Si Lucky Luke tire plus vite que son ombre, Trump signe des Ordres exécutifs à une telle vitesse que personne ne peut, à ce jour, dire combien il en a signé depuis sa prise de fonction (ce qui rendrait mort de jalousie Lucky Luke qui a peur de se faire voler la vedette dans l’imaginaire collectif).
Et il ne signe pas seulement des Ordres exécutifs (les Ordres exécutifs sont des directives émises par le Président des États-Unis pour diriger les opérations du pouvoir exécutif, sans passer par le Congrès), il a également révoqué des habilitations « Top-secret » des 51 anciens responsables du renseignement qui avaient signé une lettre affirmant, à tort, ce qu’ils savaient, que l’affaire de l’ordinateur portable d’Hunter Biden était une manipulation russe.
« N’appliquez pas mes décisions, et vous serez révoqués et votre sécurité ne sera plus assurée… »
Mais Donald J. Trump ne s’est pas arrêté là, il a également révoqué la protection sécuritaire, à 2 millions de dollars par mois par tête de pipe, dont bénéficiaient de la part du Gouvernement fédéral son ex-Secrétaire d’État, Mike Pompeo (premier mandat), et John Bolton, son ex-Conseiller à la sécurité nationale (premier mandat).
Ces révocations sont, sans doute, le message le plus menaçant qui soit adressé aux agents démocrates et faux républicains de « Deep State » (« État profond »), qui agissent dans l’ombre pour saper la démocratie, annihiler la volonté des électeurs et imposer, quoi qu’il en coûte, l’appauvrissement généralisé des classes moyennes et la dépopulation de la Planète.
Son message est simple : n’appliquez pas mes décisions, et vous serez révoqués et votre sécurité ne sera plus assurée, et cela sera rendu public…Comme message clair et limpide adressé aux hauts fonctionnaires et aux hauts responsables politiques, qui manœuvrent au service État profond et des cliques qui en tiennent les rênes : les Obama, Clinton, Gates, Soros, sans oublier les puissantes nébuleuses que constituent Big Pharma et le complexe militaro industriel.
Message à la famille Biden…
En parlant de Joe Robinette Biden sur Fox News le 22 janvier 2025, Donald Trump a déclaré à Sean Hannity (animateur vedette de Fox News) : « Ce type a accordé des grâces à tout le monde, et vous savez, ce qui est drôle, et peut-être même triste, c'est qu'il ne s'est pas accordé de grâce à lui-même. ». À la place de Joe Robinette Biden, ou de ses proches, on prendrait cela très au sérieux…
Big Pharma dans la ligne de mire
Aux États-Unis, il n’y a plus que les injectés volontaires porteurs de masque sur le museau pour croire que les agences fédérales de santé préservent la santé des gens, alors qu’elles ne préservent que les intérêts financiers de Big Pharma à longueur de communiqués et de décisions.
Donald J. Trump semble bien déterminé à mettre un haut-là, si l’on en croit la décision de Stefanie Spear d’imposer le « black-out » aux communications externes (publication de rapports, y compris scientifiques, partage de communications externes, mise à jour de sites web et la publication d’avis de santé).
Stefanie Spear est l’adjointe du chef de cabinet du Département de la Santé et des Services sociaux (HHS). Département (ministère) à la tête duquel Trump a nommé Robert F. Kennedy Jr., dont elle a été la secrétaire de presse pendant sa campagne présidentielle de 2024.
Ce black-out est imposé aux « Centers for Disease Control and Prevention » (CDC), la « Food and Drug Administration » (FDA), au « Department of Health and Human Services » (HHS), et au « National Institutes of Health » (NIH).
Ces organismes, dont les dirigeants sont réputés être corrompus depuis la première présidence de Bill Clinton (1993-1997), sont considérés par beaucoup d’observateurs comme des vitrines officielles de « Deep-State », de Big Pharma, de l’Agenda 2030 et du programme de dépopulation de la Planète porté par Bill Gates et ses amis.
Rappelons que beaucoup d’opposants à la politique officielle des États occidentaux en matière de santé publique, considèrent que Bill Gates veut également « réduire la population mondiale en stérilisant tout le monde avec des « vaccins » à ARNm, sous couvert de réduire le taux de mortalité dû à des maladies courantes ».
Des Ordres exécutifs et des décisions qui ne laissent planer aucune ambiguïté sur ce qui se passe aux États-Unis : une guerre ouverte à Deep State et aux mondialonazis qui se réunissent en ce moment chez les psychopathes de Davos.
Si Trump a averti les Européens qu'ils ne participeront, ni ne seront inclus, dans les pourparlers entre la Russie et les États-Unis concernant l'Ukraine, et qu’il a réitéré son engagement à déclassifier les dossiers des assassinats de JFK, de son frère, Robert F. Kennedy, et du leader des droits civiques, le révérend Martin Luther King Jr., il a également ordonné et signé les Ordres exécutifs suivants : - Limogeage du chef par intérim du système judiciaire de l'immigration des États-Unis et de trois autres dirigeants clés. - Ordre exécutif détaillé et signé le lundi 20 janvier 2025 au soir pour faciliter le licenciement des cadres des 2,3 millions de fonctionnaires fédéraux. - Retrait des États-Unis de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). - Grâce présidentielle pour les émeutiers du 6 janvier 2021 - environ 1500 personnes ont été graciées et libérées de prison. - Déclaration d'urgence nationale à la frontière sud pour finir le mur anti migrants illégaux et déploiement de l’armée à la frontière avec le Mexique. - Fin de la reconnaissance par l'administration d’un genre autre que masculin ou féminin. - Restauration de l’application effective de la peine de mort. - Relance de l’industrie automobile à essence et fin de l’obligation pour les revendeurs d’avoir un quota de vente de voitures électriques.
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Pendant que Trump œuvre pour la relance de l’économie de son pays, pour réinstaurer la sécurité dans les villes, pourchasser les trafiquants d’êtres humains et les pédophiles, stopper l’invasion migratoire illégale, en France, les politiciens discutent de rétablir le servage (7 heures de travail gratuites par an, pour commencer) et de faire financer les changements de sexe pris en charge par la sécurité sociale à 100 % et tous les soins gratuitement offerts aux immigrants illégaux par les retraités qui ont plus de 2 000 € de retraite par mois.
Dans le même temps, on apprend que le président du Sénat s’est fait payer avec nos impôts et taxes un fauteuil à 34 000 € et que Matignon (résidence du Premier ministre) dépenserait tous les ans 760 000 € pour l’achat de 300 paires de chaussures…
Au fait, n’y aurait-il pas des dizaines ou des centaines de milliers d’euros qui partiraient en rétrocommissions dans les poches des donneurs d’ordre de ces achats pour le moins somptuaires ? |