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Myocardites dues aux « va x ins » tueurs de Pfizer & Co. : qui savait quoi ?
Afin d’alerter des risques d’atteintes cardiaques graves qui peuvent survenir après les injections d’ARNm, l’organisme central des CDC a publié un rapport le 27 mai 2021 intitulé « Myocarditis and Pericarditis Following mRNA COVID-19 Vaccination » (« Myocardite et péricardite après la vaccination par ARNm COVID-19 »).
Or, selon Jablonowski et Hooker c’est bien avant le 27 mai 2021 que les autorités sanitaires des États-Unis, c-à-d, la FDA, les CDC, ainsi que le Département de la défense (tout comme le ministère israélien de la Santé et Pfizer) étaient en possession de preuves parfaitement documentées que les « va x ins » à ARNm provoquaient de graves problèmes cardiaques, y compris avec des décès, et en particulier chez les hommes (mâles) de 16 à 24 ans.
Dans le passé, une explosion de myocardites 200 fois supérieure à la normale due aux « va x ins » antivarioliques avait été observée
Les auteurs soulignent que la myocardite vaccinale est un phénomène documenté, ils citent une étude de 2015, qui établirait que les injections de vaccins antivarioliques provoquèrent une explosion de myocardites 200 fois supérieure à la normale. Or, dans les rapports transmis à la FDA, ni Moderna et ni Pfizer ne mentionnent un quelconque risque de myocardite associable à leurs produits à ARNm.
Pourtant, dans un document transmis à la FDA le 17 septembre 2020 (étude préclinique de toxicité), Pfizer précise qu’ils ont observé un « élargissement » (grossissement dû à un processus inflammatoire) statistiquement significatif (causalité) du cœur chez les rats mâles, 17 jours après l'injection de leur « va x in » (BNT162b2), alors que ce phénomène n’aurait pas été observé chez les rats femelles.
Ils ne pourront jamais dire « on ne savait pas », car ils connaissaient tout des effets indésirables graves provoqués par les « va x ins » tueurs de Pfizer & Co.
Les auteurs reviennent, mois par mois, sur les alertes parfaitement documentées de l’apparition de myocardites après les injections des « va x ins » à ARNm, en résumé :
Janvier 2021
Ils se réfèrent à un document du Département de la défense qui établit pour la première fois un lien entre « myocardite » et « vaccin » anti-C19 qui affecte les personnels de l’armée (US Army), de la marine (Navy) et de l’armée de l’air (US Air-Force).
Rappelons que c’est le 8 janvier 2021 que Brook Jackson déposa une plainte en vertu de la « False Claims Act » (Jackson c. Pfizer), au motif que « l’essai clinique de Pfizer avait été compromis » (Jackson est à l’origine de ce qui a été appelé « le Pfizergate », en référence à la fraude qui aurait impliqué Pfizer, Ventavia Research Group chargé des essais cliniques pour lequel elle était directrice médicale, et la FDA).
Février 2021
Les auteurs citent une étude (Diaz et al.) dans laquelle il est fait état de la découverte de 20 nouveaux cas de myocardites en février 2020.
Par ailleurs :
- Le 1er février 2021, le Jerusalem Post publia un article au sujet d’une myocardite contractée chez un jeune de 19 ans, immédiatement après l’injection (Jaffe-Hoffman).
- Lors de la semaine du 19 février 2021, aux États-Unis, le système de signalement des événements indésirables (VAERS) enregistre suffisamment de signalements de myocardites « causalement liées au vaccin COVID-19 » (événements indésirables graves) chez les jeunes hommes qu’il attribue à ces signalements un taux de « confiance » supérieur à 95 % (validation de la gravité et des liens de causalité des signalements qui est une forte recommandation aux autorités d’examens approfondis des cas présentés - Ce seuil de 95 % est appelé « seuil au-delà de tout doute raisonnable).
- Le 28 février 2021, le directeur adjoint du CDC israélien, le docteur Roee Singer, contacte le CDC des États-Unis avec ce message : « Nous constatons un grand nombre de cas de myocardites et de péricardites chez les jeunes peu de temps après le vaccin Pfizer COVID-19. Nous aimerions discuter de la question avec un expert compétent du CDC. »
- Le 28 février 2021, Pfizer reçoit des rapports d’événements indésirables qui concernent 5 formes de myocardites (inflammatoire ; auto-immune ; à médiation immunitaire ; lupique ; post-infection) qu’il transmet à la FDA (PF-07302048 -BNT162B2) le 30 avril 2021.
