« Le vaccin contre le VPH est recommandé [par le CDC â Ãtats-Unis] pour la vaccination de routine à lââge de 11 ou 12 ans. »
  Dans The Epoch Times, Yuhong Dong vient de publier un article sur les recommandations du CDC en matière de « va x ins » contre les VPH (Virus du Papillome Humain).
  Il sâagit dâune véritable étude qui concerne cette « va xi nation » avec le Gardasil® et le Gardasil 9® (le Cervarix® ayant été retiré du marché américain en 2016).
  En rappelant, au début de son article, les recommandations du CDC, Yuhong Dong précise également : « Les vaccins contre le VPH peuvent être administrés à partir de 9 ans. La vaccination contre le VPH est administrée en une série de deux ou trois doses, selon lââge au moment de la vaccination initiale. »
  Les précisions et rappels de la très méticuleuse Yuhong Dong
  ⢠« L'évaluation de la sécurité des vaccins est plus stricte que celle des médicaments ».
  ⢠« Les médicaments sont utilisés pour les patients qui en ont besoin pour vivre. »
  ⢠« Les vaccins préventifs sont principalement conçus pour les personnes en bonne santé afin de les protéger d'une maladie contagieuse. »
  ⢠« Puisquâun vaccin est administré à une personne en bonne santé pour la protéger d'une éventuelle future maladie contagieuse, les risques doivent être parfaitement clairs [les personnes] doivent être bien informées de l'innocuité et de la « tolérabilité » à court et à long terme dâun vaccin qui a le potentiel de modifier leur vie en compromettant leur système immunitaire sain. »
  ⢠Plus important encore, un vaccin ne doit pas être associé ou contribuer à un risque de décès ou d'invalidité connu sous le nom d'« événement indésirable grave » (EIG).
  Au sujet de ces événements indésirables graves, Yuhong Dong rappelle les directives de la « Conférence internationale sur lâharmonisation () des exigences techniques pour l'enregistrement des produits pharmaceutiques à usage humain ».
Pour lâICH, un « événement indésirable grave » correspond à « tout événement médical inattendu qui, à toutes doses » :
  ⢠Provoque la mort.
  ⢠Met la vie en danger.
  ⢠Nécessite une hospitalisation ou la prolongation dâune hospitalisation existante.
  ⢠Entraîne une invalidité/incapacité persistante ou importante.
  ⢠Provoque une anomalie congénitale/malformation congénitale.
   Yuhong Dong précise encore que le simple fait de continuer à administrer un « va x in », alors quâil aurait provoqué 1 décès - 1 seul décès - est une violation du serment dâHippocrate.
  « Si 1 seul décès est constaté comme étant dû à un « va x in »â¦Â »
  Yuhong Dong précise que selon les propres règles de lâindustrie pharmaceutique, quâelle connaît bien, très bien même, règles reprises par lâICH ainsi que selon le serment dâHippocrate, si 1 seul décès est constaté comme étant dû à un « va x in », ce « va x in » ne doit plus être commercialisé.
  à ce sujet, la Convention dâOviedo, dont la France est signataire, dispose en son article 2 « Primauté de lâêtre humain » : « Lâintérêt et le bien-être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science ».
  Faire prendre le risque à un enfant ou a tout être humain de tomber gravement malade, voire de mourir, est contraire à son intérêt et à son bien-être ! Câest contraire à une convention internationale signée par la France !
  Lâarticle 2 de la Convention dâOviedo signifie quâaucun Ãtat, quâaucun politicien, quâaucun fonctionnaire, quâaucun « médecin » ne peut invoquer lâintérêt de la « société », ou de la « science » pour imposer un traitement médical, curatif ou préventif, à un être humain, si ce traitement est contraire à lâintérêt et au bien-être de lâêtre humain concerné.
  Ne lâoublions pas, rappelons-le aux politiciens professionnels et aux médecins de plateau télé : nul ne peut exiger dâun être humain quâil prenne le risque de nuire à son bien-être, à sa santé, ou encore à sa vie, en se « va xi nant » pour protéger dâautres personnes dâune maladie, hypothétique ou non !
  Profitons-en pour rappeler également la teneur de lâarticle 5 de la même convention qui est intitulé « Consentement » : « Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée quâaprès que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de lâintervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement ».
  On ne saurait être plus clair et précis que cet article 5 de la convention dâOviedo que la France a ratifiée : « Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée quâaprès que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairéâ¦Â ».
  Comme quoi la signature de politiciens professionnels français (qui vivent à nos crochets) en bas dâune convention internationale ne vaut rien.
  La signature de lâÃtat français en bas dâune convention internationale ne vaut absolument rien.
  Surtout, mais pas seulement, si elle est un obstacle aux milliards de profits de Big Pharma et un obstacle aux projets des mondialistes adeptes de la dépopulation de la Planète.
  à suivreâ¦
  Pierre Lefevre
  PS : Mes amis non-injectés, la première vidéo de Patrick Ledrappier sur le contexte médical occidental actuel vient dâêtre mise en ligne sur YouTube â à ne pas rater, et à partager avec ceux dont lâesprit pourrait être éveillé (en particulier avec les ados)â¦