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Chère lectrice, cher lecteur, Vous avez probablement déjà entendu parler des IPP, les inhibiteurs de la pompe à protons. Et pour cause, en 2015, un quart de la population française a pris des IPP [3] ! Ces médicaments sont généralement prescrits aux personnes souffrant de reflux gastro-œsophagiens. Mais selon l’ANSM (l’Agence nationale de sécurité des médicaments), 4 personnes sur 5 en prendraient pour rien [3] ! Le problème, c’est qu’ils provoqueraient une forte dépendance. Mon ami Florent Cavaler a consacré un dossier spécial à ces pilules « miracles ». Il vous explique pourquoi vous devriez vous renseigner au sujet des IPP et comment il est aussi possible de prendre soin de votre flore intestinale autrement. Je vous laisse le découvrir ci-dessous. Naturellement vôtre, Augustin de Livois IPP : avez-vous fait ce test pour estimer l’acidité de votre estomac ?Chère lectrice, cher lecteur, Les médecins prescrivent à tour de bras des IPP (inhibiteur de la pompe à protons) pour réduire l’acidité des personnes souffrant de reflux gastrique. Problème : dans certains cas, diminuer l’acidité de l’estomac pourrait aggraver le problème. En vieillissant, il arrive que les cellules gastriques produisent moins d’acide chlorhydrique. Or cette substance est indispensable au bon fonctionnement du sphincter de l’œsophage. Diminuer l’acidité gastrique (avec des IPP par exemple), pourrait ainsi favoriser les remontées acides chez certaines personnes. Les médicaments aggraveraient alors le problème… qu’ils sont censés combattre. Devriez-vous… augmenter l’acidité de votre estomac ?Il existe un test simple pour estimer si vous devriez réduire votre acidité gastrique… ou au contraire l’augmenter. Pour le réaliser, vous n’avez besoin que de bicarbonate de soude, d’un verre d’eau et d’une montre. Selon le résultat, vous aurez une idée plus claire sur votre besoin de stimuler votre acidité gastrique au lieu de la réduire. À mon avis, ce test est la première chose que tout le monde devrait faire pour être sûr d’agir dans le bon sens…. C’est la base de toute approche personnalisée contre le reflux gastrique, c’est-à-dire adaptée à vous et pas uniquement aux signaux observés (j’y reviens dans un instant). 4 personnes sur 5 prendraient des IPP… pour rien ?On pourrait s’attendre à ce que les médecins ne prescrivent des IPP que dans les cas indispensables. Par exemple, en cas de graves ulcères ou de cancer de l’œsophage. Mais d’après une étude de l’Agence nationale de sécurité des médicaments (ANSM), c’est loin d’être le cas… En 2015, 16 millions de Français – un quart de la population – se sont vus prescrire des IPP ! La plupart des nouvelles prescriptions visaient seulement à prévenir un ulcère de stress chez les personnes qui suivent un traitement anti-inflammatoire. Or, selon l’ANSM, 80 % d’entre elles ne seraient pas justifiées car les patients ne présentaient aucun facteur de risque d’ulcère gastrique. Ainsi, en 2015, plus de 6 millions de Français auraient pris des IPP alors qu’ils n’en avaient pas besoin. Et cela en mettant potentiellement gravement leur santé en danger… Un cancer de l’estomac à la place du reflux gastrique ?Depuis quelques années, de nombreuses études pointent du doigt les graves effets secondaires des IPP, dont voici un aperçu : 5 fois plus de risque de développer un cancer de l’estomac, après un an ou plus d’utilisation (un comble pour un médicament censé protéger votre estomac !!!)Augmentation de 44 % du risque de démence 2,3 fois plus de risques de développer une infection respiratoire (pneumonie) si vous prenez plusieurs doses journalières Augmentation de 35 % du risque de développer une infection gastro-intestinale Ostéoporose : risque de fracture du col du fémur 2,6 fois plus élevé après une année de traitement à forte dose Risque de carences (diminuer l’acidité pourrait empêcher une bonne absorption de ces nutriments) Mais ce n’est pas tout. Des recherches ont trouvé que la prise d’IPP chez des volontaires sains provoquerait des troubles gastriques à l’arrêt du médicament-. C’est ce qu’on appelle l’effet rebond : les symptômes réapparaissent encore plus fort à l’arrêt de la prise du médicament. Une fois qu’on a commencé à en prendre, il peut donc être difficile d’arrêter les IPP. Le médecin qui fait de l’ombre aux gros labosJ’ai la chance de connaître un médecin qui s’intéresse depuis de nombreuses années au reflux gastrique et à ses différentes causes. Ce médecin a l’habitude de recevoir des patients sous IPP. Il connaît bien le problème de l’effet rebond et sait comment guider les malades vers d’autres solutions d’accompagnement. Il a aidé de nombreuses personnes