« Il y a dans le système financier des cryptomonnaies décentralisées tout le potentiel nécessaire à la défense de nos droits d’êtres humains et de nos libertés fondamentales… »
Q : « Ne peut-on pas imaginer une attaque de la ‘blockchain’, ce qui rendrait impossibles les transactions avec cette cryptomonnaie… »
« Et BlackRock aurait la main sur ces… »
R : « Les transactions enregistrées sur une ‘blockchain’ sont quasiment indestructibles, les blockchains ne sont pas uniquement hébergées par un serveur ou deux, ou trois ou quatre, avec leurs sauvegardes. Elles sont également hébergées par les « mineurs », ceux qui œuvrent avec leurs ordinateurs à valider les transactions et à produire les « jetons », c’est-à-dire les « pièces » ou les « billets » numériques des cryptomonnaies.
» Dans les faits, des gouvernements ou des organisations à la solde des mondialonazis peuvent s’attaquer à des ‘blockchains’, mais rien ne sera perdu pour autant, car ils ne peuvent pas les détruire, ils peuvent simplement perturber temporairement leur utilisation… À moins d’une apocalypse nucléaire, ou de la destruction totale de toutes les données numériques sur la Planète, vos bitcoins présents sur la ‘blockchain’ Bitcoin, ne seront pas détruits en cas d’attaque spécifique de cette ‘blockchain’, vous les retrouverez une fois son fonctionnement normal rétabli.
» Par ailleurs, vous pointez là du doigt une autre force du recours des cryptomonnaies décentralisées, c’est qu’en cas de problème avec une ‘blockchain’ et sa cryptomonnaie décentralisée, il suffit de passer à une autre, en attendant qu’elle soit de nouveau opérationnelle…
» L’usage de cryptomonnaies décentralisées est multiple, on ne possède pas, en principe, une seule cryptomonnaie. La ‘blockchain’ Monero est attaquée, très bien, en attendant qu’elle soit rétablie, on peut en utiliser une autre sans problème, et sans rien perdre réellement.
» Dans peu de temps, les politiciens professionnels et leurs fonctionnaires pourront bloquer l’utilisation des cartes bancaires d’opposants politiques, comme l’a fait le mondialonazi Justin Trudeau au Canada avec les routiers et leur convoi pour la liberté.
» Ils pourront également fermer les comptes bancaires des récalcitrants à leur politique, ou encore limiter drastiquement, voire suspendre, leur capacité d’usage de la monnaie numérique centralisée comme l’euro, mais cela sera sans réel effet pour les utilisateurs de cryptomonnaies décentralisées qui pourront continuer à vivre normalement et à avoir des échanges économiques (acheter, vendre)…
» Il y a dans le système financier des cryptomonnaies décentralisées tout le potentiel nécessaire à la défense de nos droits d’êtres humains et de nos libertés fondamentales…
» Tout comme il y a un fort potentiel de destruction du château de sable depuis lequel quelques milliardaires adeptes de la dépopulation de la Planète dirigent l’Occident.
» D’ailleurs, comment comprendre autrement que BlackRock fasse main basse sur le minage résiduel du Bitcoin (la création numérique des bitcoins, cryptomonnaie décentralisée historique) ?
» Sur les 20 999 976,9 bitcoins qui pourraient être minés (créés) au total, à ce jour [22 avril 2024] il y en aurait 19 688 600 en circulation et il en resterait à miner 1 311 376. Et BlackRock aurait la main sur ces 1 311 376 qui restent à miner, soit seulement 6,2446 % du total des bitcoins…
» Pourquoi cela ?
» Pourquoi cela, sinon pour espérer contrôler la principale blockchain des cryptomonnaies décentralisées afin que le marché des bitcoins ne menace pas trop l’Agenda 2030 ? »
Q : « Pensez-vous que BlackRock pourrait neutraliser les bitcoins en en détenant seulement 6,2446 % ? »
« Ils ajoutent du pouvoir de nuisance à leur pouvoir de nous nuire… »
R : « C’est sans doute ce qu’ils espèrent… Mais il n’y a pas seulement les 6,2446 % des bitcoins qui sont entre leurs mains, il y a également tout le reste : ONU, OMS, Commission européenne, principaux gouvernements occidentaux, etc.
» Disons qu’avec ces 6,2446 %, ils ajoutent du pouvoir de nuisance à leur pouvoir de nous nuire…
» Mais dans quelle mesure les cliques de BlackRock pourront enrayer le système financier des cryptomonnaies décentralisées ? L’avenir nous le dira, néanmoins, je ne pense pas que ces 6,2446 % puissent leur servir à autre chose qu’à engranger de confortables bénéfices, certains analystes voient le bitcoin à 10 ou 20 millions de dollars actuels en 2040...
» Par ailleurs encore, le système financier des cryptomonnaies décentralisées ne se limite pas aux échanges de bitcoins… Le site ‘coinranking’ suivrait la valeur de plus de 39 000 cryptomonnaies décentralisées, sur lesquelles une centaine auraient toutes les qualités requises pour être fortement intégrées au marché des cryptomonnaies décentralisées…
» Marché dans lequel circuleraient déjà 2,5 trillions de dollars, soit 2,5 milliards de milliards de dollars [La plateforme Binance réaliserait plus de 18,8 milliards de dollars par jour en échange de cryptomonnaies]...
» Tout cela pour dire que ce ne sont pas, selon moi, les 6,2446 % des bitcoins qui seront détenus par BlackRock en 2040 qui seront décisifs dans le combat qui se mène, maintenant, en 2024, entre les mondialonazis, qu’ils sont, et les défenseurs des droits humains et des libertés fondamentales que nous sommes.
» J’ajouterai que le Bitcoin n’a plus vraiment d’intérêt politique pour les opposants aux mondialonazis. Il conserve son intérêt spéculatif et « valeur refuge », et à ce titre, il est sans doute plus intéressant que l’or ou l’argent, mais il ne servira pas, avant longtemps, aux échanges économiques quotidiens des hommes qui veulent rester libres, en bonne santé, et en vie, mais qui n’ont pas eu la possibilité ou la présence d’esprit d’acheter des bitcoins lorsqu’ils valaient moins de 10 cents…
» Nous pourrons placer nos économies en bitcoins, comme d’autres les placent en or ou en argent, mais nous ne pourrons pas acheter nos aliments quotidiens avec des bitcoins, en tous les cas lors de ces prochaines années…
» Cependant, d’autres cryptomonnaies le permettront. D’ailleurs, au Mexique, plusieurs petites entreprises ne commerceraient qu’en monero [Monero (XMR).
» Monero est une cryptomonnaie décentralisée (open source) lancée le 18 avril 2014 pour protéger l’anonymat des transactions et donc la vie privée [elle a été lancée sous le nom de BitMonero].