Les assassinats estampillés Bill Gates/OMS de lâessai « Recovery »
  Afin de démontrer lâinefficacité de la chloroquine et de lâhydroxychloroquine dans le traitement des pneumonies « C19 », lâOMS a sponsorisé une prétendue étude dont le seul but était de justifier lâinterdiction de lâhydroxychloroquine et de la chloroquine pour pouvoir imposer les injections « va xi nales ».
  Il sâagit de lâétude « Recovery » (« rétablissement », « récupération »), qui est un « essai clinique » qui a débuté en avril 2020 avec 4 674 malades.   Il sâest tenu sous la houlette de lâuniversité dâOxford (Royaume-Uni) et il a été mené et sous la responsabilité scientifique des « médecins » Peter Horby et Martin Landray.
  « Lâétalon-or » de lâétude scientifique qui cause la mort de 100 personnes
  Cet « essai clinique » (clinique signifie quâil concerne des êtres humains) a été présenté comme étant « lâétalon-or » de toute étude scientifique clinique, câest-à -dire quâil avait la prétention dâêtre absolument, scientifiquement et juridiquement irréprochable.
  Or, alors que la posologie ainsi que le moment où il faut prescrire lâhydroxychloroquine et le moment où il ne faut plus la prescrire, sont parfaitement documentés grâce aux différentes études publiées en Chine, aux Ãtats-Unis, au Brésil ou encore à Marseille avec lâéquipe du professeur Raoult, dans le cadre de cet essai clinique, ils ont volontairement utilisé lâhydroxychloroquine à mauvais escient :   ⢠lorsquâelle ne pouvait plus être efficace, car prescrite trop tardivement ;   ⢠à des doses très supérieures aux doses maximales recommandées par les laboratoires pharmaceutiques qui la vendent.
  Des doses 3 fois supérieures aux doses maximales recommandées par les laboratoires pharmaceutiques eux-mêmes
  Pour le traitement des pneumonies de lâhiver 2019-2020 dans lâhémisphère Nord, que ce soit à Wuhan, en Chine, à Marseille, en France, à New York, ou dans lâhémisphère Sud comme à São Paulo, au Brésil, le protocole thérapeutique, parfaitement documenté, aurait été respecté. Ce protocole recommande :   ⢠de prescrire lâhydroxychloroquine le plus tôt possible après lâapparition des premiers symptômes ;   ⢠de ne pas la prescrire lorsque les malades sont en réanimation ou lorsquâils sont en phase terminale ;   ⢠de respecter la posologie de 200 mg, 3 fois par jour (soit 600 mg par jour alors que le dosage maximum recommandé par les laboratoires pharmaceutiques eSt de 800 mg par jour) pendant 10 jours (Ajoutons que le traitement recommandé à Wuhan à lâépoque, car très efficace, comprenait 500 mg dâazithromycine (un antibiotique), le 1er jour et 250 mg les 5 jours suivants).
  Sans la moindre justification médicale ou scientifique, dans lâétude « Recovery », nos deux « tueurs à gages » en blouse blanche, Peter Horby et Martin Landray, ont prescrit lâhydroxychloroquine en moyenne, et volontairement :   ⢠9 jours après lâapparition des premiers symptômes (alors que câest dans les premières heures que la prescription est recommandée) ;   ⢠à des patients gravement malades ou en phase terminale (60 % étaient déjà sous assistance respiratoire et 17 % sous ventilation artificielle), alors que câest formellement contre-indiqué ;   ⢠à des doses 3 fois supérieures aux doses maximales recommandées par les laboratoires pharmaceutiques, soit 2 400 mg par jour (rappelons que la dose maximale est de 800 mg/jour et que la dose du protocole thérapeutique usuel pour le traitement des pneumopathies est de 600 mg/jour).
  Résultat : une mortalité chez les malades qui passe de 0,6 % à 25 % et tue 100 malades
  Alors quâà lâépoque et à lâIHUM dirigé par le professeur Raoult, seuls 0,6 % de décès étaient constatés chez les malades traités avec lâhydroxychloroquine et lâazithromycine, avec ces deux assassins en blouse blanche, le nombre de décès de patients ayant été traités avec de lâhydroxychloroquine à des doses à tuer un cheval, passe à 25 %, ce qui représenterait 100 décèsâ¦
  Précisons quâil nâest fait nulle part état dans lâintégralité de la littérature médicale et scientifique disponible dans le monde entier, dâune utilisation de lâhydroxychloroquine à un tel dosage pour le traitement dâune maladie quelconque.
  Manifestement, avant Peter Horby et Martin Landray, aucun médecin ni aucune équipe médicale nâavait prescrit une telle dose dâhydroxychloroquine à un être humain.
  Dans lâétude « Recovery », les sbires des milliardaires mondialistes qui Åuvrent à lâuniversité dâOxford que sont Martin Landray et Peter Horby, ont volontairement fait ce quâil ne fallait pas faire tout en sachant pertinemment que cela pourrait tuer les patients.
  Nous sommes donc bel et bien en présence dâune « expérience médicale » extrêmement dangereuse pour les patients, le genre dâexpériences qui ont été jugées en 1947 à Nuremberg lors du procès des « médecins » et fonctionnaires nazis.
  Nul doute que lors de ce procès, pour les mêmes faits, ces deux « médecins » que sont Martin Landray et Peter Horby auraient très sérieusement risqué dâêtre pendus « haut et court ».
  Mais leurs commanditaires, les milliardaires mondialises adeptes de la dépopulation de la Planète et leurs sbires de lâOMS, de la Commission européenne, de Davos et de lâÃlysée ont une autre cible : la vérité.
  Cette vérité qui dans un monde normal, les enverrait vers la potence, la chaise électrique ou encore la guillotineâ¦
  Luttons, informons, résistons, tenons bon, vivons et nâoublions rien !
  Pierre Lefevre
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  Une dédicace qui fait plaisir à lire
  Celle de Rachel Laurence qui accompagnait un don de 40 ⬠sur GoFundMe : « Merci Pierre Lefevre pour cette lettre confidentielle de « Libre Consentement Ãclairé que je lis régulièrement, toujours passionnante, et à Patrick Ledrappier pour sa prestation percutante, talentueuse, et tellement réaliste dans son passage à lâInfo en question » |