à sortir de leur dépendance. Si vous voulez mon avis, ses résultats ne font vraiment pas l’affaire de l’industrie pharmaceutique… Pour rappel, les IPP rapportent chaque année 24 milliards de dollars selon les statistiques de l’OCDE ! En 2000, le médicament le plus vendu au monde était d’ailleurs… un IPP. Vous comprenez donc que ce médecin risque gros en révélant ses conseils non-médicamenteux. Par précaution, j’ai donc choisi de préserver son anonymat dans cette lettre. En revanche, je peux vous donner un aperçu de l’approche qu’il a publiée dans le dernier numéro de la Pharmacie secrète de Dame Nature. C’est l’approche qu’il recommande à tous les patients qui viennent le voir. Dans ce dossier inédit, vous découvrirez la marche à suivre complète du test d’acidité (celui dont je vous parlais au début de ma lettre). Et surtout, vous verrez qu’il existe plusieurs types de reflux gastrique, qui doivent être pris en charge avec des solutions adaptées. 3 causes méconnues (et les approches naturelles pour y faire face)En plus de l’hypochlorydrie (manque d’acidité), il existe encore 3 causes possibles dont presque personne ne parle : Une forme de hernie particulière, qui peut nécessiter une opérationLa prolifération d’un type de bactéries : dans ce cas, une approche à base d’huiles essentielles et de gingembre serait conseillée Un problème lié au système nerveux (ce serait d’ailleurs la cause la plus fréquente) Vous le voyez, il existe des solutions appropriées pour chacune de ces causes. Et pour le médecin dont je vous parle, cela passe généralement par une approche en trois temps. Cette approche, basée sur la phytothérapie, propose des conseils personnalisés en fonction de votre problématique. Ne vous contentez pas de vagues conseils nutritionnelsLa plupart du temps, les médecins accompagnent leurs prescriptions médicamenteuses de vagues conseils nutritionnels comme l’arrêt du café, des boissons gazeuses ou du tabac. C’est déjà bien, mais souvent largement insuffisant… En effet, un microbiote intestinal déséquilibré peut impacter tout le fonctionnement du tube digestif et nécessiter la prise de probiotiques au long cours. Avant de prendre des plantes ou des médicaments, il faudrait donc toujours commencer par : Diminuer 2 produits qui peuvent aggraver votre état (on observe parfois une amélioration spectaculaire du reflux avec cette simple mesure)Adopter un régime alimentaire spécial « troubles gastriques », qui serait plus efficace que les IPP pour lutter contre le reflux selon une étude américaine parue en 2017 Éviter cet aliment, auquel 80 % de la population mondiale serait intolérante (souvent sans le savoir) 2 plantes pour calmer l’effet rebond des médicamentsJe vous l’ai dit, se sevrer des IPP n’est pas une mince affaire… Le gingembre, un excellent gastroprotecteur, pourrait notamment vous aider à limiter l’effet rebond. Il armerait aussi l’estomac contre les agressions des anti-inflammatoires et de l’aspirine. Il stimulerait également les contractions de l’estomac qui permettent de le « vidanger ». Le gingembre est aussi un puissant anti-infectieux, particulièrement efficace contre l’Helicobacter pylori dont il inhiberait la croissance. Il pourrait donc être intéressant pour tous les reflux causés par une infection bactérienne Dans ce nouveau numéro de La Pharmacie secrète de Dame Nature, vous trouverez les informations pratiques pour utiliser le gingembre correctement (s’il vous est recommandé, le sevrage d’IPP doit être progressif, il est donc important de ne pas le faire sans suivi médical). Vous découvrirez également un macérat de bourgeon à prendre en association avec le gingembre. C’est une solution particulièrement reconnue en cas d’inflammation digestive et de reflux gastrique. Apprenez à votre corps à se réajuster de lui-mêmeUne fois que les bonnes habitudes alimentaires sont prises et que le corps s’est réhabitué à fonctionner sans médicaments, il est temps de réguler le bon fonctionnement de votre tube digestif haut. Pour cela, il existe de nombreuses solutions naturelles, comme La plante antispasmodique par excellence : elle agit pour stimuler la digestion, diminuer les crampes d’estomac, les spasmes digestifs et inhiber les contractions des muscles lisses.Un végétal opérant pour réguler la sécrétion gastrique : c’est-à-dire qu’il aurait les capacités de les augmenter ou les diminuer en fonction du besoin de votre organisme (c’est là tout l’intérêt des plantes qui aident à rétablir un fonctionnement normal, contrairement aux antiacides classiques qui ne font que bloquer le processus naturel). Une synergie pour booster l’effet de ces deux plantes Vous trouverez l’intégralité de cette liste dans le numéro