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Le service public ne vous veut pas que du bien.
Sur France Inter, on ne sait plus très bien distinguer qui est journaliste, qui est humoriste et qui est sociologue.
Lundi 28 septembre, Sonia Devillers (animatrice) sommait le directeur du CSA de s'occuper de la "droitisation des chaînes d'info" car sa "mission est de veiller au pluralisme" sans s'émouvoir une seconde de la gauchisation de France Inter déjà bien entamée.
Deux jours après, mercredi 30 septembre, Léa Salamé recevait Geoffroy de Lagasnerie, "sociologue" d'ultra-gauche qui repoussa toutes les limites de la décence.
Celui-ci a pu dérouler en toute sérénité un argumentaire à faire "rougir" Staline, morceaux choisis :
« Le but de la gauche, c’est de produire des fractures, je suis contre le paradigme du débat, de la discussion et je l’assume […] Je pense que nous perdons notre temps dans des chaînes d’info à débattre avec des gens inconvaincables et que nous ratifions la possibilité qu’ils fassent partie de l’espace du débat. La politique est de l’ordre de l’antagonisme. »
« Il faut reproduire un certain nombre de censures dans l’espace public pour rétablir un espace où les oppositions justes prennent le pouvoir sur les opinions injustes »
« on sacralise deux choses : le travail et la famille. Quand vous faites régner une politique qui, au nom de la santé, s’appelle Travail Famille Patrie, vous rentrez dans un mood pas très sympathique »
« Le respect de la loi n’est pas une catégorie pertinente pour moi, c’est plutôt la justice : je rappelle que la personne la plus condamnée de France est le préfet de police de Paris »
Vous en frissonnez ? Nous aussi.
Sans se cacher, la gauche vous dévoile enfin ses intentions : nous ne respectons pas vos idées, nous souhaitons vous faire taire ; par tous les moyens.
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