L'Allemagne, l'avant-garde de la Climate Te ch

Energie, recyclage ou agriculture : la création de jeunes entreprises aux ambitions environnementales a bondi de 144 % en un an en Allemagne. Le pays a de l’avance sur la France.

Spécialiste des panneaux photovoltaïques en crédit-bail, la start-up berlinoise est la première licorne verte d'Allemagne. Accompagnée par le cofondateur de SolarCity et cousin d'Elon Musk, Peter Rive, elle triple son chiffre d'affaires avec la crise énergétique.

En faisant vos achats, vous avez envie de privilégier des marques qui font de réels efforts pour réduire leurs émissions de CO2 ? L’appli Nota Climat devrait vous intéresser...

Deux fois par an, sous l'égide de Sparknews qui oeuvre notamment à la transformation culturelle des entreprises, une dizaine de dirigeants et leurs enfants se réunissent pendant trois jours « en séminaire » pour échanger sur les thématiques relatives au développement durable et à la préservation de la planète. Une « retraite » atypique.

L’électrification se répand dans l’automobile ou le vélo, mais elle n’épargnera pas les bâteaux qui représentent, eux aussi, une grosse source de pollution. Le média britannique Sifted s’intéresse ainsi à cinq start-up qui veulent devenir les prochains “Tesla des mers”.

Des tours de table en recul en late stage, des jeunes pousses récemment introduites en Bourse en chute libre, des investisseurs qui implorent les PDG de réduire la voilure... En ce début d’été, l’écosystème américain des start-up est sonné mais pas complètement abattu. Car il reste de l’argent à déployer et, dans le passé, les start-up ont montré plus d’une fois qu’elles étaient capables de rebondir vite.

On connaissait le poste de chief happiness officer. Le Guardian nous apprend l’existence des “vibes managers” : des personnes payées dans l’univers des NFT pour envoyer des ondes positives et inciter les particuliers et investisseurs à faire leurs emplettes sur ce marché qui a connu un gros coup de froid ces derniers mois.

Clap de fin pour Mehdi Tahri. Le cofondateur d’Iziwork, start-up qui digitalise l’intérim, quitte son poste mais reste actionnaire de la start-up. Dans un post sur Linkedin, il explique qu’il va lancer un nouveau projet dans le Web3.