Cette page ne s'affiche pas correctement? Cliquez ici. | | | |
|
| | Chère Madame Do, | | Cette semaine, nous travaillons sur la culpabilité. Nous discutons avec la philosophe française Elsa Godart de ce sentiment qui peut parfois nous ronger. En parlant de culpabiliser, nous nous excusons d’un petit problème que nous rencontrons cette semaine concernant notre ePaper. Celui-ci subit quelques perturbations informatiques. En attendant, vous pourrez lire ici le condensé du Zoom, l’intégralité de notre chronique conseils vétérinaire et vous retrouverez la recette de notre article «À votre table». Et dans quelques jours, la version numérique du journal sera à nouveau accessible sur notre site internet. Bon week-end, La rédaction de Coopération | |
| |
|
|
|
|
| Vivre sans (trop) culpabiliser |
| | |
|
| | | | La culpabilité est un sentiment fort dont il est souvent difficile de se défaire. Il émane en quelque sorte d’un déséquilibre entre nos valeurs et notre comportement, qui nous pousse à nous en vouloir, à ruminer chacune de nos actions. Nous pouvons nous reprocher de ne pas travailler assez, de ne pas accorder assez de temps à notre famille, de ne pas faire aussi attention à l’environnement qu’on l’aimerait, de ne pas donner suffisamment de nouvelles à nos amis… Chacun pourrait compléter cette liste avec tout un tas de choses, bien que nous ne soyons pas tous égaux face à la culpabilité. En effet, les femmes en font davantage les frais. Ce sentiment est plus répandu chez la gent féminine puisque celle-ci est davantage soumise à des injonctions contradictoires. Un cas particulièrement parlant: être une bonne maman et être une bonne professionnelle. Ce qui est, dans notre société, assez incompatible. «Il faut tout à la fois s’investir dans son travail et passer du temps de qualité avec ses enfants, tenir sa maison propre, sans oublier de prendre soin de soi et de se vernir les ongles des pieds, etc.» nous dit la philosophe française Elsa Godart, auteure d’En finir avec la culpabilisation sociale. Elle nous explique aussi que la culpabilisation sociale porte sur des idéaux subjectifs, puisque nous ne pouvons dire qui est une bonne mère, qui est une bonne professionnelle. Personne ne peut juger objectivement cela. La philosophe nous encourage donc à nous fixer des limites et à ne plus nous comparer aux autres. De garder comme mantra: «Ce n’est pas parce que je peux, que je dois». Ensuite, il n’est évidemment pas question d’arriver à une culpabilité nulle. Il faut savoir reconnaître la culpabilité saine, celle qui nous alarme quand on fait quelque chose de mal. De celle irrationnelle, qui nous ronge et nous fait ruminer nos actions et nos dires. Nous sommes chacun responsables de nos actes et de nos paroles. Mais nous sommes aussi des êtres avec des failles qu’il faut accepter. Emmanuelle Jacquat, pasteure à Chavornay (VD), qui reçoit régulièrement des personnes rongées par la culpabilité nous dit «L’enjeu, je crois, est d’arriver à se désencombrer de ce qui entrave notre marche pour gagner un peu en liberté intérieure et commencer enfin à vivre!» | | | |
| |
|
|
|
|
| La Journée de la bonne action |
| |
| | | Amoureuse de la nature, Silvia Oliveira, 40 ans, a participé l’an dernier à la Journée de la bonne action avec le WWF. Une révélation pour cette laborantine de La Tour-de-Peilz (VD). |
| | | |
|
|
| | Batterie pour vélo électrique |
| |
| | | PUBLICITÉ - Vous roulez à l’électricité ? Voici des conseils d’INOBAT pour que vous puissiez profiter longtemps de votre batterie. |
| | | |
|
|
| | | | | Faites la grille et trouvez les deux mots cachés pour avoir une chance de gagner par tirage au sort l'une des deux cartes cadeaux Coop d'une valeur de 250 francs. |
| | | |
|
|
|
---|
| |
|
|
