Madame, monsieur, chère amie, cher ami,
Vous êtes invité pour les fêtes de fin d’année par des amis ou de la famille qui vous ont ignoré ces deux dernières années, car vous refusiez de porter le masque de la honte, tout comme vous refusez de vous faire injecter les mortels produits à ARNm de Pfizer & Co. ?
Vous ne savez pas comment les envoyer balader et leur faire l’affront de refuser leur merdique invitation ?
Ne refusez pas !
Ne refusez pas ! Allez-y en emportant en cadeau de quoi diffuser une interview de Javier Milei, le nouveau Président argentin, ou, mieux, reprenez à votre compte ses propos après les avoir appris.
Ce sera le succès assuré, une ambiance d’enfer, car cela décape et cela swing joyeusement avec Javier Milei.
Et on aime ça.
On en redemande même…
Extraits
« L’Argentine est une société infestée par le socialisme »
« L’Argentine est une société infestée par le socialisme. Et ce qu’il faut réussir à faire, c’est sortir le socialisme de la tête des gens. Et les principaux promoteurs de ces idées, ce sont les politiciens. Ils s’en prennent aux libéraux, parce que les libéraux que nous sommes sont les seuls à leur dire en les regardant droit dans les yeux, qu’ils ne sont pas la solution, on leur dit qu’ils sont le problème. »
« Les politiciens sont une espèce de sociopathes qui veulent nous faire croire que nous sommes des attardés mentaux et des handicapés dans tous les sens du terme. Que nous ne pourrions pas vivre sans eux, alors qu’en réalité, ce sont eux qui ne peuvent pas vivre sans nous. »
« Ce que je veux dire, c’est que si demain, on coupe en deux le pays, avec d’un côté les gens comme nous qui produisent et qu’on laisse de l’autre côté les merdes comme les politiciens, les syndicalistes et tout cet ensemble de parasites [inutiles, contrairement aux bactéries intestinales], ils coulent, ils meurent… »
« On sépare l’Argentine du nord et l’Argentine du sud, et les gens disposés à travailler vont dans la partie la plus pauvre du pays, et aux autres, on leur laisse tout, car même si on leur laisse tout, ils vont couler, parce que ces rats sont des bons à rien. »
« Nous sommes des gens honnêtes »
« Cela va bien se passer pour les gens qui travaillent et qui savent gagner leur vie. Nous sommes des gens honnêtes, des travailleurs qui ne prêchent pas l’envie, le ressentiment, le vol ou le traitement inégal devant la loi, comme l’immondice qu’on appelle « justice sociale », qui est la chose la plus injuste qu’on ait créée, car elle implique de voler à quelqu’un le fruit de son travail pour le redistribuer à d’autres.
Mais d’où sort cette bande de voleurs ? »
L’Argentine ou la France d'aujourd'hui ?
« En plus de détruire l’économie, ils ont appauvri les gens : depuis les années 1970, l’État a triplé [le nombre de fonctionnaires et de politiciens professionnels] et les pauvres se sont multipliés par 6 ! »
« Et quels sont les seuls qui ont progressé ici [qui se sont enrichis] ? Les politiciens ! C’est pour cela qu’ils veulent rester dans ce pays. »
À ce sujet, rappelons que si en 1980 le PIB par habitant en France était supérieur à celui des États-Unis et de l’Allemagne, il était en 2021 inférieur de 40 % à celui des États-Unis et inférieur de 15 % à celui de l’Allemagne.
La France qui se classait 4e ou 13e en 1980 selon les sources aurait chuté en 2022 à la 25e ou 27e ou 28e place, toujours selon les sources…
« Les gens doivent identifier l’ennemi. »
« L’ennemi, ce sont les politiciens, il faut lutter contre eux, car ce sont nos ennemis, ce sont eux qui nous font sombrer dans la pauvreté, et ce sont les seuls qui s’enrichissent de la doctrine de la ‘justice sociale et de la redistribution’. »
« La seule redistribution qui existe, elle va du travailleur jusque dans les poches du politicien parasite [parasite inutile, contrairement aux bactéries intestinales]. »
Un vrai régal, vivement la suite.
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Une destinée à la Jean-Paul 1er ?
Javier Milei a promis de supprimer la Banque centrale d’Argentine et de faire du dollar US la monnaie nationale (ce qui est de notre point de vue une excellente idée).
Jean-Paul 1er est mort 30 jours après avoir demandé une enquête approfondie sur la Banque du Vatican au cardinal Jean-Marie Villot.
Jean-Marie Villot qui, dans le livre « Au nom de Dieu » (de David Yallop) est accusé, avec Paul Marcinkus, le cardinal Cody, Licio Gelli (Loge P2), Roberto Calvi (Banco Ambrosiano) et Michele Sindona d’avoir joué un rôle dans la mort de Jean-Paul 1er.
Espérons de tout cœur que Javier Milei prend sa sécurité au sérieux et qu’il mènera à bien tous les changements radicaux qu’il a promis aux Argentins.
En tous les cas, bravo l’artiste et chapeau bas !
Pierre Lefevre
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