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La lettre confidentielle de

LIBRE CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ

Le très select club des non-injectés

COMPLOTS CONTRE NOS LIBERTÉS FONDAMENTALES ET NOS VIES

La lettre du très select club des non-injectés et complotistes les mieux informés de la planète

Désobéir ! Refuser l’inacceptable ! Ne pas se soumettre !

Comprendre l’affaire Epstein :


I. CIA, Mossad, MI6, et impunité des coupables

Par Patrick Ledrappier

2507

Le 9  juillet 2025

   Une trajectoire aussi fulgurante qu’énigmatique


   Jeffrey Edward Epstein (1953–2019), initialement professeur de mathématiques à la Dalton School de New York sans diplôme universitaire (1973-1975), devient multimillionnaire en intégrant la banque d’investissement Bear Stearns en 1976, où il aurait excellé comme trader, puis en fondant en 1981 sa société de gestion financière « J. Epstein & Co. », officiellement dédiée à la gestion de fortunes supérieures à 1 milliard de dollars (1).


   Toutefois, l'origine réelle de sa fortune reste largement opaque : son principal client connu est Leslie Wexner, milliardaire propriétaire de « L Brands » (« Victoria’s Secret »), qui lui cède plusieurs biens et un contrôle partiel de ses finances dans les années 1990 (2).


   Ce lien privilégié avec Wexner, ainsi que l’absence d’activités commerciales transparentes, ont conduit plusieurs journalistes d’investigation et analystes indépendants à formuler l’hypothèse selon laquelle Epstein aurait pu opérer dans des réseaux mêlant influence politique, renseignement et chantage.


   La première synthèse policière de ce qui deviendra l’affaire Epstein


   La première synthèse policière effectuée sur les détournements de mineures dont s’était rendu coupable Epstein date du 5 mai 2006 (3), cette synthèse résume les témoignages de jeunes filles (14-17 ans) recrutées à Palm Beach, certaines rapportant par la suite avoir été emmenées à New York et Little Saint James.


   « 40 victimes potentielles ont été identifiées par le FBI dans le cadre de l’enquête fédérale de 2006 à 2008 »


   Julie K. Brown, dans sa série « Perversion of Justice » publiée dans le « Miami Herald » (4), évoque explicitement l’ampleur du réseau d’intimidation qu’il aurait dirigé ainsi que l’impunité judiciaire dont-il aurait bénéficié.


   Malgré une trentaine à une quarantaine de témoignages, Epstein parvient à négocier en 2008 un « Non-Prosecution Agreement » (accord de non poursuite) qui lui vaut 13 mois de prison aménagée, avec permissions de sortie quotidiennes et immunité pour ses éventuels complices.


   Cet accord secret, dénoncé dès 2010 par le « Palm Beach Daily News », est resté longtemps inconnu du public, avant que le « Miami Herald », dans la série d’articles de Julie K. Brown ne ravive l’affaire en révélant l’ampleur du réseau de coercition sexuelle impliquant des mineures.


   L’accord de non-poursuite est signé par Alexander Acosta (5), alors procureur fédéral du District sud de la Floride, au nom du gouvernement des États-Unis, et par les avocats de Jeffrey Epstein, notamment Roy Black et Alan Dershowitz (la signature officielle a eu lieu le 18 juin 2008, bien que l'accord ait été rédigé le 30 septembre 2007) (6).


   Dans ce document, le DOJ (ministère de la Justice des États-Unis) affirmerait qu’Epstein a sollicité des mineures pour des actes sexuels à Palm Beach, en violation des lois fédérales et de Floride, tandis que le FBI a identifié environ 40 victimes potentielles (7) dans son enquête fédérale de 2006 à 2008.


   Il stipule qu’Epstein accepte de plaider coupable à des chefs d’accusation moins graves au niveau de l’État (sollicitation de prostitution et sollicitation de mineures), évitant ainsi des poursuites fédérales.


