuses plaintes, y compris par voie postale chez maître Serge Lewisch (132, bd du Montparnasse 75014 Paris), nous les enregistrons et les vérifions, elles seront transmises également au parquet avant 20 mai 2018.
Que se passera-t-il après le délai de 3 mois ?
Au cas, fort probable, où le procureur de la République décide d'un classement sans suite, nous pourrons, pour ceux qui le souhaiterons, et uniquement pour eux, nous constituer « partie civile » (art. 85 et suivants du Code de procédure pénale) auprès du juge d'instruction.
Le juge d'instruction pourra demander la consignation pour chaque plaignant d'une somme d'argent dont-il fixe en principe le montant en fonction des revenus du plaignant (somme d'argent restituée à la fin de la procédure, sauf si la plainte lui semble abusive). Les personnes aux revenus modestes peuvent bénéficier de l'aide juridictionnelle et être dispensées de cette consignation.
Comment préparer la saisine du juge d'instruction ?
L'intérêt à agir
Une des raisons qui pourraient être retenues par le procureur de la république pour classer sans suite notre plainte, est « le manque d'intérêt à agir ». Cela signifierait qu'il ne se prononce pas sur la réalité des infractions, crimes et délits que nous dénonçons, mais qu'il considère, tout à fait arbitrairement, qu'aucun d'entre nous n'a la qualité de victime, ou de victime potentielle, de ces infractions, crimes et délits.
Il serait donc préférable que nous puissions également présenter des plaintes dont les auteurs auraient la qualité de victime ou de victime potentielle :
- Parents ou grands d'enfants nés à partir du 1er janvier 2018 ;
- Parents ou grands-parents d'enfant victimes de vaccinations après le 1er janvier 2018 ;
- Parents ou grands-parents d'enfant nés après ou avant le 1er janvier 2018 refusés dans les crèches ou garderies d'enfants pour cause de non vaccination ;
- Futurs parents ou grands-parents.
Si vous pensez avoir la qualité juridique de « victime » ou « victime potentielle », afin de faciliter de notre travail de classement, merci de :
- Nous envoyer un email à : « plaignantsvaccination@gcpww.org »
nous indiquant simplement : « victime potentielle » (parents ou grand-parents) ou « victime » en nous précisant de quoi à souffert votre ou vos enfants après la vaccination.
ou
- Envoyer ces indications par courrier à Maître Lewisch, avocat, 132 bd du Montparnasse 75014 Paris France
Mais encore
Nous recevons également de nombreux emails de parents ou de grands parents qui nous posent cette question délicate : Que faire face à la vaccination obligatoire lorsque nous refusons de mettre en danger la vie de nos enfants ?
Quelques éléments de réponses :
Cadre général
La loi étant obligatoire, chacun d'entre nous est censé s'y soumettre. Toutefois, lorsqu'on ne le veut pas pour des raisons impérieuses de nécessité (la santé de nos enfants en fait partie), il est toujours utile d'apprécier les diverses conséquences auxquelles on s'expose.
A cet égard, à chacun d'entre nous de lire ce que prévoit comme sanctions le texte de loi et de voir s'il est à même d'y faire face, pas seulement pénalement, mais également socialement : refus des admissions en crèches, en garderies, etc.
Examens pré-vaccinaux
Pour ceux qui craignent à juste titre pour leurs enfants ou petits-enfants les effets secondaires qui peuvent être graves des vaccins, Serge Rader, auteur d'un livre sur la vaccination, pharmacien, recommande de demander à son médecin les examens pré-vaccinaux suivants :
- Ionogramme complet et dosage de l'urée
- Lipidogramme
- Bilan endocrinien
- Titrage de tous les anticorps spécifiques aux vaccinations déjà subies
- Test de dépistage Sida + hépatites = contre-indications
- Electrophorèse et Immunophorèse des protéines sériques (pour déterminer la capacité ou pas à fabriquer des Ac)
- Temps de saignement, temps de coagulation et différents facteurs sanguins pour diagnostiquer éventuels troubles
- Radio des poumons pour savoir si tuberculose pulmonaire (encore 4600 cas en France qui diminuent toujours d'environ 2% l'an malgré le retrait de l'obligation de l'inutile BCG en juillet 2007)
- Recherche albuminurie, comme auparavant avant tout vaccin, pour déceler éventuelle insuffisance rénale contre-indiquée
- batterie de tests allergiques (IgE) concernant les excipients des vaccins utilisés
- Typage HLA (risque x9 chez certains sujets de développer maladies auto-immunes ou démyélinisantes
- Pour le bilan endo-hormonal = FSH, LH, TSH, E2, Prolactine, Progestérone, T4-T3
- Pour bilan coagulation : TP, TCA, Fibrine.
Afin d'engager la responsabilité du médecin en cas de problème par la suite, nous vous recommandons d'effectuer cette demande à votre médecin ou au pédiatre de votre enfant, en RAR (recommandé avec accusé de réception).
Par ailleurs, ces examens nécessitent une entende préalable de la sécurité sociale, dont on peut penser qu'elle sera systématiquement refusée, mais ce refus ouvrira droit une action judiciaire administrative.
Serge Rader nous a par ailleurs précisé que les examens pré-vaccinaux sont demandés dans les conclusions de la Commissions d'enquête parlementaire italienne du 7 février dernier (17eme Législature ; DOC 22 bis, N° 23).
Bonne continuation à tous et bien amicalement.
Résistons !
Pierre Lefevre
Nouvelle adresse email : lefevrepierre@gcpww.org (mon ancienne adresse est victime d'attaques massives, plusieurs milliers par jours, d'emails hostiles de la part de robots).
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