| Cher(e)s lecteur(trice)s, Nous vous proposons deux grands rendez-vous dans les prochains jours. Afin de ne pas les manquer, découvrez les de suite et notez les dans vos agendas ! Au plaisir de vous accueillir, L'Armitière | |
| | Rencontre avec Jacques Darriulat et Raphaël Enthoven Le mardi 23 mai 2017 à 18h00 L'Armitière "Vermeer" et "Little brother" "Vermeer" - Fayard Une jeune fille rêve près de la fenêtre. Le jour entre à flots, caresse les surfaces, épouse les reliefs et dore son visage… Dans cette intimité ouverte et recluse à la fois, les murs et les êtres reçoivent, comme une grâce, l’ondoiement de la lumière, et tout évoque un ailleurs dont le chemin s’est perdu. En un mot, le monde est beau. C’est l'unique leçon de Vermeer. Encore faut-il ouvrir les yeux… Mais comment faire ? Comment regarder ce qu’en général nous voyons sans y prêter attention ? Ou comment voir ce qu’ordinairement nous regardons sans y penser ? En donnant la parole à ces éducateurs du regard qui empruntent le chemin de la connaissance pour en venir à la simplicité même. Au bout du savoir, c’est l'évidence qui nous attend. Et la saveur inaltérée d’un monde stupéfi ant, lumineux et serein : le nôtre.
Jacques Darriulat a enseigné la philosophie en classe de Lettres supérieures au lycée Henri IV, à Paris, puis la philosophie de l’art à la Sorbonne (Paris-IV). Il est l’auteur d’un site consacré à la philosophie : www.jdarriulat.net
Raphaël Enthoven enseigne la philosophie autant que possible, sur toutes les estrades qu’on lui prête. Le goût de transmettre lui vient (entre autres) des cours de Jacques Darriulat dont il fut l’élève en hypokhâgne. "Little Brother" - Gallimard "En quoi le dessin d'une mouche au centre de l'urinoir fait-il de l'homme un mouton ? Pourquoi les gens qui font des « quenelles » tiennent-ils à montrer qu'ils ont le bras long ? D'où vient l'idée saugrenue de fin du monde ? Qui dira la tragédie du sac plastique à usage unique, que son immortalité condamne à disparaître ? Comment se fait-il que chaque époque ait eu des gens pour dire que « c'était mieux avant » ? Quelle différence entre un twitto et un gladiateur, et entre le « mode avion » et le souverainisme ? Que restera-t-il du vintage quand, dans quelques années, notre passé immédiat n’aura plus que des objets virtuels à offrir en chemin à ceux qui voudront, malgré la fin de l’histoire, partir encore à la recherche du temps perdu ? En un mot, comment échapper, face au monde, ses clichés et ses objets, au triste sentiment de savoir ? En gardant à l'esprit que, contrairement à une idée reçue, quand l'imbécile montre la lune, le sage regarde le doigt." | |
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| | Rencontre avec Franck Thilliez Le mardi 30 mai 2017 à 18h00 L'Armitière "Sharko" Eux, c'est Lucie Henebelle et Franck Sharko, flics aux 36 quai des Orfèvres, unis à la ville comme à la scène, parents de deux petits garçons. Lucie n'a pas eu le choix : en dehors de toute procédure légale, dans une cave perdue en banlieue sud de Paris, elle a tué un homme. Que Franck ignore pourquoi elle se trouvait là à ce moment précis importe peu : pour protéger Lucie, il a maquillé la scène de crime. Une scène désormais digne d'être confiée au 36, car l'homme abattu n'avait semble-t-il rien d'un citoyen ordinaire et il a fallu lui inventer une mort à sa mesure. Lucie, Franck et leur équipe vont donc récupérer l'enquête et s'enfoncer dans les brumes de plus en plus épaisses de la noirceur humaine. Cette enquête autour du meurtre qu'à deux ils ont commis pourrait bien sonner le glas de leur intégrité, de leur équilibre, et souffler comme un château de cartes le fragile édifice qu'ils s'étaient efforcés de bâtir. Franck Thilliez est l’auteur d’une quinzaine de romans, parmi lesquels Atomka, Le Syndrome E et, plus récemment, Pandemia et REVER. Lauréat du prix Étoiles du Parisien-Aujourd’hui en France pour le meilleur polar 2014 avec Angor, il confirme sa place de pilier du thriller français et continue d’alterner one shots et enquêtes menées par son couple phare, Lucie Henebelle/Franck Sharko. Adapté au cinéma pour La Chambre des morts (prix SNCF du polar français), Franck Thilliez est aussi scénariste. | |
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| | samedi 20 mai 2017 à 12h35 Par Hélène B. (Librairie L'Armitière) Tristesse, gros chagrin, besoin de réconfort ou tout simplement d'un gros câlin ? Un seul remède vrai et fort : se blottir dans les cheveux de sa maman, bercé par ses bras et son affection immense. Emmanuelle Halgand et Ingrid Chabbert nous offrent là un très bel album où l'émotion est portée aux nues et l'intensité prégnante. Un lien solide, universel, de longs cheveux tels des fils tendus à l'infini, indéfectibles... | |
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