Antoine Charbonneau-Demers, le « mauvais garçon » de la littérature québécoise | Il est timide. On sent ses hésitations, chauqe mot est pesé. Les phrases sont brèves. Presque trop. On se dit que son style est un peu court et puis finalement non. Il dit peu, mais dit l’essentiel. Précis et calme. De passage à Paris avant de rentrer chez lui et de s’isoler, à Montréal, cause […] | | |