   Le « Non-Prosecution Agreement » (accord de non poursuite) identifierait également, parmi les infractions enquêtées par le FBI, la « conspiration pour voyager en commerce inter-États dans le but d’un acte sexuel illicite avec des mineures » (Epstein et des « co-conspirateurs connus et inconnus » ont voyagé ou transporté des mineures « en commerce inter-États ou international »).


   Des agents de la CIA, du Mossad et du MI6 en relation avec Epstein


   Whitney Webb, dans son enquête en deux volumes (8), détaille les liens structurels d’Epstein avec des figures du Mossad, de la CIA et de la mafia financière, en particulier via ses relations avec Leslie Wexner, Ghislaine Maxwell, et divers intermédiaires du renseignement américain, israélien, et dans une moindre mesure britannique (9) soupçonnés d’être impliqués de façon directe ou périphérique dans les réseaux d'influence, de chantage et de blanchiment dans lesquels Epstein semblait évoluer.


   En résumé, les procès et plaintes, notamment ceux liés à son arrestation de juillet 2019 (10) , mentionnent explicitement le recrutement et le transport de mineures (11), entre New York, Palm Beach et les îles Vierges via le Lolita Express (12)  — utilisé comme un moyen logistique systématique dans ce réseau sexuel et de chantage (13) selon les témoignages des victimes.


   De l’incarcération au « suicide » d’Epstein


   Epstein est arrêté le 6 juillet 2019 à Teterboro, New Jersey, pour trafic sexuel, suite à une enquête fédérale amplifiée par les articles de Julie K. Brown (« Perversion of Justice ») publiés par le « Miami Herald ».


   Incarcéré au « Metropolitan Correctional Center » (MCC), Epstein est placé sous surveillance anti-suicide après un incident le 23 juillet 2019, mais cette surveillance est levée le 29 juillet. Le 10 août 2019 à 6h30, il est retrouvé pendu.


   L’autopsie officielle conclut à un suicide par pendaison (14), mais le Dr. Michael Badenun, un expert réputé et engagé par la famille évoque un possible étranglement .


   Le rapport du DOJ de 2023 confirme le suicide, appuyé par des vidéos, bien qu’une minute manque (11:58:58 à 12:00:00) (16).


   L’environnement carcéral, censé empêcher tout passage à l’acte (suicide), renforce le caractère invraisemblable du récit officiel.


   Les deux gardiens affectés à la surveillance de l’unité, Tova Noel et Michael Thomas, ne procèdent à aucun contrôle pendant plus de huit heures.

   Ils admettent s’être endormis et avoir surfé sur Internet, leur négligence est confirmée par l’Inspectorat général en 2023 (17), tandis que les enregistrements de surveillance sont — selon les services pénitentiaires — soit absents, soit inutilisables, avec une minute manquante dans les images disponibles (18).


   L’une des caméras située devant la cellule d’Epstein est déclarée « en panne », les autres vidéos de l’aile sont décrites comme inutilisables ou non enregistrées (19).

    Aucun audit informatique crédible n’a été publié à ce jour.

   L’ancien procureur général William Barr a admis en 2019 que les « sérieuses irrégularités » défiaient la logique opérationnelle d’un centre de haute sécurité (20).


   Ce faisceau de dysfonctionnements systématiques, couplé à l’absence de réponse judiciaire substantielle, alimente les soupçons légitimes d’une exécution camouflée sous le vernis du suicide, auquel plus aucune personne censée et informée ne croit.


   Le procès de Ghislaine Maxwell : des victimes, mais sans coupables


   Arrêtée le 2 juillet 2020 par le FBI dans une propriété du New Hampshire, Ghislaine Maxwell, fille du magnat de presse Robert Maxwell, est poursuivie devant le tribunal fédéral du district Sud de New York pour trafic sexuel de mineures, incitation et transport de mineures pour des actes sexuels illégaux, et association de malfaiteurs.


