On doit à la députée du Bas-Rhin, Martine Wonner, des révélations cruciales sur le scandale, et le mot est léger, du classement de la chloroquine et de l’hydroxychloroquine en substances vénéneuses mortelles interdites à la vente libre ainsi qu’à la prescription médicale, hors exceptions.
Rappelons que depuis presque 70 ans et jusqu’au 15 janvier 2020, vous et moi pouvions aller acheter autant de chloroquine ou d’hydroxychloroquine que nous voulions, pour trois fois rien, et sans ordonnance.
Martine Wonner, psychiatre de profession, est la députée qui vient d’être exclue du groupe parlementaire néonazi La Rem pour ne pas avoir voté conformément aux directives de l’éborgneur en chef des Gilets jaunes et de ses sbires.
Que lui devrait-on exactement ? Les données précises sur les ventes et les effets indésirables de l’hydroxychloroquine qui lui auraient été aurait communiqué par l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé).
Ces données sont donc on ne peut plus officielles et elles concernent ce qui est appelé la « pharmacovigilance », c’est-à-dire les déclarations d’effets non désirables que provoque les « médicaments » et qui peuvent être effectués par les médecins ou les consommateurs.
Précisons à ce sujet, qu’il est estimé que seuls entre 1 et 10 % des effets indésirables d’un médicament sont signalés aux autorités de santé.
Toutefois, cela concerne tous les médicaments et ne diminue donc en rien les révélations qui nous sont faites (c’est-à-dire que si vous multipliez par X, entre 2 et 10, le nombre de déclarations d’effets indésirables pour la chloroquine, il faut le faire pour tous les médicaments, et avec le même multiplicateur, afin de pouvoir avoir un comparatif exact).
Hydroxychloroquine, Médiator® et paracétamol, les chiffres accusent
Alors le Médiator® était interdit aux USA et en Belgique à cause de ses effets indésirables mortels, il était prescript à tour de bras en France par de nombreux médecins et aura fallu près de 30 ans aux autorités de Santé françaises, pour retirer du marché ce poison qui aurait financé de nombreux politiciens et hauts fonctionnaires.
Précisons qu’officiellement, le Médiator® a causé entre 1520 et 2100 décès (pour en savoir plus sur ce scandale, cliquez sur « Le poison qui a financé de nombreux politiciens et hauts fonctionnaires »).
Le paracétamol aurait causé 95 668 hospitalisations entre 2007 et 2017 et la mort de 200 personnes, soit en moyenne 9 567 hospitalisations et 2 morts par an.
L’hydroxychloroquine aurait provoqué 104 effets indésirables et 7 d’hospitalisation par an et 2 décès en trois ans, dont 1 dû à une intoxication médicamenteuse (6 psychotropes en plus de l’hydroxychloroquine).
Si l’on compare sur une période de 3 ans le paracétamol et l’hydroxychloroquine, nous avons 312 effets indésirables, dont 21 hospitalisations et 1 décès pour l’hydroxychloroquine face à 28 707 hospitalisations et 6 morts pour le paracétamol.
Question
Pourquoi avoir classé l’hydroxychloroquine et non, par exemple, le paracétamol parmi les substances vénéneuses mortelles ?
Près de 5 millions de boîtes d’hydroxychloroquine vendues entre 2017 et 2020
Des centaines de milliers de personnes ont été soignées entre le 1er janvier 2017 et le 31 décembre 2019, puisque 4 millions de boîtes de 120 comprimés de 200 mg (480 millions de comprimés) et 987 854 boîtes de 30 comprimés de 200 mg (29 635 620 comprimés) de PLAQUENIL® (hydroxychloroquine) ont été vendues en France pendant cette période.
En 2019, il s’est vendu (moyenne) 1 652 618 boîtes ou près de 170 millions de comprimés.
Sur ces trois années, 312 cas d’effets indésirables ont été rapportés aux autorités de Santé (pharmacovigilance).
Majoritairement, ces effets indésirables concernaient des affections oculaires et cutanéo-muqueuses et 21 cas concernent des problèmes cardiovasculaires (4 cas d’insuffisance cardiaque, 8 de cardiomyopathie, 8 de troubles du rythme au sens large et 1 cas d’hypertension pulmonaire).
