| Paris, jeudi 20 septembre 2018 • Simone Wapler : De l'or en bière Vous aimez la bière ? Stockez de l'or, votre pouvoir d'achat de bière augmentera et la retraite venue, vous ne craindrez pas d'avoir la gorge sèche. • Bill Bonner : Comment faire fortune dans le Marigot La porosité entre la politique et l'argent est multiple. L'une aspire l'autre et inversement, tandis que la population du marigot négocie ses contrats gagnant-perdant. • Nicolas Perrin : De bonnes nouvelles pour nous épargnants chez les banques (2/2) Un peu plus de transparence dans les frais et une forte baisse des coûts d'assurance de vos prêts, voici ce que vous apporte la récente législation. | LES NOTES DE SIMONE WAPLER
| De l'or en bière
| C'est l'enseignement de l'évolution du Gold Beer Ratio suivi par Incrementum : le prix de la bière exprimé en or baisse*. Loufoque ? Non, c'est sérieux et vous pouvez en tirer des conclusions très utiles pour votre patrimoine. A la Chronique, nous vous donnons régulièrement un aperçu des travaux d'Incrementum et de ses deux économistes, Stöferle et Valek, auteurs du rapport In Gold We Trust. Stöferle et Valek ont la caractéristique d'être des autrichiens-autrichiens. Ils sont de nationalité autrichienne et appartiennent à l'école autrichienne d'économie, qui favorise Hayek, le libéralisme, la concurrence et la responsabilité plutôt que Keynes, le socialisme et l'interventionnisme étatique. Leurs rapports sont très intelligibles et sans jargon. Vous savez que l'inflation des prix n'est que la transmission à l'économie réelle d'une inflation monétaire sans création de richesse correspondante. Mais l'inflation des prix est un concept théorique difficile à cerner. Chacun a "son" inflation en fonction de son mode de vie. De plus, le mode de vie évolue puisque nous évoluons. L'inflation vue par un étudiant n'est pas celle d'un chef de famille ni celle d'un retraité. Les gens du sud seront moins sensibles à l'évolution des prix de l'énergie que ceux du nord, etc. Les indices d'inflation des prix ne reflètent donc pas ce que chacun de nous vit. D'autant plus que leur composition est discutable. Ils excluent l'immobilier et les impôts, deux éléments pourtant cruciaux pour notre pouvoir d'achat.
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L'inflation n'est qu'une statistique. Ce qui est certain en revanche, c'est que c'est aussi un impôt qui gonfle les recettes fiscales de l'Etat tout en amputant votre pouvoir d'achat. Rappelons que la Banque centrale européenne affiche officiellement un objectif d'inflation (donc d'impôt arbitraire) de 2%. Un témoin d'inflation fiable Nos économistes autrichiens-autrichiens ont donc retenu un produit que tout le monde connaît du nord au sud et d'est en ouest : la bière. Chaque année, à l'occasion de la fête d'octobre, ils publient le prix de la bière en or, ce qui nous donne une idée de l'inflation de ce produit... L'unité retenue est la Maß, qui correspond à une chope bavaroise traditionnelle d'un litre. Cette année, en euro, le prix de la Maß de bière a augmenté. Il s'établit en moyenne à 11,10 € contre 10,80 € l'année dernière. Soit un taux d'inflation de 2,8% (contre 2,4% l'année dernière). "Depuis 1950, le rythme moyen annuel de l'inflation de la bière au moment de l'Oktoberfest est de 3,9%", note le rapport. Mais celui qui a de l'or peut boire tranquille cette année : le prix de sa bière en or a baissé.
