Alors que le chef de l’Etat est resté désespérément silencieux sur l’attaque perpétrée par un islamiste à proximité de l’ancien siège de Charlie Hebdo, il se montre bavard et d’une rare virulence à l’égard des dirigeants libanais. Une communication paradoxale qui renforce le sentiment d’un président en apesanteur, analyse Arnaud Benedetti.
|