La Belle Époque aussi a connu une presse à indignation, à division, à dénonciation et qui jouait sans compter sur les faits divers, les peurs et l’émotion. Les procédés étaient identiques à ceux de CNews mais la République, la III° du nom, était dans la force de l’âge. Aujourd’hui, la nôtre, la V°, est titubante. Notre Moche Époque est à la merci d’une partie de Chamboule Tout médiatique. A l’heure d’une réforme de Radio France très contestée, la question vaut la peine d’être examinée.