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Devons-nous abandonner ?

Lettre du 27 juillet 2019

Pour télécharger la lettre du 5 juillet 2019, cliquez sur « Devons-nous abandonner ?»


Madame, Monsieur, Chère amie, Cher ami,


En juin 2018, lorsque nous avons décidé de nous transformer mouvement ouvertement politique (avec un programme qui se fonde sur la liberté thérapeutique, la fin de l'obligation vaccinale, le Référendum d'initiative citoyenne, etc.), nous avions pour objectif de réveiller les consciences endormies avant l'entrée en vigueur de cette loi criminelle, celle de l'obligation vaccinale portée à 11 maladies et 76 vaccins, au 1er janvier 2019.

Nous pensions, nous le pensons toujours d'ailleurs, que la dénonciation publique ne suffit pas, même lorsqu'elle est portée par des associations dont l'œuvre est indispensable (La ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations, à ALIS à l'AIMSIB ou encore à l'IPSN).

Nous partions du constat que les travaux historiques et scientifiques qui révèlent que la vaccination n'est qu'une immense supercherie, aux conséquences dramatiques pour des milliers de familles, ne suffisaient pas à stopper cette monstruosité.

Plus encore, nous pensions que cette extension de l'obligation vaccinale préfigurait des temps difficiles pour nos droits fondamentaux, les libertés publiques, dont celle qui nous tient particulièrement à coeur, la liberté thérapeutique : ce n'est pas à l'État et à ses hauts fonctionnaires de décider pour nus comment nous souhaitons nous soigner et prendre en charge notre santé.

Depuis juin 2018, il y a eu le mouvement des gilets jaunes, réprimé comme jamais un mouvement social en temps de paix ne l'a été en France. L'obligation vaccinale est passée sans difficulté pour le gouvernement, l'homéopathie est attaquée, elle ne sera plus remboursée et gageons qu'elle ne sera plus enseignée et que les médecins ne pourront plus la pratiquer sous peine d'être radiés de l'Ordre et de devoir changer de profession.

Sans nous surprendre, notre plainte pénale, signée par plus de 2000 plaignants a été classée sans suite.

Les différentes saisines du Conseil d'État par l'Institut de Protection de la Santé Naturelle ou par la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations ont été déboutées.

 Le Conseil d'État n'hésitant pas à se contredire, d'un côté il indemnise des victimes fonctionnaires de la vaccination en reconnaissant qu'il y a un lien entre les vaccins qu'elles ont reçu et leur handicap, et de l'autre il affirme que la vaccination est bénéfique.

 À l'aide d'un florilège de « fake news », il ose affirmer que « Ces vaccins présentent une très grande efficacité, allant jusqu'à 100 % pour certaines maladies, et leurs effets indésirables sont limités au regard de leur efficacité et des bénéfices attendus ». Merci à lui pour les victimes et leurs familles !

Les batailles judiciaires sont perdues, mais il fallait s'y attendre. La question est maintenant de savoir ce que nous devons faire.

Notre constat : il nous paraît impossible de changer les choses sans créer un rapport de force politique qui nous soit favorable. Si les faits nous donnent raison, nous n'avons pas (encore ?) réussi.

Devons-nous laisser tomber pour autant ? Nos lettres d'information coûtent une petite fortune, et les cotisations et dons ne sont pas suffisants pour la pérenniser, sauf si un sursaut de générosité intervient rapidement.

Maintenir notre site web sans qu'il soit le reflet d'un combat déterminé et de propositions politiques concrètes nous semble inutile, là encore, tout dépend de vos soutiens.

Nous sommes pourtant déterminés à continuer le combat, à tout faire pour réunir le plus grand nombre autour de nos objectifs, mais vous, l'êtes-vous ?

Dites-le-nous.

Bien amicalement, continuons le combat !

 

Pierre Lefevre

 

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*****


Un pro vaccin révèle l'impensable à ses yeux !

Cet évangéliste de la vaccination obligatoire africaine voulait en prouver son utilité.

Pour cela, dès 1981, en Guinée-Bissau, il entreprit une série d'études comparatives, à partir de la vaccination DTP, entre des enfants âgés entre 3 mois et 3 ans, « bien nourris » et vaccinés, et des enfants du même âge qui étaient « mal nourris » et non vaccinés.

 

Dès 1981, toutes les études démontraient qu'il y avait une augmentation de la mortalité chez les groupes d'enfant vaccinés (ce qui n'arrêta pas ces programmes meurtriers de vaccination chez les enfants africains !) par rapport aux enfants non vaccinés.

 

Michel de Lorgeril précise que les dernières études concernent des enfants de 6 à 35 mois, et qu'elles confirment toutes l'inacceptable : la mortalité infantile est deux fois plus élevée chez les enfants vaccinés et bien nourris, que chez les enfants non vaccinés et mal nourris !

 

Aux USA, les enfants Amish (non vaccinés) ne souffrent pas d'autisme alors que dans le reste de la population U.S., nous en serions à 1 enfant sur 37 qui deviendrait autiste après la vaccination !

Les enfants Amish (non vaccinés), « ont beaucoup moins d'asthme, d'allergies, et autres pathologies en rapport avec un système immunitaire déréglé. Encore plus important, les enfants Amish semblent protégés de l'autisme » !

L'autisme aux USA :

www.cdc.gouv/ncbddd/autism/data.html

www.cdc.gouv/nchs/products/databriefs/db291.html) :

1970 : 1 enfant sur 10 000

1975 : 1 enfant sur 5 000

1985 : 1 enfant sur 2 500

1995 : 1 enfant sur 500

2000 : 1 enfant sur 150

2004 : 1 enfant sur 125

2006 : 1 enfant sur 110

2008 : 1 enfant sur 88

2012 : 1 enfant sur 68

2017 : 1 enfant sur 37

Des chiffres qui font réfléchir !


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