Vous remarquerez que le prix de la bière en or n'a augmenté substantiellement qu'à deux occasions : la hausse des années d'inflation 1975 – 1981 et celle des années 2008 – 2012, consécutive à la crise financière et la crise de la dette en euro. Une autre façon de voir les choses est de comparer le prix de la bière en euro et le prix de l'or en euro. La conclusion est implacable : si vous voulez échapper à la hausse de la bière, stockez de l'or. En langage d'économiste de l'école autrichienne, cela s'écrit académiquement de cette façon : "La constante perte de pouvoir d'achat de l'euro est clairement visible alors que – malgré quelques fluctuations – l'or n'a pas perdu de pouvoir d'achat durant les sept décennies passées. Une chose est certaine : l'or protège contre l'érosion du pouvoir d'achat de la monnaie papier ou, comme disent les Viennois, contre la gorge sèche". [NDLR : Les autorités, avec leur main mise sur le système monétaire, nous emmènent droit à la faillite. Découvrez pourquoi dans le dernier livre de Jim Rickards, comment éviter que votre argent ne soit sacrifié à cette occasion et le rôle que l'or aura à jouer dans la prochaine crise. Cliquez ici pour obtenir ce livre.] Vous me direz : "quand même la bière, c'est bien réducteur"... Réfléchissez-y à deux fois. La bière c'est : de l'eau, du houblon, de la culture (main-d'oeuvre, mécanisation, énergie), des levures, du brassage (bâtiments, fûts, etc.), du stockage (bâtiments encore) et enfin du service (camions, péages, livraison) et bien sûr des taxes. La bière, malgré les gains de productivité effectués dans tous ces domaines depuis plus d'un demi-siècle, n'a pas baissé en euro... Verflixt! *A télécharger ici https://gallery.mailchimp.com/b268a38a165b03979d95268dd/files/68deb4e6-dd6f-4bad-907f-e0a6fc639cb7/O_zapft_is_The_Gold_Beer_Ratio_Revisited_Oktoberfest2018.01.pdf | LES NOTES DE BILL BONNER
| Comment faire fortune dans le Marigot
| Aujourd'hui, nous nous penchons sur le Marigot. Fangeux, boueux, visqueux – le Marigot couvre les rives du Potomac et s'étend au-delà. Il abrite le gouvernement, bien entendu, mais pas seulement... L'industrie de la "défense", par exemple, se trouve sur le bord du grand fleuve du côté de la Virginie. Le gigantesque complexe de la santé, de l'éducation et de l'aide sociale a son centre de l'autre côté, dans les banlieues du Maryland... L'industrie financière a elle aussi son propre marigot, situé dans la zone inondable de Manhattan. Le foyer du Deep State C'est dans le Marigot que s'écrivent les lois (comme les 2 000 pages et plus d'Obamacare... ou les 1 000 pages et quelques des récentes baisses d'impôts). Et c'est là que les deals se font (qu'est-ce qui sera soumis aux nouvelles taxes douanières du Donald ? Qu'est-ce qui y échappera ?) Le Marigot est un cake où se dissimulent de riches fruits confits. Il abrite également le Deep State, cette confédération informelle d'intérêts particuliers, d'initiés et de compères qui contrôle le gouvernement. C'est ce même Marigot qui projette son ombre obscure sur l'avenir des Etats-Unis, de leur économie et leur empire. La dette fédérale augmente deux à trois fois plus vite que les revenus ; d'ici 2028, selon des projections raisonnables, la dette nationale américaine atteindra les 40 000 milliards de dollars. En partant d'un taux à 4%, cela signifierait 1 600 milliards de dollars d'intérêts par an – soit environ la moitié des recettes fiscales de cette année. Evidemment, cela ne peut pas arriver. Les Etats-Unis iront en enfer ou à la faillite – peut-être les deux – bien avant. Ce désastre serait facile à éviter : il suffirait de réduire les dépenses. Mais la faction armée/sécurité/surveillance du marigot du Deep State empêche toute coupe dans son budget. La faction santé/éducation/aides sociales fait de même pour son propre budget. Et devinez d'où viennent la plupart des nouveaux candidats au Congrès... D'entreprises honnêtes ou de nobles professions ? Non... les candidats les plus nombreux au Congrès, aspirant à toute la gloire du Marigot, sont des enseignants et d'ex-militaires. Ils n'ont jamais satisfait un seul client... mais représentent désormais les deux principales branches du Deep State. Le rôle d'un gouvernement Nous nous penchons sur le Marigot parce que nous sommes actuellement dans l'une de ces situations (rares, heureusement) où l'on ne peut pas éviter la politique. Bientôt, il se pourrait que votre sélection d'actions n'ait plus d'importance... pas plus que la hausse du prix de votre maison. Le système entier