« Bonjour, mon fils de 12 ans doit faire son rappel de vaccin DTP, mais avec tout ce que je lis je n’ai pas envie de le faire. Quels sont les risques si on le fait ? Quels sont les risques si on ne le fait pas ? Merci. »
C’est le message que m’a adressé Léa, une lectrice, après la publication de mon dernier article intitulé « Les filles vaccinées avec le DTC présentaient un risque de décès dix fois plus élevé que les filles non vaccinées. ».
Répondre à Léa ? Refusez la soumission, regardez la vérité, vous la touchez des yeux…
Léa, la « vaccination » est un des sujets que je maîtrise, j’ai lu et analysé des dizaines de livres sur la question, consulté des centaines d’études, et coécrit le livre « C19 » avec Pierre Lefevre.
Je pourrais donc vous répondre très précisément. Mais voilà : la loi m’en interdit le droit. En France, conseiller un citoyen sur un acte médical, même dans une perspective éclairée, peut être considéré comme un délit.
Et si un procureur décidait de s’en saisir, croyez-moi, la machine judiciaire s’abattrait avec toute sa lourdeur sur mes épaules — qui, bien que résistantes, ne sont pas faites pour les chaînes d’un tribunal.
Ce que je peux faire, en revanche, c’est vous dire ce que révèle la vérité. Une vérité bâillonnée par les lobbies pharmaceutiques et leurs laquais les politiciens — qu’ils soient en cravate d’extrême gauche, de gauche, de centre, d’extrême centre, de droite ou d’extrême droite.
Une leçon du professeur Even
Il y a quelques années, à l’abri d’une pluie battante sous un porche à Paris, j’ai discuté avec le professeur Philippe Even, une sommité médicale qui n’a jamais mâché ses mots.
À propos de certains vaccins, il m’a lâché, avec son franc-parler légendaire :
« Depuis mes études de médecine, au début des années 50, ni moi ni mes confrères n’avons vu un seul cas de diphtérie, de tétanos ou de polio là où nous exercions, quant à la coqueluche, elle n’a jamais vraiment posé de problème de santé publique, et on sait parfaitement bien traiter ses effets.
» Vacciner les Occidentaux contre la diphtérie, il fallait y penser… Cette maladie frappe en Afrique subsaharienne, en Inde, au Pakistan, des gens qui vivent dans des conditions de misère, de malnutrition et d’hygiène déplorable.
» Le tétanos ? Dans les années 50, c’était moins de 1 cas pour 100 000 habitants par an, on le traitait efficacement avec l’antitoxine et des antibiotiques.
» La polio ? Moins de 1 % des enfants étaient touchés, et moins de 5 % des cas étaient graves, toujours liés à la promiscuité, la malnutrition et des eaux contaminées. Attraper la polio en Europe, c’est comme attraper le choléra à Haïti, pour cela il faut vivre dans la misère, la promiscuité, avoir un système immunitaire fatigué et consommer de l’eau contaminée par la bactérie Vibrio cholerae ! [il s’agit du poliovirus pour la polio] »
Ces mots, fruits de décennies d’expérience, démolissent le mythe d’une vaccination DTP indispensable. En réalité, dans nos pays, où l’hygiène et l’accès aux soins sont la norme, ces maladies ne sont-elles pas des fantômes agités pour justifier un racket pharmaceutique et assurer une rente aux injecteurs ?
Petite précision au passage : DTP ne signifie pas « Diphtérie – Tétanos – Polio »”, mais bien « Diphtérie – Tétanos – Pertussis” (coqueluche) ».
Ce vaccin, très mal toléré à l’époque (50 % des enfants présentaient des effets secondaires notables), a été remplacé dans les années 1980 par le DTaP : « aP » pour « coqueluche acellulaire », c’est-à-dire des fragments prétendument purifiés de la bactérie. Objectif affiché : réduire les effets indésirables.
À noter que, comme pour la grippe, tout injectés qu’ils soient, les gens peuvent quand même attraper la coqueluche.
Les risques de ne pas vacciner : un chantage à la peur ?
Les autorités brandissent le spectre de la diphtérie, du tétanos et de la polio pour terroriser les parents. Mais soyons sérieux : en 2025, en Occident, le risque de contracter ces maladies est-il réel — ou simplement entretenu ?
La diphtérie est éradiquée en Europe grâce à l’hygiène, pas aux vaccins. Le tétanos, non transmissible, est évitable par des soins appropriés en cas de blessure. La polio ? Une relique du passé, absente de nos contrées depuis des décennies.
Le vrai danger n’est plus biologique — il est social. Le danger, c’est de céder à la propagande, de se soumettre, de laisser des politiciens corrompus autoriser l’injection de substances dangereuses dans nos corps. Des produits dont personne ne connaît les effets à long terme, mais qui sont promus, validés et imposés par des gens qui ne savent même pas à quoi ils ressemblent et de quoi ils sont faits.
Les inquiétantes données VAERS (États-Unis) concernant les vaccins DTaP
Entre janvier 1991 et le 31 décembre 2016, le système de pharmacovigilance américain VAERS a recensé 50 157 déclarations d’effets indésirables après vaccination DTaP. Parmi elles : 5 627 cas graves, soit 11,2 %, et 844 décès.
Pendant la même période, il y aurait eu 300 millions de doses contenant du DTaP de distribuées aux États-Unis.
