à la une | | | Il n’y a pas de « mauvais gay » : ni Bilal Hassani, ni Matthieu Delormeau | La sortie du chroniqueur de "TPMP" au sujet de la jeune star queer appelle à une réflexion sur la follophobie, bien sûr, mais aussi sur l'homophobie intériorisée et sur les réactions que celle-ci provoque au sein de la communauté LGBTQI . | | | |