pourrait exploser. [NDLR : Protégez-vous avant que cela n'arrive – il est encore temps... pour l'instant. Cliquez ici pour en savoir plus.] Mais comment le Marigot est-il né ? Bien entendu, il y a toujours eu des taches d'humidité près du Capitole. C'est ce à quoi sert un gouvernement : voler le public pour récompenser les élites. Mais jamais encore le Marigot n'avait eu une telle influence qu'il pouvait outrepasser les ordres du président ou bloquer toute réforme... forçant le pays à entrer, en toute connaissance de cause, dans une crise désastreuse. Cette semaine, nous allons observer le passé... puis l'avenir. Mais d'abord, jetons un oeil cynique sur ce qui se passe en ce moment même. Gail Collins dans le The New York Times : "Prenez le cas de l'ancien représentant du Congrès Billy Tauzin, président du Comité US de l'énergie et du commerce au début des années 2000. Il a travaillé très dur pour que Medicare s'applique aux médicaments sur ordonnance (on dit merci à Billy). Il a aussi travaillé très dur pour s'assurer que le gouvernement ne puisse pas utiliser son énorme pouvoir de négociation pour faire baisser les prix des médicaments – comme le font la plupart des pays sensés (pourquoi, Billy ?). Ensuite, après avoir annoncé sa retraite en 2004, Tauzin a été nommé à la tête du lobby des fabricants de médicaments, PhRMA, pour un salaire annuel de deux millions de dollars". Mme Collins ne parlait d'une bestiole du Marigot que pour en critiquer une autre : Jon Kyl, choisi comme sénateur intérimaire en remplacement d'une créature récemment disparue, John McCain. Guide du Marigot M. Kyl a quitté le Sénat US en 2013. Qu'a-t-il fait depuis ? Naturellement, il a suivi le courant du Marigot... échouant dans l'une des plus grandes firmes juridiques de Washington – Covington & Burling. Le site internet de l'entreprise explique son rôle : "Il conseille les entreprises sur les politiques nationales et internationales qui influent sur les sociétés US et multinationales, et assiste nos clients sur des questions de fiscalité, santé, défense, sécurité nationale et propriété intellectuelle, entre autres". Mme Collins nous apporte plus de précisions : "Il est ensuite devenu lobbyiste pour le Conseil américain de la politique automobile et pour Anheuser-Busch, H&R Block, JW Aluminum, Wal-Mart Stores et d'autres encore, trop nombreux pour être mentionnés". Et qui est Louis Freeh ? Son nom est apparu après qu'on a découvert qu'il avait payé Rudolph Giuliani pour aider un riche Américain à se sortir d'accusations de corruption en Roumanie. Là encore, nous consultons le site internet de sa société : "Freeh Group International Solutions, LLC ('FGIS') est une société internationale de gestion du risque dans les domaines de la conformité, de la sécurité, des recherches et des audits. FGIS a été fondée par Louis J. Freeh, ancien directeur du Bureau fédéral d'investigation (FBI) et ex-juge fédéral". Cette fois-ci, nous allons nous-même clarifier : Freeh est une bestiole du Marigot – un fixeur. Freeh a raccroché ses gants siglés FBI en 2001. Depuis, il s'est enrichi en aidant d'autres membres du Deep State à se frayer un chemin dans le Marigot. Le journaliste Mike Lofgren, dans le Washington Monthly, nous donne plus de détails : "Freeh était également avocat de Prevezon, une entreprise russe de blanchiment d'argent impliquée dans l'enquête de Robert Mueller sur l'interférence russe dans les élections de 2016. Prevezon est également représentée par Natalia Veselnitskaya, une avocate russe célèbre pour sa participation à la fameuse réunion de juin 2016, dans la Trump Tower, entre des agents russes et Paul Manafort, Donald Trump Jr. et Jared Kushner pour discuter d'informations prétendument compromettantes sur Hillary Clinton". Combien gagne-t-on avec ce genre de boulot ? Bien plus qu'avec une simple pension d'agent retraité. Lofgren continue : "On peut supposer que Freeh a été bien indemnisé. En mai 2017, il aurait versé 9,38 M$ pour une maison de Palm Beach avec vue sur l'océan". Des fruits bien mûrs pendent à tous les arbres du Marigot. Nous verrons demain comment ils ont poussé là... | Profitez de la "Révolution Cannabis" ! Ces trois valeurs pourraient vous rapporter des gains spectaculaires grâce au nouveau boom du cannabis : découvrez-les sans attendre en cliquant ici. |
| LES NOTES DE NICOLAS PERRIN
| De bonnes nouvelles pour nous épargnants chez les banques (2/2)
