Une nouvelle étude de Pieds Nickelés vient d’être publiée le 22 mai 2023, dans le prestigieux JAMA (« The Journal of the American Medical Association »).
Financée par l’administration Biden, cette étude a été réalisée par des fonctionnaires de la FDA (sous la direction du docteur Steven Anderson qui dirige l’« Office of Biostatistics and Epidemiology at US Food and Drug Administration »).
Le JAMA a l’honnêteté de publier la longue liste des conflits d’intérêts des auteurs, y compris avec Pfizer et naturellement avec la FDA.
Un risque élevé d'inflammation cardiaque pour les 12-17 ans…
Selon les auteurs de cette « étude », la survenue de myocardite et de péricardite a « atteint le seuil d’un signal de sécurité » dans le groupe d’âge de 12 à 17 ans.
Autrement dit : les « va x ins » tueurs à ARNm de Pfizer & Co. provoquent bel et bien des myocardites (inflammations du coeur) ainsi que des péricardites (inflammations du péricarde), et ce serait au 7e jour que le risque pour les enfants et adolescents de 12 à 17 ans de se retrouver avec de sérieux problèmes cardiaques, voire de mourir, serait le plus important…
Alors, évidemment, malgré cette reconnaissance quasi officielle des autorités fédérales de l’existence d’effets secondaires graves dus aux injections à ARNm, cette nouvelle étude soulève de nombreuses questions.
Une nouvelle étude « nuage de fumée à la poudre de perlimpinpin »
Il s’agit d’une étude rétrospective dite « de cohorte », c’est-à-dire qui regroupe des sujets ayant des points communs, ici il s’agit de :
- l’âge (5-17 ans) ;
- du statut vaccinal (enfants injectés à l’ARNm) ;
- ayant subi des injections réalisées entre le 11 décembre 2020 et la mi-mai 2022 ;
L’étude a concerné plus de 3 millions de dossiers issus de 3 bases de données commerciales américaines gérées par CVS Health, HealthCore et Optum et la seule période qui aurait été étudiée allant de 1 jour à 42 jours après l’injection.
Selon les fonctionnaires de la FDA, ils auraient identifié 89 cas d’inflammation du coeur ou du péricarde, dus aux injections à ARNm chez les 12 à 15 ans et 64 cas chez les 16 et 17 ans, soit 153 cas.
Ils évoquent également un nombre supérieur de cas chez les 5 – 11 ans, sans préciser le nombre exact et en affirmant qu’ils n’étaient pas associables aux injections à ARNm (ce que nous devrions pouvoir vérifier, mais ce n’est pas le cas).
Une nouvelle affaire « Hydroxychloroquine / The Lancet » ?
On se souvient de l’étude totalement bidonnée publiée par « The Lancet » au sujet de « la très dangereuse » hydroxychloroquine.
C’est l’étude qui servit de prétexte aux gouvernements occidentaux pour interdire ce médicament, l’hydroxychloroquine, que l’on sait efficace depuis 2020 dans le traitement des pneumopathies associées à des coronavirus (rappelons que l’hydroxychloroquine qui était en vente libre depuis les années 1950, a subitement été classée « substance vénéneuse » par la criminelle Agnès Buzyn le 13 janvier 2020 (décret préparé en octobre 2019, bien avant que l’on entende parler de « C19 »).
Une « étude » prétexte pour justifier les injections aux nouveau-nés, aux nourrissons et aux moins de 12 ans ?
Ce qui est donc suggéré, ce serait que la puberté ne serait pas compatible avec les injections d’ARNm, mais qu’avant, cela ne poserait aucun problème… Pourquoi pas ?
Mais le problème, c’est que des effets secondaires extrêmement graves auraient été rapportés un peu partout dans le monde où les injections ont été autorisées chez les petits, avec d’ailleurs des drames inédits : survenue d’AVC mortels chez des nourrissons et, chez des filles prépubères, des hémorragies utérines dont certaines auraient nécessité l’ablation de l’utérus.
Lorsqu’on lit dans le détail les travaux et les conclusions de fonctionnaires de la FDA, on se demande si cette « étude » ne sert pas à justifier les injections de « va x ins » tueurs de Pfizer & Co. chez les nouveau-nés, les nourrissons et les moins de 12 ans. Ce qui permettra de dire aux assassins qui seront un jour sévèrement jugés (espérons-le) : « à l’époque, la science affirmait que ce n’était absolument pas dangereux d’injecter ces poissons aux nouveau-nés, aux nourrissons et aux moins de 12 ans ! La science a évolué ! Nous n’y sommes pour rien ! »
Plus de 200 articles publiés qui dénombreraient 100 décès chez les 18-24 ans
3 millions de dossiers étudiés pendant combien de temps ? On aimerait connaître les dates de début et de fin de l’étude, afin de pouvoir savoir combien de temps a été consacré à chaque dossier, de même qu’on aimerait connaître les informations exactes contenues dans les dossiers.
Sans compter que les « médecins » partisans des injections à ARNm préféreraient ne pas déclarer aux autorités l’apparition de myocardites ou de péricardites post injections, de même qu’en cas de non-déclaration, rien n’est inscrit à ce titre dans le dossier médical des patients.
Ajoutons que depuis juillet 2021, il y aurait eu plus de 200 articles évalués par des pairs de publiés dans différentes revues médicales et que d’après ces articles on dénombrerait 100 décès, parfaitement documentés, qui concerneraient majoritairement de jeunes hommes âgés de 18 à 24 ans (zut alors, l’étude des fonctionnaires de la FDA s’arrête à 17 ans).
« Ces résultats fournissent des preuves supplémentaires de la sécurité des vaccins COVID-19 dans la population pédiatrique »
Il nous est dit qu’ils avaient ciblé 20 problèmes de santé (dont les crises d’appendicite) afin de contrôler qu’elles n’étaient pas induites par les injections à ARNm, et sur ces 20 maladies, seules les myocardites et les péricardites, chez les 12 – 17 ans, seraient, selon eux, dues aux injections à ARNm.
Donc, et malgré ces myocardites et péricardites infantiles reconnues, pour les fonctionnaires de la FDA, par ailleurs en conflits d’intérêts, y compris avec Pfizer, les injections des « va x ins » tueurs de Pfizer & Co. seraient sans danger pour la population pédiatrique.
Mais bien sûr, et moi je suis pape.
Luttons, informons, résistons, vivons !
Pierre Lefevre
PS : Je ne peux que vous recommander fortement l’achat de Mortel anesthésique de Patrick Ledrappier (j’espère avoir prochainement le temps de faire une lettre sur ce livre, grâce auquel d’ailleurs nous avons fait connaissance, Patrick Ledrappier et moi-même. Et sans lequel je ne me serais sans doute jamais intéressé à ce point aux questions de corruption dans la Santé.)