Avril 2021
- Lors de la semaine du 2 avril 2021, aux États-Unis, le système VAERS enregistre suffisamment de signalements de myocardites « causalement liées au vaccin anti-COVID-19 » chez les jeunes hommes qu’il attribue à ces signalement un taux de « confiance » supérieur à 99,90 %.
- Lors de la semaine du 23 avril 2021, le système VAERS attribue aux signalements qui lui sont transmis, toujours au sujet de myocardites « causalement liées au vaccin COVID-19 » un taux de « confiance » supérieur à 99,99 %, taux le plus élevé de recommandation aux autorités d’examens approfondis des cas présentés (manifestement, quelqu’un voulait fortement que les autorités sanitaires réagissent).
Le 26 avril 2021, les CDC et la FDA continuent de nier la réalité !
Alors que le 26 avril 2021, le ministère israélien de la Santé ouvre une enquête sur les myocardites dues aux injections des vaccins anti-COVID-19., Michael Wilner publie dans « McClatchy » un article dans lequel les CDC et la FDA nient l’existence du moindre « signal de sécurité pour la myocardite ».
Le 10 mai 2021 : les assassins de la FDA accordent l’autorisation d’injecter les « va x ins » tueurs de Pfizer & Co. à 14 millions d’Américains âgés de 12 à 15 ans…
Malgré toutes les alertes, tous les signalements effectués depuis janvier 2021 qui établissent un lien incontestable de causalité entre les injections des « va x ins » à ARNm de Pfizer & Co. et l’apparition de myocardites chez les jeunes garçons, et alors que le « C19 » ne les concerne absolument pas, la FDA autorise ces injections…
Deux jours plus tard, le CDC approuve et recommande ces injections pour les jeunes garçons.
Le 17 mai 2021, le CDC refuse de communiquer les documents prouvant la causalité entre les injections des « va x ins » tueurs de Pfizer & Co. et les myocardites chez les jeunes garçons !
Le 17 mai 2021, se tient une session du « Groupe de travail technique sur la sécurité des vaccins anti-COVID-19 » (VaST) du Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP).
Lors de cette session, les représentants du Département de la défense (DoD), ceux du système VAERS et ceux du « Groupe de liaison des données sur la sécurité des vaccins (VSD), présentent leurs données sur les myocardites post-injections d’ARNm.
Les représentants du CDC auraient refusé de communiquer les informations en leur possession à ce sujet.
La myocardite, ce serait 50 % de décès dans les 4 ans… Il faudrait donc s’attendre à 1 million de décès dus aux myocardites de Pfizer& Co. en France
Voilà un résumé de ce qui s’est passé aux États-Unis et en Israël au sujet des myocardites induites par les « va x ins » tueurs de Pfizer & Co.
Et en France ? À notre connaissance, rien n’est dit sur ces assassinats d’enfants morts d’une myocardite provoquée par les injections des « va x ins » tueurs de Pfizer & Co.
Quant aux actuels survivants, qu’ils attendent de mourir en silence, car avec les myocardites, ce serait 50 % de décès dans les 4 ans si l’on en croit les statistiques médicales.
Et si l’on se réfère aux chiffres officiels disponibles aux États-Unis, plus de 5 % des injectés souffriraient de myocardites (tous âges confondus), ce qui représenterait en France plus de 2 millions de cas, et ce qui risquerait de provoquer sur 4 années, 1 millions de décès…
Mais, les « va x ins » de Pfizer & Co., sont sûrs et sans danger, n’ont cessé de nous répéter les « journalistes » ; les politiciens professionnels, qu’ils soient d’extrême gauche, de gauche, du centre de droite et d’extrême droite ; sans oublier les « médecins » et autres soignants, de plateaux télé ou non, et les millions de fonctionnaires, en particulier ceux, bien plus détestables que les autres, de l’Éducation nationale.
Luttons, informons, résistons, regroupons-nous entre non-injectés, tenons bon, vivons et n’oublions rien !
Pierre Lefevre
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