Chères lectrices, chers lecteurs, En ce week-end de Pâques sous cloche(s), essayons tout de même de voir les choses du bon côté. De fait, les principales informations sur la psychologie du confinement ne sont pas toutes négatives. Nous avons sélectionné pour vous quatre thèmes récemment abordés dans nos colonnes, si vous n’avez pas eu le temps de tout suivre : Et si le confinement était bon pour le cerveau ? En effet, cette situation nous met à rude épreuve, mais elle nous permet de développer une capacité cruciale de nos neurones : l’inhibition, ou aptitude à réfréner ses envies et impulsions. Très utile pour les autres défis qui nous attendent, notamment éducatifs ou climatiques ! Que faire quand ça va mal ? Les études de psychologie nous rappellent la force étonnante du toucher pour apaiser l’angoisse. Savoir prendre le temps d’une étreinte, développer les câlins, les caresses, agit sur notre système nerveux en faisant retomber la peur et la douleur. Gérer la surcharge du travail à la maison, c’est possible - même avec les enfants, en adoptant les bons « gestes barrière » contre les interruptions. Quand l’odorat s’en va, c'est peut-être la faute au corona, qui attaque les neurones olfactifs, mais pas de panique : ça reviendra. Bonne lecture, et merci encore une fois de votre fidélité ! Sébastien Bohler, rédacteur en chef |
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