| | | Une étrange boule est apparue sous la peau de votre chien. Il convient de bien l’observer durant quelques jours avant de s’alarmer, car ces masses cutanées peuvent être assez fréquentes chez les chiens âgés. Les masses cutanées sont un motif fréquent de consultation chez les chiens, spécialement ceux de la catégorie «senior». Les néoplasies touchent un peu plus de 2% de nos canidés de compagnie. Environ deux tiers d’entre elles sont bénignes alors que le tiers restant est malin. Certaines races sont davantage atteintes, telles que les Labradors, Bergers allemands, Boxers et Yorkshires. La tumeur cutanée la plus fréquente est le lipome. Des tissus graisseux se multiplient de manière exagérée sous la peau. Bien que sans danger, ces masses peuvent atteindre une taille impressionnante et gêner les mouvements. Si la masse ressemble à une verrue ou un petit chou-fleur, il est probable que nous soyons face à un adénome sébacé, une excroissance bénigne des glandes produisant du sébum. On en trouve souvent plusieurs sur le corps du chien. Parmi les lésions sans gravité, on compte également les kystes des follicules pileux. Chez un Boxer, il faut cependant rester vigilant car cette race est prédisposée au développement de mastocytomes, une néoplasie des tissus immunitaires maligne et souvent agressive. Dans tous les cas, je vous invite à bien noter l’emplacement du nodule que vous avez détecté. Il peut être utile de couper une petite touffe de poils pour pouvoir observer son évolution. Les signes devant vous conduire à consulter rapidement sont les suivants: - La masse grossit rapidement (évolution notable sur quelques jours). - Elle gêne l’animal (par son emplacement ou sa taille). - Elle suinte ou semble infectée. Votre vétérinaire ne pourra probablement pas poser un diagnostic uniquement en examinant la masse, surtout si celle-ci se trouve sous la peau. Le professionnel vous proposera alors une ponction à l’aiguille fine afin d’en savoir plus sur la nature de l’excroissance. Cet examen, qui s’apparente à une injection, ne nécessite pas d’anesthésie, sauf si la localisation est délicate et votre animal anxieux. Dans certains cas, une biopsie peut être nécessaire si le résultat n’est pas concluant. Notez enfin qu’un petit granulome peut se développer dans les quelques jours suivant un vaccin. Il se résorbe en général de lui-même dans les deux à trois semaines. Line Gentsch Baumberger, vétérinaire à Neuchâtel | | | |
| |
|
|
|
|
| | À votre table La recette de Michel Barbey: les croquets au Maréchal Pour env. 50 pièces La pâte se travaille à la main et ne nécessite pas de temps de levage. Ingrédients ■ 125 g de fromage Le Maréchal Réserve ■ 175 g de farine ■ 5 g de poudre à lever ■ 3 g de sel ■ 20 g de graines de lin ■ 90 g de beurre ■ 1 œuf ■ 1 pincée de sel fin Préparation Couper le fromage en petits dés (5 x 5 mm). Dans un récipient, mélanger la farine avec la poudre à lever, le sel et les graines de lin. Débiter le beurre en cubes et l’ajouter au mélange à base de farine. Sabler le tout avec les paumes des mains pour en faire une poudre granuleuse. Ajouter le fromage et mélanger. Ajouter l’œuf et mélanger tous les ingrédients jusqu’à obtention d’une pâte très friable, granuleuse. La déposer sur une feuille de papier sulfurisé et l’abaisser avec les mains en un rectangle épais. Poser une deuxième feuille de papier cuisson et, avec un rouleau, abaisser la pâte à 5 mm d’épaisseur. Découper à l’aide d’une roulette à pâtisserie des rectangles de 2,5 x 5 cm. Les arranger sur une plaque de cuisson recouverte d’un papier sulfurisé, les saupoudrer légèrement de sel fin et mettre dans le four préchauffé à 180 °C. Faire cuire pendant 20 min: les croquets seront bien dorés et croquants à souhait. Les sortir et les laisser refroidir sur une grille avant de les déguster. | | | |
|
|
|
|
|
| | | | CONTACTS | | Newsletter de Coopération Coop Société Coopérative Thiersteinerallee 12 4053 Bâle | |
| |
---|
| |
| | | | |
|
|