Bonjour , Cette semaine, dans Pour la Science, les singularités de l’espace-temps font de la résistance ; pourquoi il n’est pas si simple de faire du sport dans une station spatiale, même avec une pesanteur artificielle. Et aussi : stimulée, notre rétine est capable de percevoir une nouvelle couleur, « olo ». Bonne lecture ! François Lassagne - Rédacteur en chef. | |
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EN ACCÈS LIBRE ■PHYSIQUE THÉORIQUE | Par Charlie Wood, journaliste spécialisé en physique; | | Des travaux récents suggèrent que les singularités de l’espace-temps, présentes au cœur des trous noirs ou lors du Big Bang, persistent même dans les théories de la gravitation intégrant des effets quantiques. Ce problème continue d’interroger les fondements de la physique… | |
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| | ■ ESPACE| Par Jean-Christophe Caillon, professeur de physique à l’université de Bordeaux, Laboratoire de physique des deux infinis, Bordeaux (université de Bordeaux/CNRS). | | Comment pratiquer une activité physique durant un long voyage spatial ? Même en recréant une pesanteur artificielle en mettant le vaisseau en rotation, les mouvements les plus simples seraient profondément perturbés. Illustration avec la physique de la course, du basket ou de la natation. | |
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| EN ACCÈS LIBRE ■ NEUROSCIENCES| Par Louise Le Ridant, journaliste. | | Des chercheurs ont induit artificiellement la perception d’une nouvelle couleur que l’œil humain ne peut pas voir, nommée « olo », en stimulant sélectivement les photorécepteurs de l’œil. | | |
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| | ■ PLANÉTOLOGIESi les astrophysiciens ont détecté de nombreuses Jupiters chaudes – des exoplanètes de la taille de Jupiter mais très proches de leur étoile – de façon étonnante, ils observent un « désert de Neptunes chaudes », leur équivalent neptunien. | |
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Il vécut alors que se bâtissait la pyramide de Khéops, il y a plus de 4 500 ans et fut inhumé dans la nécropole de Nuwayrat, dans une tombe taillée dans le roc, à environ 250 kilomètres au sud du Caire. Ses restes sont parvenus jusqu’à nous, conservés depuis 1950 au World Museum de Liverpool. Une équipe de généticiens vient de séquencer son génome – une première pour un représentant d’une époque aussi lointaine, les conditions climatiques sur les rives du Nil tendant à dégrader l’ADN ancien. D’où venait cet individu ? Environ 80 % de son ADN suggère une ascendance située en Afrique du Nord, 20 % une ascendance mésopotamienne – ce qui fait de l’homme de Nuwayrat le premier indice génétique de liens entre les deux régions. ► En savoir plus avec Pour La Science : |
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C’est ce que semblent faire les dauphins, d’après une récente étude en neuro-imagerie menée sur trois espèces utilisant l’écholocalisation. Des recherches conduites dans les années 1970 et 1980 avaient suggéré que les régions visuelles du cerveau de ces cétacés étaient particulièrement actives lorsqu’ils envoient des impulsions acoustiques et analysent leurs réflexions dans leur environnement, pour en obtenir une « image » et ajuster leurs mouvements. Voilà qui rappelait la manière dont les humains emploient leurs sonars : les réflexions du son sont traduites en images, sur un écran. Une similitude trompeuse : des techniques d’imagerie plus fines montrent que ce sont des régions cérébrales liant étroitement audition et mouvement (le colliculus inférieur et le cervelet) qui sous-tendent l’écholocalisation, un système s’apparentant davantage à notre sens du toucher. ► En savoir plus avec Pour La Science : |
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Pour rendre leur voix à des personnes dont les muscles impliqués dans la parole sont paralysés, il est possible de recourir à des interfaces cerveau-machine, qui convertissent l’activité cérébrale en texte, puis le texte en son. Certains de ces systèmes parviennent à restituer plus de 90 % des mots pensés, mais au prix d’un délai important, et à condition de disposer d’un dictionnaire fixe de mots. Une équipe de l’université de Californie a opté pour une approche plus directe : convertir les signaux des neurones parvenant au tractus vocal (enregistrés par 256 électrodes implantées dans le cerveau d’un patient atteint de sclérose latérale amyotrophique) directement en sons. Le système reproduit en moins de 10 millisecondes les phrases et le timbre de la voix du patient avant la maladie, grâce à des algorithmes d’apprentissage profond. Lors de premiers tests, des volontaires parvenaient à comprendre plus de la moitié des phrases prononcées par le patient grâce à la machine. ► En savoir plus avec Pour La Science : |
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Bonne lecture et rendez-vous la semaine prochaine ! |
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