Si Hitler, Staline ou Mao avaient pu disposer de l’euro numérique, cela aurait-il permis de renforcer leur pouvoir ?
À ceux qui considèrent que, non, les tyrans d’aujourd’hui qui gouvernent les pays de l’UE, ou la Commission européenne n’ont rien à voir, mais vraiment rien à voir, avec le nazisme, que cette idéologie est morte est enterrée depuis le 20 avril 1945 et la mort, par suicide, d’Hitler, et qui faire référence, ce serait faire insulte à ses réelles victimes.
À ceux-là, sans leur parler de l’incertitude qui entoure la mort d’Hitler, il m’arrive de leur rappeler certaines réalités historiques incontestables, qui confirment, s’il le fallait, la fameuse phrase que l’on prête à Hannah Arendt : « L’Allemagne à perdu la guerre, mais pas les nazis » (Hannah Arendt qui, dans son essai : « Organized Guilt and Universal Responsibility » (« Culpabilité organisée et responsabilité universelle »), suggère en 1945 que la fin de la guerre ne signifiait pas la disparition totale de l’idéologie nazie ou de ses structures).
Ces réalités sont les suivantes : de nombreux experts ayant servis Adolf Hitler et le parti national socialiste, dans tous les domaines, ont été embauchés à la sortie de la guerre par différentes administrations des États-Unis, avec pour mission de continuer à faire leur job, mais pour l’oncle Sam, en non plus pour Hitler.
C’est le cas de Walter Hallstein, qui fut le premier président de la Commission européenne, du 1er janvier 1958 au 30 juin 1967, rappelons-le, mais ce fût également le cas de nombreux responsables militaires, dont :
- Adolf Heusinger, après avoir été chef d’état-major d’Hitler, a été nommé président du comité militaire de l’OTAN entre 1961 et 1964.
- Hans Speidel, après avoir été chef d’état-major du maréchal Erwin Rommel en 1944, il supervise l’intégration de la Bundeswehr dans l’OTAN. Promu général en 1957 (le premier à ce grade dans la Bundeswehr, avec Adolf Heusinger), il devient commandant suprême des forces terrestres alliées de l’OTAN en Europe centrale (COMLANDCENT) de 1957 à 1963.
- Johannes Steinhoff, après avoir été colonel de la Luftwaffe, en 1966, il devient « commandant des forces aériennes alliées en Europe centrale », un poste stratégique au sein de l’OTAN, dont il sera, entre 1971 et 1974, président du Comité militaire.
- Johann von Kielmansegg, après avoir été officier d’état-major (état-major général), entre 1942 et 1944il est affecté à la 24e division de Panzer sur le front de l’Est, puis, après le débarquement de Normandie il rejoint des unités en France sous le commandement du général Günther Blumentritt. De 1963 à 1966, il occupe le poste de commandant suprême adjoint des forces alliées en Europe centrale (Deputy COMLANDCENT) au sein de l’OTAN.
À ces rappels historiques, il est maintenant possible d’énumérer ce qu’aurait permis à Hitler, mais pas seulement, à Staline ou Mao également, l’euro numérique qui entrera en service en novembre 2025, si l’on en croit les autorités :
1. Contrôle total des finances individuelles
L’euro numérique permettra aux politiciens de surveiller chaque transaction effectuée par tous les individus, cela inclut :
- Les dépenses quotidiennes (nourriture, logement, loisirs).
- Les transferts financiers entre individus.
- Les économies personnelles.
Ce niveau de surveillance permet de détecter toute activité économique non conforme aux décisions des politiciens au pouvoir, et d’éliminer dans l’œuf toute forme de dissidence économique.
2. Répression des opposants
Avec un système entièrement traçable, les politiciens au pouvoir et leurs fonctionnaires aux ordres peuvent identifier et sanctionner les opposants politiques en suivant leurs transactions financières. Par exemple :
- Bloquer ou confisquer les fonds des personnes non vaccinées ou suspectées de soutenir des mouvements d’opposants au gouvernement et à sa politique.
- Bloquer les paiements vers des opposants ou vers des organisations dissidentes.
3. Suppression de l’anonymat économique
Les billets et pièces physiques offrent un certain degré d’anonymat, ce qui peut être utilisé pour contourner le contrôle étatique. Avec un euro numérique, cet anonymat disparaîtrait :
- Les politiciens peuvent interdire toute transaction non approuvée ou jugée suspecte.
4. Centralisation absolue du pouvoir monétaire
L’euro numérique permettra :
- La distribution de fonds uniquement à des partisans du pouvoir en place, ce qui permet l’exclusion économique des groupes marginalisés et persécutés (comme l’ont été les Juifs sous Hitler ou les paysans sous Mao).
5. Manipulation des comportements économiques
Les fonctionnalités programmables de l’euro numérique permettent de manipuler les comportements économiques :
- Obligation de dépenser dans des secteurs spécifiques à des prix individualisés (par exemple, obligation d’acheter des produits vendus par des proches du régime).
- Imposer des restrictions sur les types de biens pouvant être achetés (par exemple, interdire l’achat de livres ou de médias non approuvés).
- Utiliser des incitations financières pour récompenser la conformité sociale et politique.
6. Renforcement de la propagande et du contrôle social
L’euro numérique s’intégrera rapidement au crédit social « made in Commission européenne », à l’instar du système de crédit social du parti communiste chinois actuel :
- Les citoyens « méritants » (fidèles au régime) recevront des avantages financiers et des facilités de crédit.
- Les citoyens « indésirables » (opposants ou minorités persécutées) verront leurs fonds bloqués ou supprimés.
7. Élimination de l’économie souterraine
Dans les régimes totalitaires, l’économie souterraine est un refuge pour les opposants ou les groupes marginalisés. Avec un euro numérique :
- Toute activité économique informelle sera éradiquée.
- Des sanctions automatiques pour toute tentative de contourner le système officiel seront mises en place.
8. Radicalisme politique
L’euro numérique permettra tous les radicalismes économiques voulus par les politiciens, en fonction de leurs lubies, par exemple :
- Production prioritaire des armes
- Suppression de toute production industrielle qui ne favorise par le réarmement de la « nation »
9. Surveillance et répression à grande échelle
L’euro numérique permettra de suivre les mouvements de tous les individus via leurs transactions (nourriture, énergie, loisirs, déplacements, etc.), et d’identifier très rapidement la constitution de groupes sociaux ou économiques qui s’opposeraient à la politique gouvernementale, il sera alors possible aux politiciens de les réprimer et de leur couper l’accès à leurs fonds.
10. Exclusion économique comme outil de persécution
Le nazisme a utilisé l’exclusion économique comme arme contre les minorités (par exemple, les lois de Nuremberg interdisant aux juifs de travailler ou de posséder des biens).
Avec un euro numérique :
- Les politiciens pourront exclure totalement des individus ou des groupes de l’économie en bloquant leurs comptes numériques.
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Alors, si des politiciens comme Hitler, Staline ou Mao avaient disposé d’une technologie comme l’euro numérique, cela n’aurait-il pas renforcé leur pouvoir ?
Que pensez-vous que vont en faire ceux qui ont imposé les injections des mortels produits à ARNm au nom de la lutte contre la fausse pandémie de « C-19 » ?
Que pensez-vous que vont en faire ceux qui ont ordonné, organisé et pratiqué la sanglante répression des Gilets Jaunes, avec matraquages, gazages, arrestations et emprisonnements arbitraires, amputations, éborgnements et mutilations diverses ?