Sur des messageries privées, des policiers appellent les agents du service de la protection (SDLP) à rejoindre le mouvement de protestation. Confidentiel.
Le mouvement de fronde inédit au sein de la Police nationale ne s'essouffle pas. Entre démissions, arrêts maladie et service minimum, les fonctionnaires attendent des garanties de la part de l'institution judiciaire.
Les entrepreneurs de la déstabilisation auront réussi à imposer leur doxa : le problème serait moins la délinquance que la brutalité structurelle des forces de l'ordre.