Vivons-nous la même ouverture vers plus de risque dans le monde de la finance ? Sommes-nous toujours un pays de rentiers qui plébiscite le livret de Caisse d’Epargne au détriment de la Bourse, de fonds de capital risque aux ressources limitées, d’entrepreneurs qui fuient à l’étranger une fiscalité confiscatoire ?

La finance repose sur l’association gain /risque. Suivant que l’on est entrepreneurs, business angels, fonds d’investissement ou encore investisseur dans un fonds, l’appréciation du risque diffère. Quel gain chacun de ces acteurs, peut-il espérer ? Quelles incitations fiscales pourraient favoriser ces prises de risques ?

La prise de risque implique l’acceptation de l’échec : sommes –nous plus ouverts ou moins que nos voisins Européens ? Comment essaimer en France la vision anglo-saxonne ?

Des nouveaux modes de financement comme les plateformes de financement participatif, font entrer le grand public aux côtés des entreprises. Les business angels ne sont plus seulement d’anciens chefs d’entreprises, mais aussi les stars du show-biz ! Est–ce le signe d’un changement de mentalité chez les Français ?

La recherche d’une liquidité est in fine demandée par les financiers : quelles options existent ? A quel moment vendre ? Quelles sont les conditions pour une bonne IPO ?

Favoriser l’accès aux financements pour les start-ups, à tous les stades de leur développement, est un sujet central de France Digitale.

Nous débâterons de tous ces sujets lors de notre session Future of Money lors du FDDay du 29 septembre 2016.