L'association France Digitale, qui rassemble plus de 1.800 start-up et investisseurs français du numérique, fête ses dix ans. Depuis 2012, l'écosystème a donné naissance à une vingtaine de licornes, généré plus de 8 milliards d'euros de chiffre d'affaires et créé des dizaines de milliers d'emplois.

Fondée en 2012, l'association a su capitaliser sur le « mouvement des pigeons » pour s'installer dans le paysage. Elle s'est invitée dans les élections présidentielles, a ferraillé contre Apple et a cherché à promouvoir la French Tech en Europe.

La halle ferroviaire reconvertie en incubateur de start-up fête une demi-décennie d'existence et de beaux succès. Pour « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invitées reviennent sur l'aventure qui a fait changer la French tech de dimension.

Devialet, Focal, Crosscall, Lunii… Contrairement à leurs aînées, ces entreprises parviennent à fabriquer leurs produits dans l'Hexagone.

Depuis quelques mois, plusieurs acteurs français permettent à des salariés de start-up non cotées de vendre leurs parts au moment où ils le souhaitent. Ce qui ne plaît pas forcément aux fondateurs ou fonds de capital-risque.

Au-delà du mécanisme de contribution voulu par Emmanuel Macron pour les opérateurs énergétiques, d'autres pistes sont à explorer, prévient Paul Midy, comme la contribution des Gafam au financement des infrastructures numériques.

Avec son associée, cette entrepreneuse et sage-femme de 29 ans, a lancé Jeen, une start-up consacrée à la santé féminine dans son ensemble, dont le premier centre devrait ouvrir au printemps 2023 à Paris.

Cornelius Menke rejoint la version européenne du fonds après avoir fait ses armes aux Boston Consulting Group. Par le passé, il y a travaillé dans le service du CFO de Klarna, dont la pépite est justement accompagnée par Sequoia. Le fonds estime par ailleurs que son engagement en Europe “n’a jamais été aussi fort”. 

Les actions de Just Eat ont grimpé en flèche après que la société a annoncé qu'elle prévoyait de devenir rentable cette année. Une annonce qui arrive plus tôt que prévu, liée aux réductions opérées par la start-up sur les coûts d’exploitation et de livraison.

La pépite italienne spécialisée dans le développement d’applications a levé plus de 340 millions de dollars avec des investisseurs comme l'acteur Ryan Reynolds ou de l'ancien CEO de Vimeo Kerry Trainor. Une levée qui permettra à l’entreprise de réaliser des acquisitions. 

A peine trentenaires, ces deux entrepreneurs ont réuni les fonds nécessaires pour acheter et rénover un navire qui va faire le tour du monde pour promouvoir de nouvelles solutions low-cost de recyclage des déchets plastique. Un périple de trois ans qui débute le 1 er  octobre de Marseille.