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Monsento condamné à verser 290 millions de dollars à Dewayne Johnson, un jardinier victime d'un cancer provoqué par l'herbicide Roundup
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Un procès retentissant vient de se conclure à San Francisco aux États-Unis. Il en préfigure des milliers d'autres déjà en cours aux US.
Après 1 mois de débat et une délibération des jurés entamée le 8 août, le verdict est tombé : « Monsento devra payer 290 millions de dollars de dommages pour ne pas avoir informé de la dangerosité de son herbicide Roundup à l'origine du cancer de Dewayne Johnson. »
Monsento interjette appel
Les avocats de la firme condamnée ont immédiatement déclaré leur intention d'interjeter appel de cette décision historique en déclarant :
« Nous exprimons notre sympathie à Dewayne Johnson et à sa famille. La décision d'aujourd'hui ne change pas le fait que 800 études scientifiques et les conclusions de l'agence américaine de la protection de l'environnement (EPA), des instituts nationaux pour la santé et des autres autorités de régulation à travers le monde soutiennent que le glyphosate ne cause pas de cancer et n'a pas causé le cancer de Dewayne Johnson »
Les procès contre Monsento aujourd'hui aux États-Unis sont, en France, les procès de demain contre les laboratoires pharmaceutiques vendeurs de vaccins, comme ils ont été hier ceux de l'amiante et du Médiator.
Herbicides, médicaments et vaccins destructeurs de notre santé, ils utilisent toujours les mêmes arguments fallacieux pour continuer à engranger des milliards de profits en toute impunité !
Il nous est toujours opposé les mêmes arguments :
- Des études scientifiques qui démontreraient l'innocuité des produits ;
- Une reconnaissance de ces études par les différentes autorités étatiques mondiales.
Pour lire l'article du journal Le Figaro, cliquez ici.
Quelles études scientifiques, quels scientifiques ?
En matière de vaccination, nous aimerions le savoir, seulement, à ce jour, aucune n'est rendue publique, à tel point qu'on peut se demander si elles existent vraiment ? Et si c'est le cas, par qui sont-elles financées et réalisées ?
À écouter le professeur Jean-François Saluzzo, la question se pose très sérieusement.
Ce n'est pas n'importe qui, Jean-François Saluzzo, médecin de formation, il a été directeur de production des vaccins viraux et chef de projet Recherche & Développement pour les vaccins chez Sanofi Pasteur. ll est aujourd'hui expert auprès de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Dans une vidéo encore visible sous YouTube, qu'il faut absolument regarder et écouter en intégralité, il déclare, qu'en fait, « les vaccins, on ne sait pas comment ça marche » !
C'est « scientifiquement prouvé », mais ils ne savent pas comment ça marche !
Alors, là, il faut nous expliquer. Soit c'est scientifiquement prouvé, et ils savent parfaitement comment et pourquoi les vaccins seraient efficaces, soit ils ne le savent pas et ce n'est pas scientifiquement prouvé !
Lorsqu'ils disent que cela « marche », que veulent-ils dire exactement ? En réalité, leur « cela marche », signifie simplement qu'ils ont obtenu l'autorisation de mise sur le marché de leur produit, rien de plus. Et cela ne signifie en aucun cas que l'efficacité des vaccins serait « scientifiquement prouvée » !
Des vaccins, on sait seulement que les effets secondaires et les morts qu'ils provoquent restent acceptables pour le pouvoir politique et administratif ainsi que pour les médias.
En matière de vaccination, le « c'est scientifiquement prouvé » est devenu le label des escrocs de la santé qui ne s'intéressent qu'à une chose : notre argent.
Notre argent, et, pour certains, la Légion d'honneur.
Pour regarder la vidéo où le professeur Jean-François Saluzzo, expert en vaccinologie auprès de l'OMS, déclare que « les vaccins, on ne sait pas pourquoi ça marche » cliquez sur : vidéo Jean-François Saluzzo.
Comme si la « science » en matière de biologie et de physiologie humaine pourrait tout comprendre et expliquer.
Les partisans de la vaccination obligatoire utilisent l'argument scientifique comme les publicitaires qui vendent de la lessive en vous jurant qu'elle lave plus « blanc que blanc » !
En réalité, contrairement aux sciences physiques et mathématiques, en matière de biologie et de physiologie humaine, la « science » est très loin d'avoir tout compris (on peut même se demander ce qu'elle a exactement compris). Si c'était le cas, la vie et la création n'auraient plus aucun mystère et nous connaîtrions tout, absolument tout, de nos origines (ou de celles de dieu pour les croyants). Est-ce le cas ?
En France aussi la justice a commencé à trancher ! Ils serait temps qu'ils en tiennent compte !
Comme nous le précisons dans notre projet de recours au classement sans suite de notre plainte pénale (signée par plus de 2000 plaignants), plusieurs arrêts définitifs du Conseil d'État établissent une liaison entre le vaccin contre l'hépatite B (déjà obligatoire avant janvier 2018 pour les professions médicales) et la grave maladie nommée « myofasciite à macrophages » :
- arrêt du Conseil d'État de mai 2016 et de la Cour administrative de Nantes du 22 décembre 2017 ; CE n° 344561 du 21.12.2012 ; n° 345411 du 22.03.2013 ; n° 362488 du 30.12.2013 ; n° 347459 du 30.12.2013 ; n° 366470 du 23.07.2014 ; n° 369478 du 22.07.2015 ; n° 369479 du 22.07.2015)
Plusieurs arrêts définitifs du Conseil d'État ont également établi un lien entre le vaccin contre l'hépatite B avec la sclérose en plaques ayant pour conséquence une importance diminution de l'espérance de vie.
La Cour de justice de l'Union européenne a également reconnu des liens entre le vaccin contre l'Hépatite B produit par Sanofi-Pasteur et la sclérose en plaques, en effet, dans un arrêt de principe, elle a décidé qu'« En l'absence de consensus scientifique, le défaut d'un vaccin et le lien de causalité entre celui-ci et une maladie peuvent être prouvés par un faisceau d'indices graves, précis et concordants » (CJUE, Communiqué de presse n°66/17, Luxembourg, 21 juin 2017)
En fait, la Cour relève surtout qu'il ne peut pas y avoir de consensus scientifique sur l'innocuité des vaccins !
Pour lire un commentaire très intéressant sur cet arrêt, cliquez sur : « commentaire CJUE, 21 juin 2017».
Pour lire notre projet de recours, cliquez sur : «projet de recours ».
Pour lire notre plainte pénale, cliquez sur : « plainte pénale ».
Pour voir les nombreuses décisions de la juridiction administrative française, cliquez sur : « décisions juridictions administratives France ».
Les médecins-prescripteurs de vaccins pourront-ils échapper aux poursuites pénales et civiles comme ils ont pu le faire avec le médiator et le sang contaminé ?
C'est une question que l'on doit dès maintenant se poser, car il n'y a pas que les laboratoires pharmaceutiques vendeurs de vaccins qui sont impliqués dans ce scandale sanitaire. Il serait temps que les prescripteurs directs soient personnellement tenus pour coresponsables des drames de la vaccination !
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Restons debout et résistons !
Le président de Libre Consentement Éclairé
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