« La censure touche tous les domaines qui peuvent faire s’écrouler le château de sable depuis lequel quelques milliardaires adeptes de la dépopulation de la planète dirigent le monde occidental… »
Pour le « Forum Crypto Anti-Globalists Alliance », Alexandra Flores a interviewé Brian « N1EG » (« Enemy N1 of the globalists ») et Patrick Ledrappier.
Compte tenu de la longueur et de la richesse de l’interview, nous avons choisi de le publier en plusieurs parties.
Nous commençons par la partie I de Patrick Ledrappier.
Question d’Alexandra Flores :
« Dans un de vos articles « La défense de nos droits d’êtres humains et de nos libertés fondamentales nécessite que nous adoptions au plus vite les cryptomonnaies décentralisées » du 21 février 2024, vous nous avez expliqué comment l’euro numérique :
• Sera la version du XXIe siècle des tickets de rationnement soviétiques.
• Représentera une prise de pouvoir total sur nos existences au profit des politiciens professionnels et des fonctionnaires.
Face à ces dangers, vous présentez les cryptomonnaies décentralisées, c’est-à-dire des cryptomonnaies qu’aucune institution, qu’aucune organisation, qu’aucune banque centrale ne contrôle, comme une arme radicale de défense et de protection de nos droits d’êtres humains et de libertés fondamentales. Problème : manifestement, en France, votre pays de résidence, les cryptomonnaies ont très mauvaise presse, y compris chez les opposants à la « va xi nation » obligatoire et chez les opposants aux « mondialonazis », pour reprendre votre expression, qui dirigent l’UE, y compris chez les défenseurs de nos libertés individuelles… Ces gens n’auraient-ils rien compris à ce qui est en train de se passer ?
Réponse de Patrick Ledrappier :
Il ne faut pas croire que la censure des idées et des informations se limite aux questions de santé publique et à celles des libertés individuelles : elle touche tous les domaines qui peuvent faire s’écrouler le château de sable depuis lequel quelques milliardaires adeptes de la dépopulation de la planète dirigent le monde occidental. Par exemple, en France, vous pouvez être juge et vendre votre fille de 12 ans à des pédophiles sur internet sans risquer le moindre jour de prison, mais si vous vous amusez à parler de monnaie non contrôlée par les politiciens et les hauts fonctionnaires, la prison est très proche, d’ailleurs un ex-capitaine de gendarmerie aurait été emprisonné plusieurs mois, sans être jugé, pour avoir voulu lancer une nouvelle monnaie : le « franc libre ».
Q : Mais encore ?
R : Les politiciens professionnels et les hauts fonctionnaires français savent que l’usage généralisé de cryptomonnaies décentralisées signerait leur arrêt de mort sociale… Ils font donc tout ce qu’ils peuvent, et ils peuvent beaucoup, pour que personne ne comprenne le fonctionnement et l’utilité pour nos libertés fondamentales de ces cryptomonnaies. Par exemple, c’est en lisant dans la presse étrangère, il y a sans doute plus de 10 ans, qu’un habitant de Stockholm (je cite le lieu de mémoire), avait pu s’acheter un appartement de plusieurs centaines de milliers d’euros grâce à la revente de bitcoins achetés quelques dizaines d’euros quelques années avant que je me sois interrogé pour la première fois sur le bitcoin… J’avais bien sûr entendu parler des bitcoins, mais comme si cela n’était que le passetemps de quelques privilégiés qui s’ennuyaient et qui voulaient se donner de l’importance…
Q : Vous parlez de château de sable en parlant de personnes comme Bill Gates, George Soros, en parlant du gang des Clinton, de celui des Obama, de l’ONU, de l’OMS, de la Banque mondiale, du FMI, de la Commission européenne ; pourtant, le pouvoir de ces milliardaires et des institutions qu’ils contrôlent est immense…
R : Oui, tous ces gens et ces institutions sont puissants, extrêmement puissants, mais ils ne tiennent leur puissance que de notre « laisser-faire ». Il faut comprendre que ces milliardaires, et leurs laquais universitaires, fonctionnaires de tous poils, politiciens et syndicalistes de tous bords, savent parfaitement que leur château est fait de sable et que les digues protectrices qu’ils ont érigées, leurs systèmes judiciaires, leurs polices et leurs prétendues élections « démocratiques », ne résisteront pas à certaines choses. Par exemple, et les Russes, les Chinois, les Indiens, les Iraniens, bref les BRICS, l’ont parfaitement compris, leur château de sable ne pourra pas résister la fin de la domination du dollar sur les échanges internationaux (la dédollarisation), sauf si ces mêmes milliardaires occidentaux arrivent à contrôler les banques centrales de Russie, de Chine, d’Iran, d’Inde et s’ils arrivent à contrôler les monnaies qui vont jouer dans un futur très proche le rôle qu’a encore le dollar aujourd’hui… Ce qui, à priori, n’arrivera pas, même si le futur s’amuse souvent à contredire ceux qui se risquent à le prédire.
« Ce qui se joue actuellement, n’est ni plus ni moins que la réussite de leur programme de dépopulation de la planète, c’est-à-dire la fin de l’humanité… »
Q : Justement, face aux BRICS et au risque de dédollarisation au profit du yuan, où se placeront les cryptomonnaies décentralisées ? Quels rôles pourront-elles réellement jouer pour nous ? Comment pourront-elles nous permettre d’être libres et hors d’atteinte des mesures contenues dans l’Agenda 2030 ?
R : Les cryptomonnaies décentralisées sont au cœur du problème auquel font face ces milliardaires occidentaux. Réellement, dédollarisation ou non. Ce qui se joue actuellement, n’est ni plus ni moins que la réussite de leur programme de dépopulation de la planète, c’est-à-dire la fin de l’humanité qui est voulue par des milliardaires psychopathes qui ont pu acheter toutes les organisations internationales et les instances gouvernementales occidentales. Leur agenda est précis : 2030. Leur programme est public : réduire drastiquement la population mondiale. Leurs moyens pour nous soumettre sont immenses et quasiment illimités, mais la masse des gueux que nous sommes à leur yeux peut les terrasser et les éliminer !
Q : Et comment cela ?
R : Comment ? Tout simplement en refusant la soumission à leurs délires. Et c’est sans doute ce qui est en train de se produire, car de plus en plus de gens ouvrent les yeux sur leurs mensonges : fausse pandémie, faux vaccins, mais vrais poisons mortels pour beaucoup ; faux réchauffement climatique, fausse sécheresse, vrais chemtrails ; fausses informations mais vraie propagande au service de la destruction des sociétés occidentales, fausses femmes, mais vrais malades mentaux… La liste est longue, et les guerres en Ukraine et au Moyen-Orient risquent de ne pas suffire à détourner l’attention de leurs mensonges et des terribles réalités que cachent l’Agenda 2030 et le wokisme. Oui, il est encore possible de les terrasser, tout comme il aurait été possible de faire échec à leur criminelle « va xi nation » à ARNm si simplement une proportion suffisamment importante des pompiers, des médecins, des personnels soignants avaient dit : « non, nous ne ferons pas cela ».
À suivre…