Il nous faut briser les chaînes mentales de la propagande
En France, le culte de l’escroc Pasteur a fait de la « vaccination » une religion d’État. Dès la maternelle, on nous conditionne à croire que les vaccins sont des miracles absolus, sacrés, intouchables — et que sans eux, la mort nous guetterait à chaque coin de rue.
Ce lavage de cerveau est généralisé : une fois sortis de l’école, ce sont les médias, le corps médical, les administrations, la CAF et la Sécurité sociale qui prennent le relais pour entretenir et amplifier le dogme.
Nous l’avons vu en grandeur nature lors de la fausse pandémie de C19 : les politiciens et leurs relais médiatiques ont agi comme si plus personne n’avait de cerveau, plus de discernement, plus aucun esprit critique, plus aucune soif de vérité.
Et le pire, c’est que ça a marché. À la perfection.
C’est d’ailleurs effarant de constater à quel point cela a fonctionné.
La soumission sociale tue !
Je parle d’une période où j’ai vu des esprits autrefois brillants — des gens surdiplômés, aux fonctions sociales élevées — renoncer à toute pensée critique, pour se laisser injecter, en parfaite santé, des substances dont ils ne savaient rien.
Et quand je les alertais, documents à l’appui, c’était comme si leur cerveau avait été désactivé.
Le conformisme avait tout absorbé. Sans lui, ils n’étaient plus rien. Pourquoi ont-ils cédé ?
Par peur d’être mis à l’écart. Par peur d’être traités de « complotistes ».
Plusieurs sont tombés gravement malades dès la première injection. Quelques-uns sont morts peu après. Les autres ? Aucune nouvelle. Et pour être franc, je n’en veux plus.
Ils ont été dévorés vivants par leur besoin d’être conformes.
Leur tragédie est un cri d’alarme : la soumission rend malade ou tue.
Reprendre le contrôle de son intelligence, une urgence absolue avec les « vaccins »
Ce que l’on sait — et que certains osent encore appeler théorie — c’est que les essais cliniques sont truqués. Pas de double aveugle. Des « placebos » contenant des adjuvants toxiques, comme l’aluminium ou le tristement célèbre thimérosal.
Le thimérosal ? Rappelons que c’est un poison neurotoxique mortel, connu comme tel depuis les années 1970. Et pourtant, en 2013, l’ANSM et le Haut Conseil de la Santé Publique ont osé déclarer qu’il était « sûr ». Pire : il serait encore présent dans certains vaccins contre la grippe.
Non, les vaccins ne sont pas des potions magiques. Ce sont des produits industriels, conçus pour enrichir des milliardaires, renforcer leur pouvoir, et contrôler nos corps — sans jamais risquer le moindre procès, la moindre cellule de prison.
Et s’ils nous rendent malades, ou s’ils nous tuent ?
C’est couvert. Prévu. Validé.
Mais tout cela, bien sûr, relèverait de la théorie du complot… très solidement documentée, toutefois.
Les amendes aux laboratoires pharmaceutiques : le cynisme et le mépris purs, à ciel ouvert
Quand un laboratoire pharmaceutique — comme Pfizer — est condamné, l’amende n’est pas un châtiment. C’est une ligne comptable.
Un coût d’exploitation intégré d’avance.
Comment font-ils pour compenser ? Ils augmentent simplement le prix de vente de leurs médicaments et vaccins, parfois de quelques centimes à peine. Multiplié par des millions de doses, cela suffit à rembourser intégralement l’amende. Autrement dit : ce sont les patients qui paient.
Par leurs achats. Par leurs impôts. Par la Sécurité sociale.
Et pendant ce temps, les dirigeants et actionnaires — protégés par une immunité criminelle — continuent de s’enrichir. Tranquillement.
Quand leurs produits, estampillés « vaccins », provoquent des maladies graves, des handicaps ou des morts, personne ne va en prison.
Personne ne paie.
Et le cycle infernal continue.
Ce système n’est rien d’autre qu’une licence d’État pour empoisonner, tuer, et s’enrichir.
Et soyons clairs : Big Pharma n’a aucun intérêt à produire des vaccins sûrs.
Ce qui nourrit son modèle économique, ce sont les maladies chroniques.
Ce sont les effets secondaires.
C’est son fonds de commerce.
Reprendre le contrôle de son intelligence, n’est-ce pas commencer par s’extraire de toutes les propagandes — et d’abord, de celle de la médecine d’État, surtout quand elle concerne les injections dites « vaccinales » ?
Reprendre le contrôle de son intelligence, c’est aussi refuser de confier sa santé à des institutions pourries jusqu’à l’os, à des « experts » qui sont à la fois payés par nos impôts et par Big Pharma pour aller prêcher la bonne parole sur les plateaux télé, sans jamais rendre de comptes à personne.
Dans un monde où la propagande étouffe la vérité, où les libertés individuelles sont piétinées, penser par soi-même est un acte de résistance.
Reprendre le contrôle de son intelligence, c’est refuser les mensonges institutionnels, les injonctions autoritaires, la soumission aveugle.
13 pays européens n’imposent aucune obligation vaccinale à leurs populations
Léa, votre instinct vous guide — et c’est déjà une victoire.
Vous êtes face à un système qui utilise la peur pour imposer une injection à votre fils.
Vous êtes face à un système qui brandit la peur pour imposer des injections « vaccinales » à votre fils ?
C’est à vous, et à vous seule, d’en apprécier la nécessité.
La décision vous appartient.
À vous seule.
Au fait, Léa, savez vous que 13 pays européens n’imposent aucune obligation vaccinale à leurs populations ?