   Son procès s’ouvre le 29 novembre 2021 devant la juge Alison J. Nathan. Quatre victimes témoignent à la barre, dont « Jane », Annie Farmer, Carolyn Andriano (sous le pseudonyme « Carolyn »), et « Kate » (pseudonyme).


   Le 29 décembre 2021, elle est reconnue coupable de cinq chefs d’accusation, incluant le recrutement et l’acheminement de mineures à des fins d’exploitation sexuelle entre 1994 et 2004, et condamnée le 28 juin 2022 à vingt ans de prison (21).


   Ils consommaient sexuellement des mineures ou de jeunes majeurs, ils sont identifiés, pris en photos, mais aucun n’est poursuivi…


   L’élément central de ce procès — et l’un des plus troublants — tient à ceci : aucune des figures masculines adultes, comme Bill Gates, Bill Clinton, le prince Andrew, etc., associées à Epstein et mentionnées dans des témoignages ou carnets de vols, n’a été poursuivie, malgré des allégations de relations avec des jeunes filles pour certaines d’entre elles.


   Comme l’a noté l’avocat Spencer Kuvin, représentant plusieurs victimes, « on a condamné une proxénète, mais aucun client (22)  ».


   Le Département de la Justice a refusé de déclassifier les documents concernant les « clients » au nom de la vie privée, en contradiction apparente avec les principes de justice réparatrice.

   Plus encore, la juge Nathan a placé sous scellés de nombreux dossiers annexes, contenant les noms de personnalités mentionnées par les victimes, les raisons juridiques de cette décision restant partiellement opaques (23), mais la volonté de les protéger affichée par ce juge (était-il un des clients d’Epstein ?).


   Ce paradoxe — reconnaître des crimes sans chercher à nommer leurs auteurs — jette une lumière glaçante sur les complicités institutionnelles qui semblent entourer l’affaire.

Libre Consentement Éclairé


À suivre : Affaire Epstein : Trois questions que personne n’ose poser — et qui devraient pourtant être centrales

Notes :

1. « Vanity Fair » de mars 2003 ; « New York Magazine », 27 octobre 2002.

2. « Wall Street Journal », 1er juillet 2019 ; « Bloomberg », 12 août 2019.

3. Palm Beach Police Department, « Probable Cause » « Affidavit », 5 mai 2006. 

4.  « Miami Herald », 28 novembre et 4 décembre 2018.

5. Acosta n’informera pas les victimes de l’accord, violant la loi sur les droits des victimes (Crime Victims’ Rights Act, CVRA), comme le confirme le juge fédéral Kenneth A. Marraun dans sa décision rendue le 21 février 2019 dans le cadre de l’affaire « Courtney Wild v. United States » No. 9:08-cv-80016 (S.D. Fla.), une action en justice intentée par Courtney Wild, une victime d’Epstein, et d’autres plaignantes, contre le gouvernement américain.

6. « Non-Prosecution Agreement, U.S. v. Epstein, Southern District of Florida, 30 sept. 2007 » (signé 18 juin 2008).

7. L’article « How a Ring of Women Allegedly Recruited Girls for Epstein » publié le 12 novembre 2019 dans « The New York Times », précise, lui, qu’il s’agirait de 36 victimes.

8. « One Nation Under Blackmail: The Sordid Union Between Intelligence and Crime That Gave Rise to Jeffrey Epstein », Whitney Webb, éditions Trine Day, 2022.