| Précédemment, nous avons évoqué quelques maigres avancées qui ne méritent pas de sabler le champagne, mais qui vont tout de même dans le bon sens de l'épargnant. Aujourd'hui, nous allons passer en revue quelques évolutions plus importantes. Les clients de la banque privée ont tendance à se sentir plus choyés que ceux de la banque de réseau. En réalité, si le conseil est certes plus élaboré (enfin, surtout si vous êtes un assez gros poisson pour avoir accès au service d'ingénierie patrimoniale) et la moquette un peu plus épaisse, la taille du gourdin reste la même pour ce qui est des frais. Je m'explique. Un peu plus de transparence dans les frais de la banque privée La directive MIF 2 sur le marché des instruments financiers, adoptée au niveau européen en 2014, est entrée en vigueur le 3 janvier 2018. Entre autres obligations, elle impose aux banques de communiquer à leurs clients l'ensemble des frais et charges liés à chaque produit financier proposé à la vente. Vous recevrez également un relevé annuel récapitulant les frais payés sur chacun de vos placements. Cependant, Les Echos relevaient déjà au mois de mai que : "Depuis l'entrée en vigueur de la régulation, près d'un tiers des clients a constaté une hausse des tarifs et une restriction de l'offre de leur banque privée. [...] Dans le détail, 29% des quelque 250 clients de banque privée interrogés par l'institut OpinionWay pour Swiss Life Banque Privée ont constaté une 'évolution à la hausse de la tarification des services délivrés' par leur banque à l'occasion du passage à MIF 2." Rendez-vous au 31/12 pour un choc sans doute un peu plus retentissant ! Albert d'Anthoüard, directeur de la clientèle privée chez la fintech Nalo, expliquait au mois de juin sur h24finance pourquoi MIF 2 est une mauvaise nouvelle pour les banques : "Cette réglementation met notamment un terme aux rétrocessions que touchait la gestion privée [...] en investissant leurs clients dans des fonds d'autres sociétés de gestion, appelés 'fonds externes'. Les conséquences sont doubles. D'une part, la gestion privée voit désormais ses revenus diminuer et a déjà réagi en augmentant ses tarifs. D'autre part, pour améliorer leur rentabilité, ces établissements peuvent être amenés à abandonner progressivement la distribution des fonds 'externes' et investir leurs clients plutôt dans leurs fonds 'maison', gérés par exemple par la filiale de gestion d'actifs des banques privées. Or, en augmentant leurs tarifs et en limitant leur offre en architecture ouverte, la gestion privée perd en attractivité auprès de ses clients. [...] Le danger pour ces établissements est donc qu'une partie de leurs clients décident de se passer de leurs services pour se tourner vers des alternatives moins onéreuses et plus personnalisées." Albert d'Anthoüard fait bien sûr référence aux fintechs. Résiliation annuelle de l'assurance emprunteur : nouvelles du front J'ai déjà évoqué à deux reprises dans ces colonnes le feuilleton du big-bang de la résiliation annuelle de l'assurance emprunteur. Je vous indiquais dernièrement qu'"un point reste incertain : aucune source du droit ne vient spécifier quelle date de référence fait foi pour l'échéance de la résiliation annuelle." Mi-juin, la Fédération bancaire française (FBF), qui s'était mise en branle-bas de combat contre la mesure jusqu'à la porter devant le Conseil constitutionnel, a décidé de replier quelques troupes en publiant mi-juin un "bon usage professionnel". Ce document, qui engage les banques, apporte des précisions concernant la définition de la date d'échéance. Pour ce qui est de la détermination de la date anniversaire des contrats qui ont vocation à être souscrits, la FBF laisse aux banques le choix du critère déterminant (date de signature du contrat, date d'effet du contrat, date de signature de l'offre de prêt, date de signature de dernier avenant au prêt...). Elles sont cependant dès à présent tenues d'indiquer a minima sur leur site internet quel est l'évènement retenu. Pour ce qui est des contrats déjà souscrits, la FBF prévoit plusieurs possibilités. Comme il s'agit de considérations très techniques, je renvoie le lecteur intéressé aux explications de Previssima et de cBanque. Retenez tout de même, comme l'explique cBanque, que cette publication a le mérite de mettre un peu d'ordre dans une pratique qui était jusqu'alors pour le moins "hétérogène". Ce qui est sûr, c'est que le gouffre financier qui s'annonçait pour les banques est bien en train de se creuser. Fin mars, soit trois mois après l'entrée en vigueur de la mesure, BFM TV nous apprenait que le courtier Réassurez-moi (moins de 10% de parts de marché) a fait perdre 28 M€ aux banques traditionnelles pour à peine 3 000 contrats résiliés. En d'autres termes, chaque assuré perdu coûte en moyenne 9 000 € aux établissements bancaires. Les acteurs les plus exposés sont le Crédit Agricole, la Banque Postale et la Caisse d'Epargne. Début juillet, un intervenant du Blog Patrimoine relevait qu'entre 2017 et 2018, les taux des assurances de prêts immobiliers ont en moyenne baissé "entre 20% et 30%" ! |