En 3 ans, 2 décès ont été rapportés, dont un dû à une intoxication médicamenteuse (6 psychotropes en plus de l’hydroxychloroquine).
En résumé
Ils ont interdit la vente libre d’un médicament sans la moindre raison de santé publique, puisque selon les données officielles de la pharmacovigilance, il fait partie des médicaments qui provoquent le moins d’effets indésirables, et qu’en aucun cas il ne peut être considéré comme étant une substance vénéneuse.
Question 1
Pourquoi les hauts fonctionnaires de la Santé, la ministre de l’époque, Agnès Buzyn, et le gouvernement de l’éborgneur en chef des Gilets jaunes, ont-ils classé un médicament efficace et sans effets indésirables notoires depuis près de 70 ans, en substance vénéneuse, ce qu’il n’est pas le cas ?
On aimerait vraiment connaître les données sur lesquelles ces assassins ont classé l’hydroxychloroquine parmi les substances vénéneuses ! Mais soyez certains qu’aucun politicien ne les réclamera officiellement (je peux me tromper)…
Question 2
Sur les milliers de malades qui se soignaient avec ce médicament et qui en ont été privés sans aucune raison valable à partir du 15 janvier 2020, combien en sont-ils décédés ?
Combien de milliers de morts peut-on imputer à cette interdiction de prescription médicale d’hydroxychloroquine, médicament sûr et efficace ?
Pour en lire plus sur le paracétamol, cliquez sur « 200 décès dus au paracétamol ».
L’interdiction de l’hydroxychloroquine pose la question de la préméditation des décès provoqués en masse dans les Ehpad et celle des refus de soins des malades atteints de pneumopathies hivernales
Pourquoi avoir décidé en octobre 2019, soit de trois mois avant la déclaration d’état de pandémie par l’OMS, que l’hydroxychloroquine serait interdite à la vente libre et à la prescription médicale, alors que ce médicament fait partie des médicaments chimiques les plus sûrs, les moins dangereux et les plus prescripts par les médecins pour traiter, entre autres, les pneumopathies hivernales ?
Tout laisse à penser que cette décision fait partie d’un plan coordonné (oui, oui, nous sommes complotistes et populistes), afin de valider artificiellement l’existence d’une pandémie et de nous offrir tous les soirs des cadavres.
Il fallait qu’ils nous offrent des cadavres : ils ont provoqué la mort de 21 870 personnes âgées (au 20 avril 2020)
Afin de nous terroriser de peur, des cadavres, il fallait qu’ils nous en offrent, c’est chose faite.
Au 20 avril 2020, pour la période du 1er janvier 2020 au 20 avril 2020, il y avait par rapport à la même période en 2019, une surmortalité de 10 829 femmes et de 11041 hommes de plus de 65 ans !
Soit 21870 personnes âgées qu’ils ont volontairement tuées par refus de soins avec des médicaments efficaces ou en les laissant crever, y compris de déshydratation, dans les Ehpad !
Détail de la surmortalité entre le 1er janvier et 20 avril 2020 par rapport à la même période en 2019 et 2018
De 65 à 74 ans
2018 : 4646
2019 : 4666, soit 20 de plus qu’en 2018
2020 : 5503, soit 837 de plus qu’en 2019 et 857 de plus qu’en 2018
De 75 à 84 ans
2018 : 8752
2019 : 7957, soit 795 de moins qu’en 2018
2020 : 10110, soit 2153 de plus qu’en 2019 et 1358 de plus qu’en 2018
À partir de 85 ans
2018 : 30170
2019 : 26638, soit 3352 de moins qu’en 2018
2020 : 34477, soit 7839 de plus qu’en 2019 et 4307 de plus qu’en 2018
Nous offrir tous les soirs des cadavres, mais lesquels ?
Ils savent très bien qu’il n’existe pas de virus tueurs d’humains et que se sont nos faiblesses et nos modes de vie qui nous rendent malades et nous tuent, pas les virus qui, par ailleurs, ne sont pas des organismes vivants (ils n’ont aucune activité biologique ou métabolique) !
