Ils ont assassiné des dizaines de personnes âgées dans les Ehpad en leur refusant les soins, en les enfermant dans leur chambre jusquâà ce que mort sâensuive, et/ou en les piquant, comme on pique les chiens, à coup de Ri - - vo â tril.
  Mais, les personnes très âgées et dépendantes nâétaient pas leurs seules cibles immédiates : les malades atteints de pneumonies hivernales ont également représenté des cibles de choix.
  Lorsquâun tel malade appelait les urgences, les « médecins » lui expliquaient quâil fallait quâil reste chez lui et quâil prenne du Doliprane®.
  à partir de ce moment, les heures de ce malade étaient comptées : le Doliprane® aggravait la situation et le malade se retrouvait aux urgences où des « médecins » lui injectaient du Remdesivir® tout en le mettant sous respirateur artificiel.
  La suite était connue de tous : la mort.
  Rappelons que si aux premiers signes pathologiques les médecins avaient prescrit de lâhydroxychloroquine et de lâazithromycine, comme ce fut le cas à lâIHU M dirigé par le professeur Raoult, mais pas seulement, puisque ce traitement a été initié avec succès dès début février 2020 à Wuhan (Chine) et quâil fut appliqué (tout comme dâautres traitements efficaces) dès cette période en Afrique, au Maghreb, etc.
  On apprend que lâinventeur du coronavirus a également participé à lâélaboration du Remdesivir®â¦
  Le docteur David Martin, fondateur de M-CAM® aux Ãtats-Unis, rappelle que Ralph Baric (The University of North Carolina at Chapel Hill) qui passe pour être lâinventeur du coronavirus â faisait partie de lâéquipe qui a mis au point ce poison nommé Remdesivir®.
  Un poison au taux de mortalité de 53 %...
  Et dire que le Remdesivir® est un poison nâest vraiment pas excessif, puisque le docteur David Martin rappelle quâen 2018 il tuait 53 % des patients à qui il était injectéâ¦
  Ce taux de mortalité était connu, il nâétait pas secret, il était publié dans de nombreux articles à un point tel que lâOMS lâa retiré des médicaments à prescrire aux malades atteint dâEbolaâ¦
  De même quâil était publié que le taux de mortalité provoqué par ce poison était indépendant de lâétat du malade et de sa charge virale : il tuait rapidement 53 % des personnes à qui il était injecté, victimes ou non dâEbola !
  Ils ont assassiné des gens !
  Le docteur David Martin utilise le « nous » (nous avons assassiné des gens), avant de préciser quâil désigne ainsi « les masses complaisantes et ignorantes qui ont accepté de laisser les choses se dérouler sans contrôle ».
  Les assassins sont nommés : Antony Fauci, Ralph Baric, Peter Daszakâ¦
  Le docteur David Martin cite trois responsables de la Santé publique dâalors qui ont décidé de faire injecter aux malades des infections pulmonaires « C19 » le Remdesivir®, et il précise « nous savions que nous allions tuer des gens », alors que la vraie formulation est : « Ils savaient quâils allaient tuer des gens », « câest un meurtre prémédité » (ce qui est la définition même du mot « assassinat »).
  Le coup dâÃtat des responsables de la Santé aux Ãtats-Unis
  Le docteur David Martin parle dâun coup dâÃtat contre le Président Donald Trump : les auteurs du coup dâÃtat étaient littéralement assis dans un canapé juste à côté du Président dans le bureau ovale (bureau présidentiel à la Maison-Blanche).
   Et ce que Donald Trump ne savait pas, câest quâil signait lâarrêt de mort de citoyens américains (David Martin fait sans doute référence aux décrets signés par Donald J. Trump en vue de financer Big Pharma pour la mise au point dâun « va x in » à ARNm).
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  Remdesivir® : des extraits de notre livre
  Dans « C19 » un complot mondial contre nos droits dâêtres humains, nos libertés fondamentales, notre santé et nos vies, et avec Patrick Ledrappier, nous abordons à plusieurs reprises ces assassinats au Remdesivir.
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  Afin quâaucun des coupables ne puisse un jour affirmer « On ne savait pas », ou « On nous a dit que », voici quelques extraits :
  - « Il nây a pas eu de pandémie
  Ces pourcentages proviennent des données gouvernementales de chaque pays étudié.
  Au sujet du taux de mortalité, il ne faut pas oublier que les malades nâont pas été soignés avec des médicaments efficaces comme les sont lâivermectine, lâhydroxychloroquine, les vitamines C et D ou encore lâArtemisia annua (en France, les malades ont été achevés avec du Remdesivir®). »
  - « le Remdesivir® ne guérit pas : il sâagit dâun médicament dangereux (câest sans doute la raison pour laquelle il a été rendu quasiment obligatoire dans les hôpitaux par les criminels qui nous gouvernent) ; »
  - « En revanche, Gilbert Deray a été depuis le début lâun des principaux propagandistes du dangereux Remdesivir® du laboratoire Gilead.
