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DIMANCHE 31 OCTOBRE 2021 |
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Halloween ? Même pas peur ! |
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Les lectrices attentives l’ont remarqué : dimanche dernier, le Dr Aga s’est bien vautrée en terminant son infolettre (utiliser des expressions québécoises dès que c’est possible, ma règle d’or) sur la bonne santé de la reine d’Angleterre, alors même qu’on venait d’apprendre l’hospitalisation de la malheureuse. Accès de démence de votre médecin référent ? Pas encore. Plutôt hasard pas cool, le bouclage de mon texte ayant eu lieu la veille du jour où Buckingham a publié l’info. Drapée dans un manteau de honte, j’ai donc décidé de limiter tout risque de télescopage fâcheux en vous parlant, cette semaine, d’une actu 100% fiable. Aujourd’hui, dimanche 31 octobre, c’est Halloween (et ça, même si Elizabeth II annonce son remariage samedi 30 à 23h, ça ne bougera pas). |
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Pourquoi c’est l’angoisse, Halloween ? |
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A cause des enfants, pardi. Il faut couvrir la maison de décos moches (quel archi d’intérieur choisirait « toiles d’araignées et yeux en gelée » en inspiration d’une nouvelle création ?) et surtout, creuser des citrouilles. C’est dangereux (impossible de tendre un couteau à ses petits, mon pédopsy est formel, faut se coller soi-même aux découpes), ça met des cochonneries partout (les filaments, les graines, les jets de pulpe orange) et surtout, après, il faut le manger. Or, soyons franches, le potiron, c’est dégueu. Même noyé de crème fraîche et de comté, il en reste toujours, et pas seulement sur les murs. Alors, nos soupes et gratins finissent par encombrer le congélo jusqu’à juin, où on se résout enfin à les jeter. Halloween, c’est le moment de l’année où on risque le plus de détester la chair de sa chair. |
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Comment faire pour arranger ça ? |
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Le meilleur contre-poison consiste à se faire un ou deux épisodes de « Familles nombreuses XXL » (en replay sur TF1), un plaisir coupable que je recommande sans réserve. Chez ces familles, avoir moins de 5 enfants, c’est petit joueur. Quand il y a des jumeaux, ils arrivent par trois ou quatre. Tout le monde hurle, personne ne dort, les machines tournent h24, les parents n’ont même plus le temps de travailler à l’extérieur, de quoi regarder notre paire de juniors avec un sourire attendri : c’est pas le bout du monde, de leur fabriquer deux petits cupcakes en forme de tête de mort, quand même. |
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L’effet secondaire éventuellement embêtant. |
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En marge du chaos domestique ambiant, il y a quand même une constante dans ces familles XXL. Les enfants sont si mignons, et leurs parents ont l’air de les aimer tellement que le prosélytisme impensé est réel. D’où un vrai risque de se retrouver avec un bébé de plus au prochain Halloween, ce qui n’était pas, mais alors pas du tout l’idée de départ. |
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Médecin-référent du ELLE depuis 1735 |
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Pour celles et ceux qui ne me connaîtraient pas encore (ce qui constitue une énorme faute de goût, mais bon, on ne va vous engueuler dès le premier épisode), sachez que je suis le médecin-référent du magazine ELLE, depuis (circa) 1735, avec la complicité de mon porte-plume, la journaliste Alix Girod de l’Ain (dont les initiales, coïncidence inouïe, forment l’acronyme de mon nom). Spécialiste en tout, je délivre mon expertise sur n’importe quel type de sujet : couple, éducation, vie amoureuse des people, soins du linge, politique internationale... |
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Ma prescription feel good
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Si Halloween vous saoule vraiment trop, collez vos enfants devant un film d’horreur -ça va, je plaisante- et changez vous les idées : |
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Avant-Après : des chambres de service transformées en duplex avec rooftop
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L’avis d’AGA : J’ai une passion pour les avant-après déco, et je trouve celui là est particulièrement réussi (vous aussi, vous pouvez regarder dix fois les photos pour voir comment les cloisons ont bougé ?) |
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« Ma fille a passé le casting de James Bond et joue dans No Time To Die »
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L’avis d’AGA : Vous avez prévu de voir James Bond pendant les vacances ? Lisez le témoignage drôle et touchant de cette copine-collègue dont la fille joue Léa Seydoux enfant ! |
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Attribuer automatiquement le nom du père en premier est discriminatoire, juge la CEDH
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L’avis d’AGA : Sujet archi sensible que celui du choix du patronyme d’un bébé... La Cour Européenne des Droits de l’Homme avance mais en France, donner son nom à son enfant reste un combat pour tant de femmes... |
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