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| Bonjour , Cette semaine dans Pour la Science, un petit poisson révèle comment le cœur se met à battre ; le pulsar Vela bat des records d’énergie et laisse perplexes les astrophysiciens ; et aussi : deux mille ans après sa naissance, Pline l’Ancien éclaire encore notre rapport à la nature. À lire également, notre archive « Comment les villes font-elles face aux inondations ? » Bonne lecture ! ● François Lassagne, rédacteur en chef de Pour la Science. |
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| Des chercheurs viennent d’observer en détail in vivo chez des embryons de poissons-zèbres la façon dont les premiers battements du cœur se déclenchent, grâce à des techniques optiques de pointe ● Par Noëlle Guillon, journaliste scientifique. |
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| En l’an 23 naissait Pline l’Ancien, connu pour sa mort spectaculaire lors de l’éruption du Vésuve de 79, mais aussi et surtout pour sa monumentale Histoire naturelle, où il recense tous les savoirs de son temps sur les objets naturels et leurs usages. Deux mille ans plus tard, cet ouvrage a encore beaucoup à nous apprendre, tant sur l’époque qui l’a vu naître… que sur la nôtre... ● Par Stéphane Schmitt, directeur de recherche du CNRS au sein des Archives Henri-Poincaré, à Nancy. |
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| L’observatoire HESS, en Namibie, a détecté les rayons gamma provenant d’un pulsar les plus énergétiques jamais observés. Un résultat qui met à mal la théorie de ces astres extrêmes ● Par Sean Bailly, rédacteur et responsable des actualités à Pour la Science. |
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| Le dernier n° de Pour La Science QUAND L'ÉVOLUTION PARIAIT SUR LES GÉANTS | | Les sauropodes figurent parmi les dinosaures les plus connus, et pour cause : leurs dimensions extravagantes (30 mètres de long pour l’argentinosaure) en font les créatures terrestres les plus grandes ayant jamais foulé le sol de notre planète. Une exception … à répétition : les archives fossiles, analysées par le paléontologue Micahel D. D’Emic, montrent que des espèces de quadrupèdes dinosauriens géants sont apparues plus d’une trentaine de fois. Après la disparition des dinosaures, l’évolution n’a jamais renoué avec cette course au gigantisme. Un nouveau mystère pour les paléontologues … | | |
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| Pour éviter qu’un astéroïde ne vienne s’écraser sur notre planète, la Nasa envisage de dévier celui qui viendrait à croiser notre route. La mission Dart (« fléchette », en anglais) prouve que c’est bel et bien possible ● Par Jean-Michel Courty, professeur de physique à Sorbonne Université, au laboratoire Kastler-Brossel (CNRS, SU, ENS-PSL, CdF) et Edouard Kierlik, professeur de physique à Sorbonne Université, au laboratoire de physique théorique de la matière condensée (CNRS, SU). |
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| Le pain au levain doit en partie son succès à son goût plus marqué. Mais à quoi tiennent ses singulières caractéristiques gustatives ? ● Par Hervé This, physicochimiste, directeur du Centre international de gastronomie moléculaire AgroParisTech-Inra et directeur scientifique de la fondation Science et culture alimentaire (Académie des sciences). |
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| Dans la plaine maritime de Dunkerque, des archéologues de l’Inrap restituent comment les populations flamandes médiévales ont conquis des terres sur la mer ● Par François Savatier, rédacteur à Pour la Science. |
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| Comment les villes font-elles face aux inondations ? |
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| Les tempêtes se succèdent sur l’Hexagone, faisant sortir les rivières de leur lit, engorgeant les systèmes de drainage, rendant les terres agricoles impraticables. En terrain urbanisé, il est d’autant plus difficile de faire face aux précipitations intenses que le sol est artificialisé. L’anticipation des flux d’eau et de leurs effets est cruciale, pour minimiser les dégâts et donner à chacun la possibilité de se mettre hors de danger. Urbanistes, physiciens et modélisateurs travaillent à améliorer les simulations, comme l’expliquaient en détail Julie Carreau (université de Montréal) et Carole Delenne (université de Montpellier) il y a un an. |
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| Les dégâts causés en milieu urbain par les inondations et les pluies diluviennes sont souvent catastrophiques. Peut-on les prévenir ? Oui, dans une certaine mesure, grâce aux outils de modélisation ● Par Julie Carreau, assistante professeuse à l’université de Montréal, au Canada et Carole Delenne, maîtresse de conférences à l’université de Montpellier/Polytech Montpellier, laboratoire Hydrosciences Montpellier, membre de l’équipe de recherche lnria Leman. |
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