9. Intermédiaires du renseignement mentionnés dans le livre de Whitney Webb (confirmés ou fortement suspectés) : 1. États-Unis (CIA, FBI, DEA) : Steven Hoffenberg (escroc lié à Tower Financial Corp.) – aurait eu des liens indirects avec certaines opérations financières couvertes par des services fédéraux. Leslie Wexner (principal mécène d’Epstein) – bien que civil, des analystes suggèrent une proximité structurelle avec des réseaux de renseignement domestique et la CIA via son rôle philanthropique (notamment dans des ONG de sécurité intérieure). Des anciens officiers CIA non nommés explicitement, mais impliqués dans les filières d’investissements offshore utilisés comme couvertures logistiques. 2. Israël (Mossad) Ghislaine Maxwell, par son père Robert Maxwell, ancien magnat de la presse britannique, identifié dans plusieurs enquêtes comme agent ou collaborateur du Mossad (voir Seymour Hersh, The Samson Option, 1991). Ehud Barak, ancien Premier ministre israélien, vu à plusieurs reprises dans les propriétés d’Epstein (« Haaretz : ‘Barak Says He Met Epstein at Least Ten Times, but ‘Never in the Company of Women’ », 16 juillet 2019 »), aurait eu des liens financiers et opérationnels ambigus avec son réseau. Plusieurs donateurs israéliens et courtiers ayant opéré depuis les années 1990 dans les milieux bancaires suisses et les « hedge funds » new-yorkais. 3. Royaume-Uni (MI6 ou services annexes) Des connexions indirectes sont évoquées via la famille Maxwell, le prince Andrew, et d’anciens diplomates britanniques ayant fréquenté les cercles mondains liés à Epstein, notamment à New York, Palm Beach et Paris.

10. « Grand Jury Indictment », State of Florida v. Jeffrey E. Epstein,30 août 2006 -

11. « Anchorage Daily News », « Jeffrey Epstein taken into custody on new charges relating to sex crimes involving minors », 7 juillet 2019.

12.  « The Cut » (« New York Magazine »), « Everything We Know About the ‘Lolita Express’ », 17 juillet 2019.

13. « CBS News », « What allegedly happened on Jeffrey Epstein’s private island? », 11 juillet 2019.

14. DOJ Inspector General Report (2023).

15. NBC News (2019, 30 octobre). Pathologist Hired by Epstein’s Family Says Death Could Be Homicide.

16. « Epstein’s Autopsy », « The New York Times », 10 novembre 2019).

17. DOJ « Inspector General Report » (2023) ; Barr, W. (2019) « Statement on Epstein’s Death ». « Associated Press » ; « Epstein Jail Failures » « The Washington Post » du 27 juin 2023.

18. Bureau of Prisons, rapport d’enquête 2020 ; NBC News, 20 nov. 2019.

19. Associated Press, 9 janv. 2020 ; CNN, 23 janv. 2020.

20. Congressional hearing transcript, 11 sept. 2020.

21. United States v. Maxwell, Case 1:20-cr-00330-AJN; New York Times, 29 déc. 2021 ; BBC News, 28 juin 2022 ; Southern District of New York, Press Release, 29 déc. 2021.

22. The Guardian, 31 déc. 2021 ; ABC News, 3 janv. 2022

23. CourtListener, Maxwell docket entries, janvier 2022 ; Vanity Fair, 14 mars 2022.

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Nous l’avons écrit en 2020, dès qu’ils ont parlé de « va x ins » à ARNm, et nous étions alors les seuls à le dire et à l’écrire et nous le renouvelons : "Nous insistons sur notre recommandation : surtout, refusez d’être « va xi né » ! Même s’ils finissent par rendre cet empoisonnement obligatoire, mieux vaut payer des amendes, être séquestré chez soi, être condamné à des peines de prison (tout cela est provisoire), que d’être victime de maladies auto-immunes, de cancers ou de modifications du génome aux conséquences inconnues et qui sont définitives. L’ARN messager tiers n’est en aucun cas un vaccin ! Ces injections ne protègent de rien ! Ces injections modifient nos cellules avec de probables atteintes définitives de notre ADN ! Personne ne pourra rien pour vous, si vous tombez malade après ces injections, personne ne pourra vous soigner, il n’existe pas de traitement et vous risquez d’en mourir."

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