  Médicament hautement toxique, le Remdesivir® aura sans doute tué plus de malades que le « C19 » pendant la période où il a été prescrit par des « médecins », transformés pour lâoccasion en véritables tueurs en blouse blanche. »
  - « 4,14 ⬠un traitement efficace et sans danger avec lâantibiotique « clarithromycine », contre près de 2 300 ⬠pour un traitement inefficace et très dangereux avec le Remdesivir® commercialisé par Gilead Sciences et qui serait dangereux, car il provoquerait, comme on le signala, des atteintes rénales et « une augmentation dangereuse des enzymes hépatiques, pouvant causer des dommages irréparables au foie »
  - « En France, le recours aux antibiotiques pour traiter le « C19 » a été interdit par Emmanuel Macron et Olivier Véran, alors même que le Remdesivir® y a été autorisé. On relèvera quâil a été le premier médicament anti-Covid conseillé (25 juin 2020) par lâEMA pour autorisation de mise sur le marché dans lâUnion européenne (15 juillet 2020). Quant à lâANSM, elle « a octroyé au Remdesivir® injectable une autorisation dâutilisation de cohorte ». Mais temporaire...
  - « La doctrine « quoi quâil en coûte » « En France, lâautorisation de lâinefficace et dangereux Remdesivir® à 2 300 ⬠le traitement du « C19 », couplée à lâinterdiction dâantibiotiques efficaces et sans danger à 4,14 ⬠le traitement du « C19 », caractérisent, on ne peut mieux, la doctrine « quoi quâil en coûte », si chère à Emmanuel Macron, et si coûteuse pour les assurés sociaux. »
  - « Le Remdesivir® et le cadeau de 1,2 milliard de dollars fait par Ursula von der Leyen à Gilead. Contre combien ? à partager avec qui ? »
  « Selon lâarticle A very, very bad look for remdesivir mis en ligne le 6 novembre 2020 sur le site « Science.org », la Commission européenne et la FDA ont été officiellement avisés les 9 et 10 octobre 2020 des résultats de lâétude « Solidarity ».
  Sous lâégide de lâOMS, lâétude « Solidarity » a été menée dans 405 hôpitaux de 30 pays différents, et elle a porté sur 11 000 patients traités avec du Remdesivir®.
  Les conclusions de cette étude sont catastrophiques pour Gilead et son médicament vedette : « Lâhypothèse que le Remdesivir® puisse empêcher une fraction substantielle des décès est absolument exclue ».
  Toutefois, le 8 octobre 2020, la veille du jour où la Commission européenne a été officiellement avisée de ces résultats, Ursula von der Leyen ordonne la passation dâune commande de 500 000 doses de ce dangereux produit qui non seulement ne soigne pas les malades atteints du « C19 », mais qui en plus provoque des atteintes graves au foie et aux reins.
  Coût de la dose selon Virginie Joron du Parlement européen : 2 000 â¬, soit à lâépoque 1,2 milliard de dollars. »
  - « Câest le 15 octobre 2020 que lâOMS annonce publiquement les résultats de lâétude « Solidarity ». Mais le 22 octobre 2020, aux Ãtats-Unis, la FDA approuve le Remdesivir® dans le traitement du « C19 », comme quoi les dirigeants de cette agence ne valent pas mieux quâEmer Cooke (Agence européenne du médicament) et quâUrsula von der Leyen (Commission européenne). »
  - « Dâailleurs lâaffaire du Remdesivir® le démontre : ce produit a été « vendu » et « survendu » dans tous les médias par des « médecins » qui étaient également payés par Gilead et qui affirmaient, la main sur le coeur et avec conviction, que le Remdesivir® était efficace dans le traitement des pneumopathies associées au « C19 » et quâil était sans danger. »
  - Ces médecins ont survendu le Remdesivir® du laboratoire Gilead alors que très tôt les Chinois avaient découvert que ce médicament était inefficace dans le traitement des pathologies pulmonaires associées au « C19 ». Il est également très vite apparu quâil pouvait être dangereux pour la santé en provoquant des effets indésirables rénaux et hépatiques (foie) comme le révélait le 23 juillet 2020 Marine Cygler dans un article publié dans la revue Medscape »
  - « à cet égard, le criminel classement de lâhydroxychloroquine et de la chloroquine en substances vénéneuses, ce quâelles ne sont absolument pas, reste lâexemple le plus révélateur de cette corruption organisée en 2020. Il sâagissait en effet alors de favoriser des médicaments dangereux et hors de prix, tel le Remdesivir®, et dâimposer les « va x ins » tueurs de Pfizer & Co. ».
  Les décisions les plus importantes pour ma vie
  Mais qui peut encore faire confiance au système de santé publique en France ?
  Qui peut encore croire un seul mot de ce que nous racontent les politiciens professionnels, les fonctionnaires, les présentateurs de télé et les « médecins » injecteurs dâARNm ?
  Croyez-moi, pour ceux qui ne lâauraient pas encore fait, adoptez en urgence la diététique, la médecine et la pharmacopée chinoisesâ¦
  Câest sans doute la décision que jâai prise ces dernières années qui est la plus importante pour ma vie, avec celle, naturellement de refuser de me faire harakiri en acceptant leurs injections dâARNmâ¦
Pierre Lefevre
