Quatre ans que nous attendons la nuit du 5 novembre 2024. Quatre ans que nous nous disons : si Trump l’emporte en novembre 2024 et qu’il trouve le moyen de ne pas se faire voler, une nouvelle fois, sa victoire, la victoire des partisans des libertés individuelles, de la prospérité économique, de la sécurité, de la beauté et de la vérité, alors nous pourrons espérer un monde meilleur que celui que nous propose les milliardaires adeptes de la dépopulation de la Terre et leurs sbires psychopathes de Davos.
Il serait électoralement quasiment impossible que Trump ne remporte pas l’élection présidentielle du 5 novembre 2024
En dehors de quelques sondages de circonstance qui sont payés par les soutiens des démocrates, et que personne ne semble prendre au sérieux, y compris chez les démocrates l’immense majorité des spécialistes des élections présidentielles aux États-Unis, considérerait que Trump ne pourrait que l’emporter (rappelons qu’en 2016, le dernier sondage national de « RealClearPolitics » avant l’élection montrait Hillary Clinton avec 47,8 % contre 44,4 % pour Trump et que certains sondages faits dans les « swing states » (« États-clés »), montraient Hillary Clinton en tête dans le Michigan, le Wisconsin, et la Pennsylvanie alors que ces États ont finalement été remportés par Trump).
Oui mais…
Oui mais, il y a eu 2020, et la fraude généralisée organisée grâce aux mesures prises pour lutter contre la fausse pandémie de « C19 » et qui a vu Biden déclaré vainqueur (croire que Biden a gagné l’élection présidentielle de 2020, ne reviendrait-il pas à croire que l’incendie de Notre-Dame-de-Paris a été provoqué par un mégot mal éteint).
Alors, qu'est-ce qui pourrait empêcher que le scénario de 2020 ne se reproduise dans les semaines qui suivent ? Rien, disent les pessimistes. Toutefois, beaucoup de choses auraient changé, selon les responsables de la campagne de Trump, ou encore selon Tom Fitton, dont l'organisation, « Judicial Watch », aurait obtenu en justice le retrait de : - 1 200 000 noms en Californie (comté de Los Angeles) ; - 450 000 dans l’État de New York ; - 69 000 dans un comté de Pennsylvanie ; - 500 000 dans l’État du Kentucky ; - 4 000 000 dans l’État de Caroline du Nord.
Elon Musk a incité tous les électeurs à signaler sur X les cas de fraude. Donald Trump a indiqué que tous les fraudeurs seraient poursuivis en justice. Le Parti républicain aurait engagé des centaines d’avocats pour agir en cas de fraudes flagrantes…
Oui, mais disent certains, qu’est-ce qui a été prévu pour Dominion (les machines à voter conçues pour la fraude avec de simples tableurs de type Excel) ? Eh bien, aussi étrange que cela puisse paraître, les responsables de la campagne de Trump n’apportent aucune réponse à cette question. Et ce n’est pas rassurant.
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Et si demain matin, ou avant le 20 janvier 2025 (date de l’investiture du Président des États-Unis élu le 5 novembre 2024), Donald Trump voyait sa victoire lui être de nouveau volée ?
La guerre en Ukraine repartirait sans doute de plus belle, avec tous les risques de conflit nucléaire que cela comporterait, les européens s’enfonceraient encore plus dans la précarité et la pauvreté, et nos droits d’êtres humains et nos libertés fondamentales seraient rapidement à ranger parmi nos souvenirs heureux.
Et comme l’aurait déjà fait le Premier ministre britannique, l’Éborgneur en chef des Gilets Jaunes, avec l’accord du gouvernement, quel qu’il soit, ne fera-t-il pas libérer les assassins, les violeurs et les pédophiles de prison, afin d’y enfermer ceux qui oseront se plaindre de l’insécurité, de l’immigration ou ceux qui s’opposeront aux futures injections mortelles de Pfizer & Co., comme nous ne cesserons pas de le faire ?
Quel monde de cauchemar pourrait être le nôtre demain matin si Trump n’est pas déclaré largement gagnant… Car, même si Harris n’est pas déclarée vainqueur, la probabilité que nous devions attendre des jours, voire des semaines avant d’apprendre, comme en 2020, que finalement, Trump a perdu, reste très élevée.
Et que devrons-nous faire pour nous protéger la Commission européenne et des psychopathes qui dirigent les principaux pays occidentaux, dont l’Éborgneur en chef des Gilets Jaunes, Emmanuel Macron ? Que devrons-nous faire pour rester en vie, en bonne santé, ne pas être éborgné par un fonctionnaire et ne pas être expédié en prison tout en restant nous-même et vivre heureux ?
Ce sera peut-être, ne l'espérons pas, le sujet de nos futurs articles, car en aucun cas nous ne devrons baisser les bras ! Loin de là. |