| S'il fallait encore une preuve du fait qu'il n'y a rien de tel que la concurrence pour faire baisser les prix, la voilà ! Le changement provient aussi du comportement des clients Plutôt que d'attendre que l'amélioration de votre condition d'épargnant-contribuable vienne d'en haut à force d'amendements, il est de loin préférable de prendre vous-même les choses en main ! Les moeurs sont peut-être d'ailleurs enfin en train d'évoluer sur le plan des contrats d'assurance-vie. Voici ce que conclut une étude qui date de mi-juin : |
| cBanque relève que "les contrats d'assurance-vie 'grand public', souvent commercialisés par les banques, sont en décollecte en 2017." Il s'agit, comme je vous l'ai rappelé à maintes reprises, des contrats dont les fonds euros sont les moins performants. Ce constat ressort de l'édition 2018 du baromètre de l'épargne-vie individuelle publié par le cabinet Facts & Figures. Cela faisait cinq ans que les bancassureurs n'avaient pas enregistré de décollecte sur leurs contrats "grand public". Comme je l'écrivais précédemment, les clients captifs ont de toute façon vocation à se faire de moins en moins nombreux dans le secteur. Prochainement, nous verrons vers quel type de concurrence vous pouvez transférer votre épargne si vous avez décidé qu'il est grand temps de reprendre les choses en main. | Vous recevez ce mail car vous êtes inscrit à La Chronique Agora, publié par Publications Agora France SARL. © Tous droits réservés 2018. | Ajoutez la-chronique@publications-agora.fr à votre carnet d'adresses La reproduction partielle ou totale de la présente Chronique Agora est strictement interdite sans accord écrit de la société éditrice. Les informations contenues dans La Chronique Agora sont uniquement données à titre informatif. Le lecteur reconnaît et accepte que toute utilisation de nos publications et des informations les constituant, de même que toute décision relative à une éventuelle opération d'achat ou de vente de valeurs mobilières qu'il prendrait suite à ce message, sont sous sa responsabilité exclusive. Les informations données et les opinions formulées sont, par nature, génériques. Ils ne tiennent pas compte de votre situation personnelle et ne constituent en aucune façon des recommandations personnalisées en vue de la réalisation de transactions. De ce fait, la responsabilité de La Chronique Agora et de ses rédacteurs ne pourra en aucun cas être engagée en cas d'investissement inopportun. Nous conseillons à nos lecteurs de consulter, avant d'investir, un courtier ou conseiller financier indépendant agréé. Les informations vous concernant font l'objet d'un traitement informatique destiné à l'envoi de cette newsletter gratuite. Vos données sont conservées en conformité avec les directives de la CNIL. Comme La Chronique Agora est financée grâce à nos publicités, vous avez reconnu avoir accepté recevoir des messages publicitaires pour nos meilleures idées d'investissement. Conformément à la loi "informatique et libertés" du 6 janvier 1978 modifiée et au Règlement européen n°2016/679/UE du 27 avril 2016, vous bénéficiez d'un droit d'accès, de rectification, de portabilité et d'effacement de vos données ou encore de limitation de traitement, en écrivant aux Publications Agora – 8 rue de la Michodière – 75002 Paris – service-clients@publications-agora.fr. Politique de confidentialité. Retrouvez-nous nos publications et nos services sur : http://www.publications-agora.fr http://la-chronique-agora.com Vous souhaitez recevoir La Chronique Agora quotidiennement ? Inscrivez-vous gratuitement Une question, une remarque ? Il suffit de nous écrire à la-redaction@publications-agora.fr. Vous souhaitez vous désabonner de La Chronique Agora ? cliquez ici PUBLICATIONS AGORA FRANCE est une société à responsabilité limitée de presse au capital de 42 944,88 euros, inscrite au Registre du Commerce et des Sociétés de Paris sous le numéro 399 671 809, dont le siège social est 8 rue de la Michodière, CS 50299, 75081 Paris Cedex 02. Numéro de TVA intracommunautaire FR 88399671809. |
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