Ils savaient très bien qu’il n’y avait aucune réelle pandémie cet hiver, et qu’il n’y aurait donc aucune surmortalité statistique par rapport aux autres hivers.
Pour nous offrir les cadavres dont ils avaient besoin, leur seul moyen a été de refuser de soigner les malades et d’interdire le recours aux médicaments efficaces. À ce sujet, on peut se demander ce qui se serait passé si le professeur Didier Raoult avait marché dans leur combine macabre, combien de morts en plus, 50 000 ?
Les pays qui n’ont pas fait de criminel confinement à la Macron, qui ont soigné correctement les personnes fragiles et malades, et comme tous les hivers, ne dénombrent aucune surmortalité !
Pour s’en rendre compte, il suffit d’observer ce qui s’est passé en Suède, à Taiwan, au Vietnam, en Suisse, en Allemagne, etc.
Et ne croyez pas les fables sur la mutation des virus (qui ne sont pas, répétons-le, des organismes vivants) qui ferait qu'en France, il y aurait eu un virus tueur d'humains bien plus redoutable qu'en Corée du Sud ou qu'en Suisse, car il aurait « muté » (c’est un peu comme si on vous expliquait qu’une pierre avait muté et s’était transformée en lapin).
La mutation des virus est une fable inventée pour justifier les échecs des vaccinations, comme lorsqu’on nous raconte que le vaccin contre la grippe a été peu efficace (en fait il ne l’est jamais), mais que c’est parce que le virus a « muté » qu’il s’est « génétiquement » transformé (malgré la gravité de cette lettre, je ne peux m’empêcher de rire en écrivant ces derniers mots tellement c'est idiot de croire à cela).
Ils devaient nous terroriser de peur afin de nous soumettre, afin que nous acceptions l’inacceptable !
Il leur fallait nous terroriser de peur pour que nous acceptions l’arrêt de l’économie occidentale voulue par l’Église mondialiste et ses membres pédocriminels, afin d’empêcher la réélection du Président Donald Trump aux États-Unis
En France, le représentant en chef de l’Église mondialiste, l’éborgneur des Gilets jaunes, le pyromane de Notre-Dame-de-Paris, l’exterminateur des personnes âgées, Emmanuel Macron, peut revendiquer 21 870 cadavres des personnes âgées de plus de 65 ans à son actif (en moins de 4 mois) !
Ils nous conditionnent psychologiquement à la nécessité de nous soumettre à leur projet de tatouage (comme dans les camps de la mort nazis), de l’humanité toute entière voulu par l’Église mondialiste avec les puces à Bill Gates et Georges Soros.
N’oublions pas leur vaccination qu’ils vont rendre obligatoire contre le prétendu Covid-19 alors que de plus en plus de chercheurs remettent en cause (anonymement afin de se protéger des représailles), la réalité de ce coronavirus dans ce qui s’est passé à Wuhan.
Ce ne sont pas des gilets jaunes qu’il va falloir revêtir, mais des gilets pare-balles
Ils nous ont terrorisés de peur avec ces cadavres pour également supprimer nos libertés individuelles. À ce sujet, il est illusoire d’imaginer qu’ils les rétablissent sans une guerre civile, qui devrait être gagnée.
Mais, pour cela, ce ne sont pas des gilets jaunes qu’il faudrait revêtir, mais des gilets pare-balles et ce ne sont pas de pétitions dont il faudrait s’armer, mais de kalachnikovs !
Hélas, je crains fort que nous en soyons rendus à cette alternative : nous soumettre et être définitivement leurs esclaves, accepter leurs vaccins, leurs puces, la fin de nos libertés et de nos droits d’êtres humains, ou nous battre armes à la main.
Ils admirent le système politique chinois
Les néonazis qui nous gouvernent, dont le nouveau ministre de la Santé, Olivier Véran, semblent être des admirateurs du système politique chinois. Rappelons-leur qu’en Chine la peine de mort est appliquée et que pour leurs forfaits criminels qui sont de véritables assassinats de masse de personnes âgées, ce serait 1 balle dans la tête, dix minutes après leur jugement.
Préparons-nous au pire !
Pierre Lefevre
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