Madame, monsieur, chère amie, cher ami,
Face au délabrement de notre système de santé organisé par les politiciens professionnels au pouvoir depuis des décennies, et compte tenu des millions d’injectés volontaires qui risquent de développer des cancers, des maladies auto-immunes, des maladies cardiovasculaires, dont les redoutables AVC, etc., que faire lorsque des douleurs insupportables nous terrassent ?
À cette question, j’ai dû dernièrement apporter une réponse, dans l’urgence. Heureusement, j’ai bénéficié des conseils bienveillants d’amis médecins compétents (mais radiés de l’ordre des médecins pour refus d’injections des produits à ARNm), et après quelques jours j’ai pu rapidement retrouver ma forme et ma pleine santé en toute sécurité et sans avoir à passer par les urgences.
Afin que les lecteurs ne s’inquiètent pas, je précise qu’il s’agissait d’une inflammation de l’appendice qui nécessita une appendicectomie par cœlioscopie en ambulatoire. Toutefois, comble de malchance, à peine dehors que je me suis cassé l’avant-bras droit en chutant dans une allée glissante, d’où mon impossibilité d’écrire lors de ces dernières semaines.
Pourquoi précisai-je « sans avoir à passer par les urgences » ?
Parce que quelques jours avant d’être terrassé par la douleur, au détour d’une conversation, j’avais signalé à Lisa Li que d’après un ami médecin radié de l’ordre des médecins pour cause de refus d’injection de produit à ARNm, dans de nombreuses villes françaises, des médecins conseilleraient à leurs patients d’éviterimpérativementde se rendre dans les services d’urgences et dans les hôpitaux publics.
Bien sûr, elle me demanda immédiatement ce que recommandaient à leurs patients ces médecins en cas d’urgence médicale ? Comme j’avais moi-même posé la question à cet ami, je lui fis part de sa réponse : « Lorsqu’il les interroge sur le sujet (les mesures à prendre en cas d’urgence médicale), leur réponse serait unanime et sans appel – il faut éviter ces structures coûte que coûte, sauf en cas d’urgence vitale où on n’a rien à perdre. Et à part cela, ils seraient incapables de proposer quoi que ce soit, à part rester chez soi et se débrouiller tout seul. »
Adopter en urgence la médecine, la diététique et la pharmacopée chinoises
Raison de plus, m’a-t-elle répondu, pour que nous continuions à recommander à nos lecteurs d’adopter en urgence la médecine, la diététique et la pharmacopée chinoises, car les connaissances en médecine et diététique chinoises, permettent d’acquérir une véritable autonomie médicale. Elles permettent de reprendre le pouvoir sur nos corps et notre santé dans quasiment tous les domaines de la médecine générale.
Faire appel aux pompiers de Paris
Mais, médecine chinoise ou non, faut-il préférer rester chez soi et se débrouiller avec les moyens du bord plutôt que d’aller aux urgences ou à l’hôpital public en cas de survenue de douleurs insupportables ?
Avant de continuer, je tiens à préciser que je n’ai fait que répéter des propos tenus lors d’une conversation avec un ami, et qu’en aucun cas je ne recommande de ne pas aller aux urgences ou à l’hôpital public en cas de survenue de douleurs insupportables. Dans ce cas, selon-moi, la première des choses à faire est d’appeler son médecin (ce que j’ai d’ailleurs fait moi-même) et selon la relation de confiance que l’on a avec lui, de suivre, ou non, ses conseils.
Pour ceux qui vivent à Paris, faire appel aux pompiers est sans doute la meilleure des choses à faire. Leur compétence est unanimement saluée par les Parisiens, et ce n’est pas l’argent qui les motive. Il y a donc peu de risques que leurs décisions soient dictées par des intérêts qui les lieraient à tel ou tel laboratoire pharmaceutique et à tel ou tel service hospitalier lui-même lié à tel ou tel laboratoire pharmaceutique (bon, j’éviterai d’être dirigé dans le service d’un médecin de plateau télé, comme Karine Lacombe).
Ces précisions étant faites, toujours « médecine chinoise ou non », il n’est pas inutile de savoir ce qui se passe dans certains services d’urgences, surtout si c’est là que vous pensiez aller.
Décédée sur un brancard aux urgences à Nantes
Selon le journal « Le Parisien » du 11 janvier 2024, une femme de 86 ans est décédée sur un brancard aux urgences du CHU de Nantes le 2 janvier 2024. Elle avait été laissée sur un brancard pendant des heures dans une zone d’attente où elle a été retrouvée morte plusieurs heures plus tard (il paraîtrait qu’elle serait restée plus de 20 heures isolée sur son brancard, et un syndicaliste cité dans l’article affirme que « dans certains cas cela peut aller jusqu’à 3 ou 4 jours »)…
Mais comment de telles monstruosités peuvent-elles arriver en France en 2024 ?
Dans le même registre, selon le journal « Le Progrès » du 17 décembre 2023, les patients étaient les uns sur les autres avec un délai d’attente de 16 heures aux urgences de Lyon sud et selon France 3 Île-de-France, le 11 janvier 2024, il y avait 12 heures d’attente aux urgences de la région parisienne « avec des patients sur des brancards dans les couloirs ».
Comme dans mon cas, avant que le diagnostic d’inflammation de l’appendice ne soit arrêté, il avait été sérieusement suspecté que mes douleurs étaient dues à des calculs biliaires, pendant ma convalescence j’ai, lu avec beaucoup d’intérêt le manuscrit du prochain livre de Patrick Ledrappier, et je confirme en tous points ce qu’en dit Lisa Li.
« Une excellente nouvelle pour ceux qui souffrent de calculs à la vésicule biliaire » |