de La Pharmacie secrète de Dame Nature, ainsi que des détails concrets à connaître avant d’utiliser ces solutions. Prenez soin de votre œsophage avec ces 4 « breuvages cicatrisants »Après la mise en place des deux mesures précédentes, il reste à cicatriser la muqueuse gastrique et œsophagienne grâce à : Un jus de légume alcalin (grâce à sa richesse en potassium). Il pourrait donc être efficace pour tamponner l’acidité gastrique. Il serait aussi anti-inflammatoire, émollient, calmant et cicatrisant.Une préparation à base d’argile pour ses propriétés anti-inflammatoires (attention à ne pas la boire trop vite, respectez bien la marche à suivre présentée dans le dossier). Un gel à prendre dans une cuillère à soupe matin et soir (en dehors des repas) pour ses vertus cicatrisantes et réparatrices. Une association étonnante de chlorophylline et de « vitamine U » (vous trouverez le dosage et le laboratoire où vous la procurer dans le dossier). Etc. Vous découvrirez également des conseils spécifiques pour les femmes enceintes, qui souffrent plus facilement de reflux gastrique, mais qui ne peuvent pas prendre certaines plantes (il faut absolument éviter la gentiane par exemple). C’est la première fois que ce médecin accepte de publier son approche contre les reflux gastriques dans une revue. Je suis donc très fier de la partager aujourd’hui à toutes celles et ceux qui rejoignent les 20 000 lecteurs de La Pharmacie secrète de Dame Nature. Recevez chaque mois |
Pourquoi La Pharmacie Secrète de Dame Nature compte plus de 20 000 lecteurs ?Chaque mois, nos lecteurs accèdent à des dossiers exclusifs visant à lutter contre les grandes maladies : arthrose, diabète, Alzheimer, cancer, dépression, etc. Car La Pharmacie Secrète de Dame Nature publie toujours des remèdes extrêmement détaillés qui permettent de : Choisir les plantes parfois plus efficaces qu’un psy pour traiter la dépressionFavoriser l'amélioration de votre transit intestinal (constipation, diarrhée, etc.) Agir sur le syndrome métabolique (syndrome de la bedaine) Agir pour conserver une vision d’aigle jusqu’à la fin de vos jours Espérer dormir à nouveau comme un nouveau-né Agir pour garder l’esprit vif d’un académicien à tout âge. Vous pourrez bien sûr en faire profiter votre entourage et toutes les personnes que vous aimez. |
Pour vous accompagner efficacement, La Pharmacie Secrète de Dame Nature vous donne en effet toujours les indications et les doses précises afin de lutter contre de très nombreuses maladies du quotidien aussi bien que des maux plus graves.
Elle ne se contente pas de dire que « le plantain est efficace pour prendre soin de vos yeux ».
Elle vous précise :
Les images des plantes sont toujours reproduites avec une précision infinie pour que le lecteur puisse à coup sûr les reconnaître dans la vraie vie, sans la moindre hésitation.
Vous trouvez aussi le nom des marques et des fournisseurs de plantes dont la démarche qualitative est reconnue, avec les adresses des herboristes de confiance, des plus connues… aux plus secrètes.
Pas à pas, vous allez découvrir des remèdes insoupçonnés, mais vous ne vous contenterez pas de lire tout ce qu’ils peuvent faire pour vous, vous allez enfin les mettre en pratique.
Voici un tout petit aperçu des trésors de santé qui figurent dans les premières pages de La Pharmacie Secrète de Dame Nature :
Et bien sûr, de très nombreuses informations validées par les dernières études scientifiques pour améliorer concrètement sa santé :
Six plantes pour une prostate assagie (et d’autres remèdes méconnus). Elles s’appellent le cyprès vert, le lentisque pistachier, l’hélichryse, le niaouli, l’eucalyptus à cryptone ou le santal jaune. Elles peuvent vraiment changer la vie des hommes de plus de 50 ans. À certaines conditions.Et ce n’est pas tout.
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Florent Cavaler
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[1] M Feldman 1, B Cryer, K E McArthur, B A Huet, E Lee. Effects of Aging and Gastritis on Gastric Acid and Pepsin Secretion in Humans: A Prospective Study. Gastroenterology. 1996 Apr;110(4):1043-52.
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[4] Idem.
[5] Idem.
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[14] OCDE (2008), Les prix des médicaments sur un marché global : Politiques et enjeux, Études de l'OCDE sur les politiques de santé, Éditions OCDE, Paris, p. 65.
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[24] Jade Allègre, thèse de doctorat en médecine : « Les silicates d’alumine (argiles) en thérapeutique - Une pratique coutumière ancienne relayée dans la médecine moderne », 19 décembre 2012.
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