Cette solution imaginée par Gabriel Attal pour « reconquérir le mois de juin » auprès des lycéens fait grincer des dents du côté des syndicats d’enseignants, des chefs d’établissements et des parents d’élèves. S’ils ne sont pas opposées à l’idée de ces stages de deux semaines, ils tancent le manque de moyens et le temps alloués pour leur déploiement.
Alors il y a de forteschances quevousaimiez aussicelles-ci:
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