Individualistes, mal à l’aise avec la transmission, hantés par la peur du lendemain,
les Français, comme beaucoup d’Occidentaux, ont de moins en moins d’enfants. Une tendance lourde qui, au-delà de la question des retraites, expose toute une société à l’asphyxie puis à la disparition.

Alors que la France fait face au taux de natalité le plus bas depuis quarante ans, une remise en cause de la maternité ainsi qu’une tendance à la stérilisation émergent doucement.

 

Les progressistes se désintéressent de la natalité depuis des années. Un refus de traiter la question démographique qui vient perturber la vie économique et sociale du pays. Le camp du progrès, de Macron à Mélenchon, préfère utiliser l’immigration pour assurer l’avenir de la nation.

 

En dix ans, Viktor Orbán a réussi à relancer la natalité et les mariages par une politique pro-famille puissante et globale. Tout n’est pas redevenu rose au pays des hussards, mais les couples ont retrouvé confiance dans l’avenir.

 

Popularité au plus haut, sondages flatteurs, normalisation établie… : tout semble réussir à un Rassemblement national passé d’idiot utile à favori désigné. Un nouveau statut piège pour le parti, qui continue de lutter contre un système dont il reprend progressivement les codes.

 

Ciblé dans deux livres par d’anciens cadres de sa campagne présidentielle, Éric Zemmour continue de chercher son espace politique avec, en ligne de mire, les élections européennes de 2024.

 

Le double tremblement de terre qui a frappé la Turquie le 6 février a révélé les failles d’un État autoritaire et corrompu. À trois mois du scrutin présidentiel, l’ambiance se tend pour le président Erdogan, accusé d’avoir couvert des entreprises du bâtiment qui s’affranchissaient des normes parasismiques.